Centre de Documentation et d'Information de l'Académie d'Ostéopathie
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Approche ostéopathique crânienne de l'enfant autiste / Christian Damageux
Titre : Approche ostéopathique crânienne de l'enfant autiste Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Damageux, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : TRAITEMENT SOCIOLOGIE ENFANT PATHOLOGIE AUTISME BIBLIOGRAPHIE OSTEOPATHIE CRANIENNE PEDIATRIE HANDICAP Résumé : Je chante cette chanson depuis les profondeurs de l'enfer et appelle tous les muets de ce monde. Ainsi s'exprime Birger SELLIN, autiste de vingt ans, qui a réussi à décrire e qu'il vivait grâce à la" communication assistée" par ordinateur . Mon premier contact avec l'autisme eut lieu il y a quelques années par l'intemIédiaire d'une petite fille que le hasard et ses parents, à la recherche du bien-être de leur enfant, avaient conduite dans mon cabinet. La séance fut un échec. Le contact ayant été impossible à établir, ma conclusion fut que l'autisme sortait du champ de l'ostéopathie. Quelques années plus tard, ce contact eut lieu à nouveau sous les traits d'une de mes patientes, éducatrice spécialisée, qui me proposa de rencontrer le directeur d'un Centre Spécialisé situé non loin de mon cabinet. Ce responsable et son équipe cherchaient à explorer toutes les voies possibles leur permettant d'apporter un mieux aux enfants qui leur étaient confiés. Un médecin homéopathe intervenmt déjà dans cette structure. Rendez-vous fut pris. Après réflexion de chaque partie, en particulier de l'équipe au complet de "La Source" qui découvrait l'ostéopathie à cette occasion, il fut convenu que j'interviendrai chaque jeudi, pendant une année, à la demande des enfants et des soignants. L'honnêteté m'oblige à précIser que nous ignorions totalement quelle réaction auraient les enfants d'une part, et d'autre part que serait l'apport de l'ostéopathie. C'est donc l'objet de ce mémoire. Dans un premier chapitre je donnerai toutes les informations sur cette pathologie, sa ou ses défInitions, les différentes étiologies et les différentes approches thérapeutiques utilisées à ce jour. Puis, je décrirai dans une deuxième partie les spécificités de ces enfants, leur intelligence, leur corps, leurs cinq sens, leurs gestes, leur langage. J'aborderai dans un troisième chapitre l'idée de départ et les différents outils ostéopathiques : références bibliographiques, anatomiques et physiologiques. La quatrième partie de ce mémoire concernera l'étude ostéopathique proprement dite de ce travail avec la description des cas cliniques, les conditions de traitements, le bilan ostéopathique de départ et la description sous tonne de tableaux du traitement lui-même. Nous venons ensuite en cinquième partie, les résultats et leur analyse, cas par cas puis globalement. Je terminerai, ensuite, par une conclusion de cette année chez les enfants autistes. Approche ostéopathique crânienne de l'enfant autiste [texte imprimé] / Christian Damageux, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : TRAITEMENT SOCIOLOGIE ENFANT PATHOLOGIE AUTISME BIBLIOGRAPHIE OSTEOPATHIE CRANIENNE PEDIATRIE HANDICAP Résumé : Je chante cette chanson depuis les profondeurs de l'enfer et appelle tous les muets de ce monde. Ainsi s'exprime Birger SELLIN, autiste de vingt ans, qui a réussi à décrire e qu'il vivait grâce à la" communication assistée" par ordinateur . Mon premier contact avec l'autisme eut lieu il y a quelques années par l'intemIédiaire d'une petite fille que le hasard et ses parents, à la recherche du bien-être de leur enfant, avaient conduite dans mon cabinet. La séance fut un échec. Le contact ayant été impossible à établir, ma conclusion fut que l'autisme sortait du champ de l'ostéopathie. Quelques années plus tard, ce contact eut lieu à nouveau sous les traits d'une de mes patientes, éducatrice spécialisée, qui me proposa de rencontrer le directeur d'un Centre Spécialisé situé non loin de mon cabinet. Ce responsable et son équipe cherchaient à explorer toutes les voies possibles leur permettant d'apporter un mieux aux enfants qui leur étaient confiés. Un médecin homéopathe intervenmt déjà dans cette structure. Rendez-vous fut pris. Après réflexion de chaque partie, en particulier de l'équipe au complet de "La Source" qui découvrait l'ostéopathie à cette occasion, il fut convenu que j'interviendrai chaque jeudi, pendant une année, à la demande des enfants et des soignants. L'honnêteté m'oblige à précIser que nous ignorions totalement quelle réaction auraient les enfants d'une part, et d'autre part que serait l'apport de l'ostéopathie. C'est donc l'objet de ce mémoire. Dans un premier chapitre je donnerai toutes les informations sur cette pathologie, sa ou ses défInitions, les différentes étiologies et les différentes approches thérapeutiques utilisées à ce jour. Puis, je décrirai dans une deuxième partie les spécificités de ces enfants, leur intelligence, leur corps, leurs cinq sens, leurs gestes, leur langage. J'aborderai dans un troisième chapitre l'idée de départ et les différents outils ostéopathiques : références bibliographiques, anatomiques et physiologiques. La quatrième partie de ce mémoire concernera l'étude ostéopathique proprement dite de ce travail avec la description des cas cliniques, les conditions de traitements, le bilan ostéopathique de départ et la description sous tonne de tableaux du traitement lui-même. Nous venons ensuite en cinquième partie, les résultats et leur analyse, cas par cas puis globalement. Je terminerai, ensuite, par une conclusion de cette année chez les enfants autistes. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 275 DAM Mémoire (ostéopathie) école d'ostéopathie Documentaires Exclu du prêt Corps, mémoire et ostéopathie / PONTRANDOLFI Porzia
Titre : Corps, mémoire et ostéopathie Type de document : texte imprimé Auteurs : PONTRANDOLFI Porzia, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : PHILOSOPHIE HISTOIRE MEMOIRE SOCIOLOGIE BIBLIOGRAPHIE BIOCHIMIE PSYCHOLOGIE NEUROLOGIE Résumé : Régulièrement au cours de traitements ostéopathiques, nous avons eu la surprise de voir apparaître, au fur et à mesure que les lésions ostéopathiques étaient corrigées, des pans de 'histoire des patients; que ce soit sous la forme de souvenirs conscients ou de nouveaux motifs de consultation (douleurs, gênes) dus à de nouvelles lésions ostéopathiques, elles-mêmes liées à des traumatismes antérieurs... C'était comme si nous remontions le fil du temps, même si cela n'était pas le but que nous recherchions. Le corps serait donc capable de mémoriser notre histoire. Comment procède-t-il ? En quoi le fait de libérer des lésions ostéopathiques contribue-t-il à retrouver des événements anciens? Ce questionnement nous est apparu comme un sujet de mémoire. Déjà , en psychomotricité, pendant les cures de relaxation, nous avions noté que les symptômes corporels ressentis par les personnes, étaient le plus souvent liés à des émotions, à des événements marquants de leur vie. èe mémoire est donc axé autour de deux interrogations: 1. Les lésions ostéopathiques peuvent-elles être considérées comme une mise en mémoire de l'histoire de l'individu? Quels en seraient les mécanismes? Dans quelle mesure le corps serait impliqué? Comment le corps intègre et mémorise les informations qu'il reçoit? Comment les exprime-t-il ? Comment les partage-t-il ? Pourrait-on alors parler à juste titre de " mémoire du corps " ? En effet, même si ce terme paraît évident, familier dans la mesure où il est fréquemment utilisé aussi bien en ostéopathie que dans d'autres disciplines, nous ne connaissons pas réellement son mode de fonctionnement. 2. Comment envisager, dans ce cas, le traitement ostéopathique ? Au niveau local, consisterait-il à " effacer " la lésion, dans la mesure où nous parvenons à rendre leur mobilité aux tissus, aux parties du corps en lésion? Au niveau général, consisterait-il à rétablir la communication entre ces parties et le reste du corps, en les réintégrant dans la globalité, l'unité? Il ne s'agit pas d'une réflexion sur la mémoire cognitive, sens que l'on attribue en première intention au terme "mémoire". Un travail sur ce thème a déjà été réalisé par Roger-Bernard Vernouillet, en 1992. Pour répondre à nos questions, nous avons pris le parti de ne pas réaliser un travail clinique qui pourrait constituer, à lui seul, la base d'un mémoire. Nous avons préféré effectuer un travail de recherche bibliographique dans le domaine ostéopathique, mais aussi philosophique, scientifique, médical, psychologique. En effet, nous considérons ce travail bibliographique comme un "passage obligé" avant toute recherche pratique ou clinique. Dans une première partie, nous rappellerons les principes fondateurs énoncés par Still ainsi que son explication des mécanismes de la lésion ostéopathique. Puis nous verrons comment ses successeurs ont approfondi ces bases sans jamais les remettre en question. Ce rappel nous permettra de voir comment les ostéopathes définissent, au fur et à mesure, ces mécanismes et en quoi ces différents points de vue contribuent à la mise en place de leur traitement. Nous considérerons que notre traitement dépend aussi de la conception que nous avons du corps. Avons-nous entre les mains "un corps à redresser" ou " un élément constitutif de la personne" ? Pour resituer les principes de base de l'ostéopathie dans leur contexte historique et ainsi relativiser nos propositions ( théoriques, philosophiques ), il nous semble important: . - de définir le mot " corps" ; - d'avoir une vision historique de la notion de corps et de maladie qui ont fortement évolué au cours du temps. Nous reprendrons cette évolution à travers 'Histoire et 1 'histoire de la médecine. Volontairement, nous nous restreindrons à 1 'histoire de la médecine en Occident. car c'est elle- qui est en" lien direct avec l'ostéopathie. Dans une troisième partie, nous présenterons la mémoire. Puisqu'elle est l'objet d'étude privilégié des neurosciences et de la psychologie cognitive, il nous a semblé nécessaire de nous appuyer sur leurs conclusions pour poursuivre notre réflexion sur les mécanismes de la lésion ostéopathique. Nous montrerons: - comment ces disciplines définissent la mémoire, - quels sont ses mécanismes au niveau psychologique, neurologique et biochimique, - s'il existe un support anatomique qui permette d'expliquer ces phénomènes. Toutes ces données nous permettront de déduire l'existence de liens entre la mémoire et le corps. Sachant que la psychanalyse, la psychologie humaniste et les thérapies corporelles ont abordé le sujet de la mémoire du corps, nous verrons dans une quatrième partie, comment elles peuvent nous aider à établir d'autres liens. En conclusion, nous nous appuierons sur toutes ces réflexions pour : - établir l'existence de la mémoire du corps, mais surtout comprendre son fonctionnement, - confirmer les diverses hypothèses données par les ostéopathes sur les mécanismes de la lésion ostéopathique, - tenter de définir les modalités du traitement ostéopathique. Corps, mémoire et ostéopathie [texte imprimé] / PONTRANDOLFI Porzia, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : PHILOSOPHIE HISTOIRE MEMOIRE SOCIOLOGIE BIBLIOGRAPHIE BIOCHIMIE PSYCHOLOGIE NEUROLOGIE Résumé : Régulièrement au cours de traitements ostéopathiques, nous avons eu la surprise de voir apparaître, au fur et à mesure que les lésions ostéopathiques étaient corrigées, des pans de 'histoire des patients; que ce soit sous la forme de souvenirs conscients ou de nouveaux motifs de consultation (douleurs, gênes) dus à de nouvelles lésions ostéopathiques, elles-mêmes liées à des traumatismes antérieurs... C'était comme si nous remontions le fil du temps, même si cela n'était pas le but que nous recherchions. Le corps serait donc capable de mémoriser notre histoire. Comment procède-t-il ? En quoi le fait de libérer des lésions ostéopathiques contribue-t-il à retrouver des événements anciens? Ce questionnement nous est apparu comme un sujet de mémoire. Déjà , en psychomotricité, pendant les cures de relaxation, nous avions noté que les symptômes corporels ressentis par les personnes, étaient le plus souvent liés à des émotions, à des événements marquants de leur vie. èe mémoire est donc axé autour de deux interrogations: 1. Les lésions ostéopathiques peuvent-elles être considérées comme une mise en mémoire de l'histoire de l'individu? Quels en seraient les mécanismes? Dans quelle mesure le corps serait impliqué? Comment le corps intègre et mémorise les informations qu'il reçoit? Comment les exprime-t-il ? Comment les partage-t-il ? Pourrait-on alors parler à juste titre de " mémoire du corps " ? En effet, même si ce terme paraît évident, familier dans la mesure où il est fréquemment utilisé aussi bien en ostéopathie que dans d'autres disciplines, nous ne connaissons pas réellement son mode de fonctionnement. 2. Comment envisager, dans ce cas, le traitement ostéopathique ? Au niveau local, consisterait-il à " effacer " la lésion, dans la mesure où nous parvenons à rendre leur mobilité aux tissus, aux parties du corps en lésion? Au niveau général, consisterait-il à rétablir la communication entre ces parties et le reste du corps, en les réintégrant dans la globalité, l'unité? Il ne s'agit pas d'une réflexion sur la mémoire cognitive, sens que l'on attribue en première intention au terme "mémoire". Un travail sur ce thème a déjà été réalisé par Roger-Bernard Vernouillet, en 1992. Pour répondre à nos questions, nous avons pris le parti de ne pas réaliser un travail clinique qui pourrait constituer, à lui seul, la base d'un mémoire. Nous avons préféré effectuer un travail de recherche bibliographique dans le domaine ostéopathique, mais aussi philosophique, scientifique, médical, psychologique. En effet, nous considérons ce travail bibliographique comme un "passage obligé" avant toute recherche pratique ou clinique. Dans une première partie, nous rappellerons les principes fondateurs énoncés par Still ainsi que son explication des mécanismes de la lésion ostéopathique. Puis nous verrons comment ses successeurs ont approfondi ces bases sans jamais les remettre en question. Ce rappel nous permettra de voir comment les ostéopathes définissent, au fur et à mesure, ces mécanismes et en quoi ces différents points de vue contribuent à la mise en place de leur traitement. Nous considérerons que notre traitement dépend aussi de la conception que nous avons du corps. Avons-nous entre les mains "un corps à redresser" ou " un élément constitutif de la personne" ? Pour resituer les principes de base de l'ostéopathie dans leur contexte historique et ainsi relativiser nos propositions ( théoriques, philosophiques ), il nous semble important: . - de définir le mot " corps" ; - d'avoir une vision historique de la notion de corps et de maladie qui ont fortement évolué au cours du temps. Nous reprendrons cette évolution à travers 'Histoire et 1 'histoire de la médecine. Volontairement, nous nous restreindrons à 1 'histoire de la médecine en Occident. car c'est elle- qui est en" lien direct avec l'ostéopathie. Dans une troisième partie, nous présenterons la mémoire. Puisqu'elle est l'objet d'étude privilégié des neurosciences et de la psychologie cognitive, il nous a semblé nécessaire de nous appuyer sur leurs conclusions pour poursuivre notre réflexion sur les mécanismes de la lésion ostéopathique. Nous montrerons: - comment ces disciplines définissent la mémoire, - quels sont ses mécanismes au niveau psychologique, neurologique et biochimique, - s'il existe un support anatomique qui permette d'expliquer ces phénomènes. Toutes ces données nous permettront de déduire l'existence de liens entre la mémoire et le corps. Sachant que la psychanalyse, la psychologie humaniste et les thérapies corporelles ont abordé le sujet de la mémoire du corps, nous verrons dans une quatrième partie, comment elles peuvent nous aider à établir d'autres liens. En conclusion, nous nous appuierons sur toutes ces réflexions pour : - établir l'existence de la mémoire du corps, mais surtout comprendre son fonctionnement, - confirmer les diverses hypothèses données par les ostéopathes sur les mécanismes de la lésion ostéopathique, - tenter de définir les modalités du traitement ostéopathique. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 742 1.3 PON Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Douleur et ostéopathie / Noëlle Uzan
Titre : Douleur et ostéopathie Type de document : texte imprimé Auteurs : Noëlle Uzan, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : HISTOIRE BIBLIOGRAPHIE PSYCHOLOGIE PHILOSOPHIE CONCEPT DOULEUR SYSTEME NERVEUX PHYSIOPATHOLOGIE TECHNIQUE EVALUATION TRAITEMENT Résumé : La douleur est la première cause des consultations médicales et chacun y est confronté dans sa vie. En effet selon une enquête réalisée en 1995 par Ipsos, 31% des français auraient eu un problème douleur qualifié de chronique au cours des douze derniers mois. L'étude a également permis d'ordonner les manifestations de la douleur en fonction de leur fréquence; il s'agit de: -Troubles du rachis dans 22% des cas -Douleurs articulaires dans 21 %. -Douleurs viscérales dans 13%. -Céphalées migraines dans 12%. -Lombalgies dans 10%. Seulement la moitié de ces patients douloureux vont consulter. Un quart pratique l'automédication et un quart n'a recours à aucun traitement. Cette étude est très significative du retard existant dans la prise en charge de la douleur, d'ailleurs il n'existe que quatre vingt neuf structures anti-douleur en France actuellement (année 2000). Derrière le terme de douleur se cache un phénomène complexe qui dépend de multiples facteurs internes et externes à l'individu qui en fait l'expérience. L'IASP (International Association for the study of pain) la définit ainsi: "Expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle, ou décrite dans des termes évoquant une telle lésion". Cette définition fait apparaître la notion subjective de la douleur puisqu'elle s'exprime sous l'influence de ressenti et d'émotion propre à chaque individu. D'autre part elle met en évidence le fait que l'intensité de la douleur et l'importance de la lésion qui la provoque ne sont pas forcément proportionnelles. Ce mémoire est un travail de recherche bibliographique et non clinique. II a été motivé par le fait que la douleur est le principal motif des consultations de nos patients en ostéopathie. Il nous a semblé par conséquent indispensable de faire le point sur les connaissances actuelles la concernant. Nous tenterons de répondre ensuite aux questions suivantes: L'ostéopathie peut- elle répondre à cette demande? Par son approche holistique de l'individu, comment va-t-elle agir pour faire régresser le phénomène douloureux? Quels sont les facteurs qu' elle va influencer? Nous allons dans ce travail, tenter de cerner la douleur, de comprendre l'approche actuelle par l'évolution qu'elle a connu dans l' histoire humaine. Nous envisagerons ensuite l'aspect purement neurophysiologique avec la description des voies de la sensibilité douloureuse et des systèmes de contrôle des structures périphériques et centrales. Dans une deuxième partie, nous essayerons de classer les différents types de douleurs en fonction de la physiopathologie. Nous mettrons d'ailleurs l'accent sur l'aspect psychologique qui accompagne tout phénomène douloureux. Un chapitre sera réservé à la mémoire de la douleur et notamment à la notion assez récente de la neuroplasticité synaptique. La troisième partie va répertorier les différentes méthodes d'évaluation de la douleur chez l'adulte mais aussi chez l'enfant. Dans la quatrième partie nous aborderons les douleurs référées avec la neurophysiologie des douleurs viscérales et les différences avec les douleurs d'origine somatique. Nous rapprocherons ce type de douleurs avec le concept ostéopathique. Dans la cinquième partie nous essayerons d'expliquer les mécanismes qui font évoluer une lésion ostéopathIque jusqu'à l'apparition possible de la douleur. Puis nous envisagerons différentes hypothèses des possibles modes d'action du traitement ostéopathique sur la douleur. Douleur et ostéopathie [texte imprimé] / Noëlle Uzan, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : HISTOIRE BIBLIOGRAPHIE PSYCHOLOGIE PHILOSOPHIE CONCEPT DOULEUR SYSTEME NERVEUX PHYSIOPATHOLOGIE TECHNIQUE EVALUATION TRAITEMENT Résumé : La douleur est la première cause des consultations médicales et chacun y est confronté dans sa vie. En effet selon une enquête réalisée en 1995 par Ipsos, 31% des français auraient eu un problème douleur qualifié de chronique au cours des douze derniers mois. L'étude a également permis d'ordonner les manifestations de la douleur en fonction de leur fréquence; il s'agit de: -Troubles du rachis dans 22% des cas -Douleurs articulaires dans 21 %. -Douleurs viscérales dans 13%. -Céphalées migraines dans 12%. -Lombalgies dans 10%. Seulement la moitié de ces patients douloureux vont consulter. Un quart pratique l'automédication et un quart n'a recours à aucun traitement. Cette étude est très significative du retard existant dans la prise en charge de la douleur, d'ailleurs il n'existe que quatre vingt neuf structures anti-douleur en France actuellement (année 2000). Derrière le terme de douleur se cache un phénomène complexe qui dépend de multiples facteurs internes et externes à l'individu qui en fait l'expérience. L'IASP (International Association for the study of pain) la définit ainsi: "Expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle, ou décrite dans des termes évoquant une telle lésion". Cette définition fait apparaître la notion subjective de la douleur puisqu'elle s'exprime sous l'influence de ressenti et d'émotion propre à chaque individu. D'autre part elle met en évidence le fait que l'intensité de la douleur et l'importance de la lésion qui la provoque ne sont pas forcément proportionnelles. Ce mémoire est un travail de recherche bibliographique et non clinique. II a été motivé par le fait que la douleur est le principal motif des consultations de nos patients en ostéopathie. Il nous a semblé par conséquent indispensable de faire le point sur les connaissances actuelles la concernant. Nous tenterons de répondre ensuite aux questions suivantes: L'ostéopathie peut- elle répondre à cette demande? Par son approche holistique de l'individu, comment va-t-elle agir pour faire régresser le phénomène douloureux? Quels sont les facteurs qu' elle va influencer? Nous allons dans ce travail, tenter de cerner la douleur, de comprendre l'approche actuelle par l'évolution qu'elle a connu dans l' histoire humaine. Nous envisagerons ensuite l'aspect purement neurophysiologique avec la description des voies de la sensibilité douloureuse et des systèmes de contrôle des structures périphériques et centrales. Dans une deuxième partie, nous essayerons de classer les différents types de douleurs en fonction de la physiopathologie. Nous mettrons d'ailleurs l'accent sur l'aspect psychologique qui accompagne tout phénomène douloureux. Un chapitre sera réservé à la mémoire de la douleur et notamment à la notion assez récente de la neuroplasticité synaptique. La troisième partie va répertorier les différentes méthodes d'évaluation de la douleur chez l'adulte mais aussi chez l'enfant. Dans la quatrième partie nous aborderons les douleurs référées avec la neurophysiologie des douleurs viscérales et les différences avec les douleurs d'origine somatique. Nous rapprocherons ce type de douleurs avec le concept ostéopathique. Dans la cinquième partie nous essayerons d'expliquer les mécanismes qui font évoluer une lésion ostéopathIque jusqu'à l'apparition possible de la douleur. Puis nous envisagerons différentes hypothèses des possibles modes d'action du traitement ostéopathique sur la douleur. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 905 1.3 UZA Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt La duremère rachidienne / POUILHE Georges
Titre : La duremère rachidienne Type de document : texte imprimé Auteurs : POUILHE Georges, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE CRANIENNE ANATOMIE DUREMERE SYSTEME NERVEUX BIBLIOGRAPHIE TRAITEMENT Résumé : ... nous réséquâmes les parties postérieures de C4 et ouvrimes un bon champ opératoire circulaire. La race extérieure de la dure-mère fut exposée... Le neurochirurgien me demanda de maintenir sans bouger la membrane durale avec des clamps... C'est à cet instant que je vis pour la première fois le mouvement de la membrane, limite externe du système hydraulique semi-clos. Ce système est maintenant clé de voute pour expliquer l'activité physiologique du système crânio-sacré. Alors que j'essayais de maintenir immobile cette membrane et que je n'y parvenais pas, je réalisais qu'il y avait un mouvement rythmique vers le dedans, puis vers le dehors... je comptais et j'établissais cette activité rythmique autour de 8 cycles par minute. il n'étajt pas synchronisé avec la respiration, il n'était pas non plus synchronisé avec le coeur. C'était un rythme que personne dans ce bloc opératoire n'avait remarqué jusqu'alors. Je sentis que j'étais le seul à y prêter attention.,, John UPLEGDGER (LIBERATION SOMATO-EMOTIONNELLE ET AUDE-LA). Ainsi, tout praticien ostéopathe est amené par ses patients à rencontrer la dure-mère rachidienne, à s'interroger, à tester, à traiter. Eclairé par la pensée des maîtres : STILL, SUTHERLAND, MAGOUN... , par la réflexion des aînés, enseignants, et le travail des plus jeunes (mémoires), cette étude essaye de réunir différents écrits sur les dysfonctions de la dure-mère rachidienne et de les illustrer par la clinique. Il se veut synthétique et proche du terrain. Carrefour incontournable de la lésion ostéopathique parce que reflet à la fois de la structure et de la fonction des systèmes nerveux, circulatoire et myofascioarticulaire, la dure-mère rachidienne a cependant peu eu la faveur des auteurs de la littérature ostéopathique, laissant à la faux du cerveau et à la tente du cervelet la plus grande attention des thérapeutes... La duremère rachidienne [texte imprimé] / POUILHE Georges, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE CRANIENNE ANATOMIE DUREMERE SYSTEME NERVEUX BIBLIOGRAPHIE TRAITEMENT Résumé : ... nous réséquâmes les parties postérieures de C4 et ouvrimes un bon champ opératoire circulaire. La race extérieure de la dure-mère fut exposée... Le neurochirurgien me demanda de maintenir sans bouger la membrane durale avec des clamps... C'est à cet instant que je vis pour la première fois le mouvement de la membrane, limite externe du système hydraulique semi-clos. Ce système est maintenant clé de voute pour expliquer l'activité physiologique du système crânio-sacré. Alors que j'essayais de maintenir immobile cette membrane et que je n'y parvenais pas, je réalisais qu'il y avait un mouvement rythmique vers le dedans, puis vers le dehors... je comptais et j'établissais cette activité rythmique autour de 8 cycles par minute. il n'étajt pas synchronisé avec la respiration, il n'était pas non plus synchronisé avec le coeur. C'était un rythme que personne dans ce bloc opératoire n'avait remarqué jusqu'alors. Je sentis que j'étais le seul à y prêter attention.,, John UPLEGDGER (LIBERATION SOMATO-EMOTIONNELLE ET AUDE-LA). Ainsi, tout praticien ostéopathe est amené par ses patients à rencontrer la dure-mère rachidienne, à s'interroger, à tester, à traiter. Eclairé par la pensée des maîtres : STILL, SUTHERLAND, MAGOUN... , par la réflexion des aînés, enseignants, et le travail des plus jeunes (mémoires), cette étude essaye de réunir différents écrits sur les dysfonctions de la dure-mère rachidienne et de les illustrer par la clinique. Il se veut synthétique et proche du terrain. Carrefour incontournable de la lésion ostéopathique parce que reflet à la fois de la structure et de la fonction des systèmes nerveux, circulatoire et myofascioarticulaire, la dure-mère rachidienne a cependant peu eu la faveur des auteurs de la littérature ostéopathique, laissant à la faux du cerveau et à la tente du cervelet la plus grande attention des thérapeutes... Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 746 1.2 POU Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Evolution de la perception chez William Garner Sutherland / SCHMITT Isabelle
Titre : Evolution de la perception chez William Garner Sutherland Type de document : texte imprimé Auteurs : SCHMITT Isabelle, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : OSTEOPATHIE CRANIENNE PHILOSOPHIE HISTOIRE BIODYNAMIQUE BIOMECANIQUE MOUVEMENT RESPIRATOIRE PRIMAIRE M.R.P. SUTHERLAND W.G FLUIDE BIBLIOGRAPHIE Résumé : Savons-nous réellement comment le concept crânien de W.G. Sutherland est passé de la découverte de la mobilité des os du crâne à la subtilité du "Souffle de Vie" qui dirige le mécanisme respiratoire primaire ?C'est à cette question que cette étude va tenter de répondre. Le support de l'évolution du concept de W.G.Sutherland est sa perception, que nous allons voir se développer au cours des cinquante cinq années qui séparent la première découverte de W.G.Sutherland, de la fin de sa vie, en 1954.C'est à travers cette notion de perception que W.G.Sutherland, s'est intéressé à des structures de moins en moins densifiées, au fils des années, à savoir l'os, les membranes, le fluide pour aboutir à des notions subtiles, voires spirituelles.Nous nous proposons de clarifier cette notion de perception, avant d'aborder les différentes étapes qui caractérisent ses recherches. Nous étudierons ensuite ces phases sucessives, à savoir une première période appelée biomécanique et une deuxième période nommée biodynamique.La période biomécanique (de 1899 à 1948) évoque les recherches de W.G.Sutherland sur le concept de mécanisme respiratoire primaire. Elle se subdivise en trois périodes perceptuelles distinctes : dans un premier temps, nous mettrons en place le concept osseux (1899-1933), dans un second temps, nous étudierons les membranes de tension réciproque et la motilité du système nerveux central (1933-1942), dans un troisième temps, nous développerons les notions de fluidiques (1942-1948).La période biodynamique (de 1948 à 1954) est constituée par l'étude des forces inhérentes du corps, incluant la trame du mécanisme respiratoire primaire.Nous nous appuierons, pour effectuer cette recherche, sur les ouvrages les plus fidèles à la pensée de W.G.Sutherland, et nous nous efforcerons d'entrer dans la vie de W.G.Sutherland, jusqu'à ressentir ce qu'il était de la façon la plus authentique possible. Evolution de la perception chez William Garner Sutherland [texte imprimé] / SCHMITT Isabelle, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : OSTEOPATHIE CRANIENNE PHILOSOPHIE HISTOIRE BIODYNAMIQUE BIOMECANIQUE MOUVEMENT RESPIRATOIRE PRIMAIRE M.R.P. SUTHERLAND W.G FLUIDE BIBLIOGRAPHIE Résumé : Savons-nous réellement comment le concept crânien de W.G. Sutherland est passé de la découverte de la mobilité des os du crâne à la subtilité du "Souffle de Vie" qui dirige le mécanisme respiratoire primaire ?C'est à cette question que cette étude va tenter de répondre. Le support de l'évolution du concept de W.G.Sutherland est sa perception, que nous allons voir se développer au cours des cinquante cinq années qui séparent la première découverte de W.G.Sutherland, de la fin de sa vie, en 1954.C'est à travers cette notion de perception que W.G.Sutherland, s'est intéressé à des structures de moins en moins densifiées, au fils des années, à savoir l'os, les membranes, le fluide pour aboutir à des notions subtiles, voires spirituelles.Nous nous proposons de clarifier cette notion de perception, avant d'aborder les différentes étapes qui caractérisent ses recherches. Nous étudierons ensuite ces phases sucessives, à savoir une première période appelée biomécanique et une deuxième période nommée biodynamique.La période biomécanique (de 1899 à 1948) évoque les recherches de W.G.Sutherland sur le concept de mécanisme respiratoire primaire. Elle se subdivise en trois périodes perceptuelles distinctes : dans un premier temps, nous mettrons en place le concept osseux (1899-1933), dans un second temps, nous étudierons les membranes de tension réciproque et la motilité du système nerveux central (1933-1942), dans un troisième temps, nous développerons les notions de fluidiques (1942-1948).La période biodynamique (de 1948 à 1954) est constituée par l'étude des forces inhérentes du corps, incluant la trame du mécanisme respiratoire primaire.Nous nous appuierons, pour effectuer cette recherche, sur les ouvrages les plus fidèles à la pensée de W.G.Sutherland, et nous nous efforcerons d'entrer dans la vie de W.G.Sutherland, jusqu'à ressentir ce qu'il était de la façon la plus authentique possible. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 839 5.2 SCH Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Intérêt en clinique ostéopathique de l'approche sémantique destinée à définir le ressenti palpatoire / Muriel Auperin
PermalinkDe la mobilité des os du crâne : compilation des écrits / Michel Biland
PermalinkL'ostéopathe dans le monde de l'autisme / Marie Damoy
PermalinkLe test de rotation assise peut-il être un test diagnostic sacro-iliaque fiable ? / Jean-Pierre Benoit
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