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L'heureuse rencontre d'une paralysie idiopathique du VII avec l'ostéopathie : à propos de 4 cas / Serge Baudu
Titre : L'heureuse rencontre d'une paralysie idiopathique du VII avec l'ostéopathie : à propos de 4 cas Type de document : texte imprimé Auteurs : Serge Baudu, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE CRANIENNE TECHNIQUE MEMBRANE DE TENSION RECIPROQUE M.T.R. PATHOLOGIE PARALYSIE FACIALE NEUROLOGIE NERF VII NERF FACIAL TRAITEMENT Résumé : Un homme de 60 ans se présente en consultation d'ostéopathie avec une paralysie faciale droite sévére, avec un oeil larmoyant, hyper-salivation, diminution de l'audition, difficultés à s'exprimer. Au cours de l'anamnèse, il apparait que cette paralysie faciale est de survenue subite sans facteur déclenchant. Ce patient a été envoyé par son médecin traitant en consultation de neurologie pour confirmation du diagnostic et mise en place d'un traitement de physiothérapie. Ce premier traitement a connu un échec, aussi une intervention chirurgicale a été pratiquée ( perforation du temporal à partir de la mastoïde pour libérer le nerf facial dans le canal de FALLOPE) . Ce deuxième acte thérapeutique a été un nouvel échec, d'où la consultation spontanée de ce patient en ostéopathie. Le traitement ostéopathique instauré chez ce patient dans une impasse thérapeutique allopathique a apporté des résultats. D'autres cas se sont présentés en consultation avec ce même problème de paralysie faciale. La réponse favorable du traitement ostéopathique de cette affection nous a permis d'affiner l'hypothèse d'une névropathie d'emprisonnement du nerf facial et de son traitement manuel axé sur la présence d'une tension de membrane intracranienne qui serait le facteur déclenchant de cette paralysie faciale. En effet, les tests d'écoute cranienne effectués dans la première séance ont trouvé une rigidité et une fermeture importante des membranes de tension réciproques. Nous n'avons rencontré dans notre étude, que des atteintes du nerf facial entre son émergence à la face latérale du bulbe et son entrée dans le conduit auditif interne (C.A.I.), sous la tente du cervelet: donc paralysie périphérique extra-nucléaire. Sur ce type de paralysie faciale et compte tenu de tous les éléments: * anatomique * physiologique * pathogénique, * étiologique * étiopathique Nous avons mis en pratique des techniques manuelles pour favoriser un travail de libération des membranes de tension réciproques (M.T.R.). L'heureuse rencontre d'une paralysie idiopathique du VII avec l'ostéopathie : à propos de 4 cas [texte imprimé] / Serge Baudu, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE CRANIENNE TECHNIQUE MEMBRANE DE TENSION RECIPROQUE M.T.R. PATHOLOGIE PARALYSIE FACIALE NEUROLOGIE NERF VII NERF FACIAL TRAITEMENT Résumé : Un homme de 60 ans se présente en consultation d'ostéopathie avec une paralysie faciale droite sévére, avec un oeil larmoyant, hyper-salivation, diminution de l'audition, difficultés à s'exprimer. Au cours de l'anamnèse, il apparait que cette paralysie faciale est de survenue subite sans facteur déclenchant. Ce patient a été envoyé par son médecin traitant en consultation de neurologie pour confirmation du diagnostic et mise en place d'un traitement de physiothérapie. Ce premier traitement a connu un échec, aussi une intervention chirurgicale a été pratiquée ( perforation du temporal à partir de la mastoïde pour libérer le nerf facial dans le canal de FALLOPE) . Ce deuxième acte thérapeutique a été un nouvel échec, d'où la consultation spontanée de ce patient en ostéopathie. Le traitement ostéopathique instauré chez ce patient dans une impasse thérapeutique allopathique a apporté des résultats. D'autres cas se sont présentés en consultation avec ce même problème de paralysie faciale. La réponse favorable du traitement ostéopathique de cette affection nous a permis d'affiner l'hypothèse d'une névropathie d'emprisonnement du nerf facial et de son traitement manuel axé sur la présence d'une tension de membrane intracranienne qui serait le facteur déclenchant de cette paralysie faciale. En effet, les tests d'écoute cranienne effectués dans la première séance ont trouvé une rigidité et une fermeture importante des membranes de tension réciproques. Nous n'avons rencontré dans notre étude, que des atteintes du nerf facial entre son émergence à la face latérale du bulbe et son entrée dans le conduit auditif interne (C.A.I.), sous la tente du cervelet: donc paralysie périphérique extra-nucléaire. Sur ce type de paralysie faciale et compte tenu de tous les éléments: * anatomique * physiologique * pathogénique, * étiologique * étiopathique Nous avons mis en pratique des techniques manuelles pour favoriser un travail de libération des membranes de tension réciproques (M.T.R.). Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 67 2.3 BAU Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Réflexe oculo-céphalogyre et comportement membraneux de l'atlas / Yves Tricot
Titre : Réflexe oculo-céphalogyre et comportement membraneux de l'atlas Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves Tricot, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE CRANIENNE SYMPHYSE SPHENO-BASILAIRE COMPLEXE OCCIPUT-ATLAS-AXIS ANATOMIE PROCESSUS ORBITAIRE NEUROLOGIE BIOMECANIQUE PHYSIOLOGIE GLOBE OCULAIRE REFLEXE OCULO-CEPHALOGYRE POSTUROLOGIE LIGNE DE GRAVITE Résumé : Par quelle transmission les mouvements rotatoires des yeux induisent - ils la rotation de la tête du même côté ? Le réflexe oculo-céphalogyre décrit la voie neurologique mais le mouvement s'inscrit dans la structure. C'est cette transmission de mouvement par la membrane que nous nous proposons d'étudier. Le concept ostéopathique nous permet de relier trois structures essentielles du crâne mise en jeu dans ce réflexe:1.) Les globes oculaires et leur hyper mobilité ténérée par de nombreux muscles orbitaires. 2.) La symphyse sphéno-basilaire au centre du crâne à la fois composante et résultante de la motilité crânienne. 3.) La charnière Occiput-Atlas-Axis (O.A.A.). c'est le premier complexe d'arthrodies que croise la fluctuation du L.C.R. dans Sa gaine méningée et la première .. vrale .. articulation siège d'une macromobilité. C'est le lieu d'origine des lignes de gravité. L'ensemble de ces trois structures forme une lemniscate. Le but de cette étude est multiple: Principalement: - Décrire le mécanisme membraneux par lequel la rotation oculaire déclenche une rotation de tête du même côté, transmission mécanique contrôlée par le réflexe oculo- cephalogyre. Dans ce cadre, nous étudierons, particulièrement, le comportement membraneux (physiologique et lésionnel) de l'Atlas, synergique aux mouvements oculaires Par ailleurs : - Mettre en place un test simple qui nous permet d'affiner l'état lésionnel de la charnière et de confirmer la ou les lésions de cette charnière par rapport aux tests classiques.Nous pouvons aussi vérifier le bon positionnement de C1et ainsi contrôler la qualité de correction de la lésion initiale. - Confirmer sur un plan général l' importance de la charnière occiput-atlas-axis dans la transmission des chaînes lésionnelles ascendantes ou descendante. Nous étudierons dans un premier temps la physiologie du globe oculaire puis en neurologie la poursuite horizontale ( point de départ du réflexe oculocéphalogyre), l'anatomo-physiologie de la boule crânienne et de la charnière a.A.A., les lignes de gravité et enfin le comportement de C1 dans le mécanisme oculo-céphalogyre en situation physiologique et en lésion ostéopathique de la charnière O.A.A. Réflexe oculo-céphalogyre et comportement membraneux de l'atlas [texte imprimé] / Yves Tricot, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE CRANIENNE SYMPHYSE SPHENO-BASILAIRE COMPLEXE OCCIPUT-ATLAS-AXIS ANATOMIE PROCESSUS ORBITAIRE NEUROLOGIE BIOMECANIQUE PHYSIOLOGIE GLOBE OCULAIRE REFLEXE OCULO-CEPHALOGYRE POSTUROLOGIE LIGNE DE GRAVITE Résumé : Par quelle transmission les mouvements rotatoires des yeux induisent - ils la rotation de la tête du même côté ? Le réflexe oculo-céphalogyre décrit la voie neurologique mais le mouvement s'inscrit dans la structure. C'est cette transmission de mouvement par la membrane que nous nous proposons d'étudier. Le concept ostéopathique nous permet de relier trois structures essentielles du crâne mise en jeu dans ce réflexe:1.) Les globes oculaires et leur hyper mobilité ténérée par de nombreux muscles orbitaires. 2.) La symphyse sphéno-basilaire au centre du crâne à la fois composante et résultante de la motilité crânienne. 3.) La charnière Occiput-Atlas-Axis (O.A.A.). c'est le premier complexe d'arthrodies que croise la fluctuation du L.C.R. dans Sa gaine méningée et la première .. vrale .. articulation siège d'une macromobilité. C'est le lieu d'origine des lignes de gravité. L'ensemble de ces trois structures forme une lemniscate. Le but de cette étude est multiple: Principalement: - Décrire le mécanisme membraneux par lequel la rotation oculaire déclenche une rotation de tête du même côté, transmission mécanique contrôlée par le réflexe oculo- cephalogyre. Dans ce cadre, nous étudierons, particulièrement, le comportement membraneux (physiologique et lésionnel) de l'Atlas, synergique aux mouvements oculaires Par ailleurs : - Mettre en place un test simple qui nous permet d'affiner l'état lésionnel de la charnière et de confirmer la ou les lésions de cette charnière par rapport aux tests classiques.Nous pouvons aussi vérifier le bon positionnement de C1et ainsi contrôler la qualité de correction de la lésion initiale. - Confirmer sur un plan général l' importance de la charnière occiput-atlas-axis dans la transmission des chaînes lésionnelles ascendantes ou descendante. Nous étudierons dans un premier temps la physiologie du globe oculaire puis en neurologie la poursuite horizontale ( point de départ du réflexe oculocéphalogyre), l'anatomo-physiologie de la boule crânienne et de la charnière a.A.A., les lignes de gravité et enfin le comportement de C1 dans le mécanisme oculo-céphalogyre en situation physiologique et en lésion ostéopathique de la charnière O.A.A. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 900 1.2 TRI Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Abord ostéopathique des troubles fonctionnels et organiques de la voix : étude clinique / JANSSENS Monique
Titre : Abord ostéopathique des troubles fonctionnels et organiques de la voix : étude clinique Type de document : texte imprimé Auteurs : JANSSENS Monique, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : ANATOMIE SPHERE O.R.L. OS HYOIDE LARYNX PHARYNX NEUROLOGIE PHYSIOLOGIE VOIX PHONATION EXPERIMENTATION HOPITAL TRAITEMENT OSTEOPATHIE CRANIENNE Résumé : Existe-t-il une approche manuelle dans le traitement de la voix? Peut-on aborder physiquement ce carrefour de la personnalité qui, à la fois, fait partie du corps et se projette loin de lui? Comment toucher, où agir et pourquoi? Nos manoeuvres ostéopathiques peuvent-elles contribuer au rétablissement de la voix chez des patients atteints de dysphonie? C'est la question que nous nous sommes posée en recevant en consultation des patients envoyés par des logopèdes. Ceux-ci observant ou pressentant des tensions trop grandes chez leurs patients, nous avaient demandé de les détendre au niveau des épaules. Mais cela était-il suffisant? L'ostéopathie n'allait-elle pas investiguer plus loin? Nous avons trouvé dans la littérature logopédique des exercices de mâchoires, de position de la tête et du tronc, de gymnastique de la langue (Yva Barthélémy Dejong-Estienne) et nous avons relevé une manoeuvre directe d/abtraction du larynx vers le bas. Dans la littérature ostéopathique, M.John Upledgerdétaille et aborde manuellement la régionantérieureducou (hyoïde) en relation avec la 5 ph ère crânienne (temporaux). Mais il ne fait aucune allusion à la voix. D'autres auteurs (Bochurberg, Busquet, Roques, BarraI) décrivent des manoeuvres à propos des mâchoires et de l'espace viscéral antérieur du cou mais aucun n'évoque la fonction vocale et l'éventuelle répercussion de leurs ma no eu vres sur elle. Il fallait donc rassembl(Ostéopathiques appropriés au traitement des dysphonies, étayer leur pourquoi, les appliquer de façon rigoureuse dans un groupe expérimental et mesurer les effets obtenus. Nous nous SOJ5 directement vers les professionnels de la voix/cherchant ainsi à intégrer l'ostéopathie dans un milieu de travail reconnu, à savoir le Centre d' Audiophonologie Paul Guns (Université Catholique de Louvain). Nous faisions ainsi d'une pierre deux coups: nous parlions ostéopathie dans un milieu où l'on ne l'avait pas fait auparavant et nous vivion~s une expérience enrichissante. Abord ostéopathique des troubles fonctionnels et organiques de la voix : étude clinique [texte imprimé] / JANSSENS Monique, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : ANATOMIE SPHERE O.R.L. OS HYOIDE LARYNX PHARYNX NEUROLOGIE PHYSIOLOGIE VOIX PHONATION EXPERIMENTATION HOPITAL TRAITEMENT OSTEOPATHIE CRANIENNE Résumé : Existe-t-il une approche manuelle dans le traitement de la voix? Peut-on aborder physiquement ce carrefour de la personnalité qui, à la fois, fait partie du corps et se projette loin de lui? Comment toucher, où agir et pourquoi? Nos manoeuvres ostéopathiques peuvent-elles contribuer au rétablissement de la voix chez des patients atteints de dysphonie? C'est la question que nous nous sommes posée en recevant en consultation des patients envoyés par des logopèdes. Ceux-ci observant ou pressentant des tensions trop grandes chez leurs patients, nous avaient demandé de les détendre au niveau des épaules. Mais cela était-il suffisant? L'ostéopathie n'allait-elle pas investiguer plus loin? Nous avons trouvé dans la littérature logopédique des exercices de mâchoires, de position de la tête et du tronc, de gymnastique de la langue (Yva Barthélémy Dejong-Estienne) et nous avons relevé une manoeuvre directe d/abtraction du larynx vers le bas. Dans la littérature ostéopathique, M.John Upledgerdétaille et aborde manuellement la régionantérieureducou (hyoïde) en relation avec la 5 ph ère crânienne (temporaux). Mais il ne fait aucune allusion à la voix. D'autres auteurs (Bochurberg, Busquet, Roques, BarraI) décrivent des manoeuvres à propos des mâchoires et de l'espace viscéral antérieur du cou mais aucun n'évoque la fonction vocale et l'éventuelle répercussion de leurs ma no eu vres sur elle. Il fallait donc rassembl(Ostéopathiques appropriés au traitement des dysphonies, étayer leur pourquoi, les appliquer de façon rigoureuse dans un groupe expérimental et mesurer les effets obtenus. Nous nous SOJ5 directement vers les professionnels de la voix/cherchant ainsi à intégrer l'ostéopathie dans un milieu de travail reconnu, à savoir le Centre d' Audiophonologie Paul Guns (Université Catholique de Louvain). Nous faisions ainsi d'une pierre deux coups: nous parlions ostéopathie dans un milieu où l'on ne l'avait pas fait auparavant et nous vivion~s une expérience enrichissante. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 502 JAN Mémoire (ostéopathie) école d'ostéopathie Documentaires Exclu du prêt Corps, mémoire et ostéopathie / PONTRANDOLFI Porzia
Titre : Corps, mémoire et ostéopathie Type de document : texte imprimé Auteurs : PONTRANDOLFI Porzia, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : PHILOSOPHIE HISTOIRE MEMOIRE SOCIOLOGIE BIBLIOGRAPHIE BIOCHIMIE PSYCHOLOGIE NEUROLOGIE Résumé : Régulièrement au cours de traitements ostéopathiques, nous avons eu la surprise de voir apparaître, au fur et à mesure que les lésions ostéopathiques étaient corrigées, des pans de 'histoire des patients; que ce soit sous la forme de souvenirs conscients ou de nouveaux motifs de consultation (douleurs, gênes) dus à de nouvelles lésions ostéopathiques, elles-mêmes liées à des traumatismes antérieurs... C'était comme si nous remontions le fil du temps, même si cela n'était pas le but que nous recherchions. Le corps serait donc capable de mémoriser notre histoire. Comment procède-t-il ? En quoi le fait de libérer des lésions ostéopathiques contribue-t-il à retrouver des événements anciens? Ce questionnement nous est apparu comme un sujet de mémoire. Déjà , en psychomotricité, pendant les cures de relaxation, nous avions noté que les symptômes corporels ressentis par les personnes, étaient le plus souvent liés à des émotions, à des événements marquants de leur vie. èe mémoire est donc axé autour de deux interrogations: 1. Les lésions ostéopathiques peuvent-elles être considérées comme une mise en mémoire de l'histoire de l'individu? Quels en seraient les mécanismes? Dans quelle mesure le corps serait impliqué? Comment le corps intègre et mémorise les informations qu'il reçoit? Comment les exprime-t-il ? Comment les partage-t-il ? Pourrait-on alors parler à juste titre de " mémoire du corps " ? En effet, même si ce terme paraît évident, familier dans la mesure où il est fréquemment utilisé aussi bien en ostéopathie que dans d'autres disciplines, nous ne connaissons pas réellement son mode de fonctionnement. 2. Comment envisager, dans ce cas, le traitement ostéopathique ? Au niveau local, consisterait-il à " effacer " la lésion, dans la mesure où nous parvenons à rendre leur mobilité aux tissus, aux parties du corps en lésion? Au niveau général, consisterait-il à rétablir la communication entre ces parties et le reste du corps, en les réintégrant dans la globalité, l'unité? Il ne s'agit pas d'une réflexion sur la mémoire cognitive, sens que l'on attribue en première intention au terme "mémoire". Un travail sur ce thème a déjà été réalisé par Roger-Bernard Vernouillet, en 1992. Pour répondre à nos questions, nous avons pris le parti de ne pas réaliser un travail clinique qui pourrait constituer, à lui seul, la base d'un mémoire. Nous avons préféré effectuer un travail de recherche bibliographique dans le domaine ostéopathique, mais aussi philosophique, scientifique, médical, psychologique. En effet, nous considérons ce travail bibliographique comme un "passage obligé" avant toute recherche pratique ou clinique. Dans une première partie, nous rappellerons les principes fondateurs énoncés par Still ainsi que son explication des mécanismes de la lésion ostéopathique. Puis nous verrons comment ses successeurs ont approfondi ces bases sans jamais les remettre en question. Ce rappel nous permettra de voir comment les ostéopathes définissent, au fur et à mesure, ces mécanismes et en quoi ces différents points de vue contribuent à la mise en place de leur traitement. Nous considérerons que notre traitement dépend aussi de la conception que nous avons du corps. Avons-nous entre les mains "un corps à redresser" ou " un élément constitutif de la personne" ? Pour resituer les principes de base de l'ostéopathie dans leur contexte historique et ainsi relativiser nos propositions ( théoriques, philosophiques ), il nous semble important: . - de définir le mot " corps" ; - d'avoir une vision historique de la notion de corps et de maladie qui ont fortement évolué au cours du temps. Nous reprendrons cette évolution à travers 'Histoire et 1 'histoire de la médecine. Volontairement, nous nous restreindrons à 1 'histoire de la médecine en Occident. car c'est elle- qui est en" lien direct avec l'ostéopathie. Dans une troisième partie, nous présenterons la mémoire. Puisqu'elle est l'objet d'étude privilégié des neurosciences et de la psychologie cognitive, il nous a semblé nécessaire de nous appuyer sur leurs conclusions pour poursuivre notre réflexion sur les mécanismes de la lésion ostéopathique. Nous montrerons: - comment ces disciplines définissent la mémoire, - quels sont ses mécanismes au niveau psychologique, neurologique et biochimique, - s'il existe un support anatomique qui permette d'expliquer ces phénomènes. Toutes ces données nous permettront de déduire l'existence de liens entre la mémoire et le corps. Sachant que la psychanalyse, la psychologie humaniste et les thérapies corporelles ont abordé le sujet de la mémoire du corps, nous verrons dans une quatrième partie, comment elles peuvent nous aider à établir d'autres liens. En conclusion, nous nous appuierons sur toutes ces réflexions pour : - établir l'existence de la mémoire du corps, mais surtout comprendre son fonctionnement, - confirmer les diverses hypothèses données par les ostéopathes sur les mécanismes de la lésion ostéopathique, - tenter de définir les modalités du traitement ostéopathique. Corps, mémoire et ostéopathie [texte imprimé] / PONTRANDOLFI Porzia, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : PHILOSOPHIE HISTOIRE MEMOIRE SOCIOLOGIE BIBLIOGRAPHIE BIOCHIMIE PSYCHOLOGIE NEUROLOGIE Résumé : Régulièrement au cours de traitements ostéopathiques, nous avons eu la surprise de voir apparaître, au fur et à mesure que les lésions ostéopathiques étaient corrigées, des pans de 'histoire des patients; que ce soit sous la forme de souvenirs conscients ou de nouveaux motifs de consultation (douleurs, gênes) dus à de nouvelles lésions ostéopathiques, elles-mêmes liées à des traumatismes antérieurs... C'était comme si nous remontions le fil du temps, même si cela n'était pas le but que nous recherchions. Le corps serait donc capable de mémoriser notre histoire. Comment procède-t-il ? En quoi le fait de libérer des lésions ostéopathiques contribue-t-il à retrouver des événements anciens? Ce questionnement nous est apparu comme un sujet de mémoire. Déjà , en psychomotricité, pendant les cures de relaxation, nous avions noté que les symptômes corporels ressentis par les personnes, étaient le plus souvent liés à des émotions, à des événements marquants de leur vie. èe mémoire est donc axé autour de deux interrogations: 1. Les lésions ostéopathiques peuvent-elles être considérées comme une mise en mémoire de l'histoire de l'individu? Quels en seraient les mécanismes? Dans quelle mesure le corps serait impliqué? Comment le corps intègre et mémorise les informations qu'il reçoit? Comment les exprime-t-il ? Comment les partage-t-il ? Pourrait-on alors parler à juste titre de " mémoire du corps " ? En effet, même si ce terme paraît évident, familier dans la mesure où il est fréquemment utilisé aussi bien en ostéopathie que dans d'autres disciplines, nous ne connaissons pas réellement son mode de fonctionnement. 2. Comment envisager, dans ce cas, le traitement ostéopathique ? Au niveau local, consisterait-il à " effacer " la lésion, dans la mesure où nous parvenons à rendre leur mobilité aux tissus, aux parties du corps en lésion? Au niveau général, consisterait-il à rétablir la communication entre ces parties et le reste du corps, en les réintégrant dans la globalité, l'unité? Il ne s'agit pas d'une réflexion sur la mémoire cognitive, sens que l'on attribue en première intention au terme "mémoire". Un travail sur ce thème a déjà été réalisé par Roger-Bernard Vernouillet, en 1992. Pour répondre à nos questions, nous avons pris le parti de ne pas réaliser un travail clinique qui pourrait constituer, à lui seul, la base d'un mémoire. Nous avons préféré effectuer un travail de recherche bibliographique dans le domaine ostéopathique, mais aussi philosophique, scientifique, médical, psychologique. En effet, nous considérons ce travail bibliographique comme un "passage obligé" avant toute recherche pratique ou clinique. Dans une première partie, nous rappellerons les principes fondateurs énoncés par Still ainsi que son explication des mécanismes de la lésion ostéopathique. Puis nous verrons comment ses successeurs ont approfondi ces bases sans jamais les remettre en question. Ce rappel nous permettra de voir comment les ostéopathes définissent, au fur et à mesure, ces mécanismes et en quoi ces différents points de vue contribuent à la mise en place de leur traitement. Nous considérerons que notre traitement dépend aussi de la conception que nous avons du corps. Avons-nous entre les mains "un corps à redresser" ou " un élément constitutif de la personne" ? Pour resituer les principes de base de l'ostéopathie dans leur contexte historique et ainsi relativiser nos propositions ( théoriques, philosophiques ), il nous semble important: . - de définir le mot " corps" ; - d'avoir une vision historique de la notion de corps et de maladie qui ont fortement évolué au cours du temps. Nous reprendrons cette évolution à travers 'Histoire et 1 'histoire de la médecine. Volontairement, nous nous restreindrons à 1 'histoire de la médecine en Occident. car c'est elle- qui est en" lien direct avec l'ostéopathie. Dans une troisième partie, nous présenterons la mémoire. Puisqu'elle est l'objet d'étude privilégié des neurosciences et de la psychologie cognitive, il nous a semblé nécessaire de nous appuyer sur leurs conclusions pour poursuivre notre réflexion sur les mécanismes de la lésion ostéopathique. Nous montrerons: - comment ces disciplines définissent la mémoire, - quels sont ses mécanismes au niveau psychologique, neurologique et biochimique, - s'il existe un support anatomique qui permette d'expliquer ces phénomènes. Toutes ces données nous permettront de déduire l'existence de liens entre la mémoire et le corps. Sachant que la psychanalyse, la psychologie humaniste et les thérapies corporelles ont abordé le sujet de la mémoire du corps, nous verrons dans une quatrième partie, comment elles peuvent nous aider à établir d'autres liens. En conclusion, nous nous appuierons sur toutes ces réflexions pour : - établir l'existence de la mémoire du corps, mais surtout comprendre son fonctionnement, - confirmer les diverses hypothèses données par les ostéopathes sur les mécanismes de la lésion ostéopathique, - tenter de définir les modalités du traitement ostéopathique. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 742 1.3 PON Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Foie et ostéopathie : à partir de quelques observations peut-on penser qu'il existe un lien entre le foie et la charnière cervico-dorsale ? Que peuvent apporter la lecture de Still, l'embryologie, la neurophysiologie dans l'étude de ces liens ? / Jacques Thomas
Titre : Foie et ostéopathie : à partir de quelques observations peut-on penser qu'il existe un lien entre le foie et la charnière cervico-dorsale ? Que peuvent apporter la lecture de Still, l'embryologie, la neurophysiologie dans l'étude de ces liens ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Thomas, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : HISTOLOGIE ANATOMIE PHYSIOLOGIE NEUROLOGIE FOIE CHARNIERE C7/ D1 EMBRYOLOGIE OSTEOPATHIE VISCERALE TRAITEMENT Résumé : La vie et le travail d'un ostéopathe s'appuient sur les fondements posés par AT STILL . "La structure gouverne la fonction" , "la règle de l'artère est suprême" , ainsi que "les trois liens, mécanique, fluidique et neurologique" ont bercé nos études et président à la recherche de la cause de la lésion. Bien entendu, il s'agit de traiter des patients dont la structure anatomique est "a priori" aboutie, quoique l'on trouve parfois des anomalies dues à un développement embryonnaire "inachevé" tel que, par exemple, un spina bifida occulta. STILL insistait particulièrement Sur l'apprentissage de l'anatomie, laquelle comprenait selon lui non seulement l'anatomie descriptive, mais aussi l'histologie, la physiologie, la chimie élémentaire et, naturellement, la clinique. Toutefois, la progression du savoir scientifique a permis de mettre en évidence une physiologie plus précise et, pour certaines anomalies, une origine antérieure à la naissance due au développement embryonnaire. Certains organes voient également des modifications de leur fonction au cours de - et après - la vie embryonnaire. D'autre part, certaines constatations cliniques nous ont interrogé quant aux liens qui semblent exister entre deux régions, en l'occurrence la charnière cervico-dorsale et le foie, alors même que l'explication anatomique descriptive paraît insuffisante. Nous avons donc décidé de reprendre ce que STILL connaissait et supposait à l'époque de tous ces éléments de l'anatomie, en nous intéressant particulièrement à un organe: le foie. Mais, tout d'abord, pour illustrer ce qui nous a fait poser cette question, nousallons présenter quelques observations, bien sûr orientées vers cet organe qu'est le foie, au travers de manifestations "a priori" éloignées les unes des autres. Nous tâcherons d'en extraire les interrogations à l'origine de ce travail. Nous verrons ensuite ce que STILL écrivait à propos du traitement de certaines maladies et comment, à notre avis, nous pouvons les relier au foie. Cependant, certains liens n'apparaissent pas de façon évidente, ce qui amène la question d'une organisation antérieure dont l'origine pourrait se trouver dans le développement embryonnaire. Nous essaierons donc de voir, avec l'étude de l'embryologie, si un lien peut être mis en évidence par ce biais. Foie et ostéopathie : à partir de quelques observations peut-on penser qu'il existe un lien entre le foie et la charnière cervico-dorsale ? Que peuvent apporter la lecture de Still, l'embryologie, la neurophysiologie dans l'étude de ces liens ? [texte imprimé] / Jacques Thomas, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : HISTOLOGIE ANATOMIE PHYSIOLOGIE NEUROLOGIE FOIE CHARNIERE C7/ D1 EMBRYOLOGIE OSTEOPATHIE VISCERALE TRAITEMENT Résumé : La vie et le travail d'un ostéopathe s'appuient sur les fondements posés par AT STILL . "La structure gouverne la fonction" , "la règle de l'artère est suprême" , ainsi que "les trois liens, mécanique, fluidique et neurologique" ont bercé nos études et président à la recherche de la cause de la lésion. Bien entendu, il s'agit de traiter des patients dont la structure anatomique est "a priori" aboutie, quoique l'on trouve parfois des anomalies dues à un développement embryonnaire "inachevé" tel que, par exemple, un spina bifida occulta. STILL insistait particulièrement Sur l'apprentissage de l'anatomie, laquelle comprenait selon lui non seulement l'anatomie descriptive, mais aussi l'histologie, la physiologie, la chimie élémentaire et, naturellement, la clinique. Toutefois, la progression du savoir scientifique a permis de mettre en évidence une physiologie plus précise et, pour certaines anomalies, une origine antérieure à la naissance due au développement embryonnaire. Certains organes voient également des modifications de leur fonction au cours de - et après - la vie embryonnaire. D'autre part, certaines constatations cliniques nous ont interrogé quant aux liens qui semblent exister entre deux régions, en l'occurrence la charnière cervico-dorsale et le foie, alors même que l'explication anatomique descriptive paraît insuffisante. Nous avons donc décidé de reprendre ce que STILL connaissait et supposait à l'époque de tous ces éléments de l'anatomie, en nous intéressant particulièrement à un organe: le foie. Mais, tout d'abord, pour illustrer ce qui nous a fait poser cette question, nousallons présenter quelques observations, bien sûr orientées vers cet organe qu'est le foie, au travers de manifestations "a priori" éloignées les unes des autres. Nous tâcherons d'en extraire les interrogations à l'origine de ce travail. Nous verrons ensuite ce que STILL écrivait à propos du traitement de certaines maladies et comment, à notre avis, nous pouvons les relier au foie. Cependant, certains liens n'apparaissent pas de façon évidente, ce qui amène la question d'une organisation antérieure dont l'origine pourrait se trouver dans le développement embryonnaire. Nous essaierons donc de voir, avec l'étude de l'embryologie, si un lien peut être mis en évidence par ce biais. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 883 THO Mémoire (ostéopathie) école d'ostéopathie Documentaires Exclu du prêt Fonction mémoire et structure du lobe temporal : recherche en ostéopathie / Roger-Bruno Vernouillet
PermalinkGonalgies et le complexe petit bassin chez la femme (Les) / Sandrine Astagneau
PermalinkL'ostéopathie dans la maladie de Parkinson idiopathique / PETIT Pierre-Yves
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