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21 recherche sur le mot-clé 'UTERUS'
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L'axe virtuel d'un organe doit-il être respecté et soumis à des normes de positionnement pour que s'accomplisse sa fonction ? / étude des utérus rétroversés et rétrofléchis / SAINE Marie-José
Titre : L'axe virtuel d'un organe doit-il être respecté et soumis à des normes de positionnement pour que s'accomplisse sa fonction ? / étude des utérus rétroversés et rétrofléchis Type de document : texte imprimé Auteurs : SAINE Marie-José, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : PHILOSOPHIE CONCEPT PHYSIOLOGIE AXE DEAMBULATEUR ANATOMIE PETIT BASSIN CEINTURE PELVIENNE UTERUS OSTEOPATHIE VISCERALE TRAITEMENT SOCIOLOGIE FEMME Résumé : La question posée dans cette recherche peut-être formulée comme suit: L'axe virtuel d'un organe doit-il ê'b"e respecté et soumis à des normes de POSitionnement pour que s'accomplisse sa fonction? Cette question me semble importante, car elle en sous-entend bien d'autres: . d'ordre pratique Quand doit-on terminer un traitement ostéopathique? - jusqu'à ce que la position de l'organe soit redevenue normale ou - jusqu'à ce que la mobilité soit revenue? . d'ordre didactique La définition d'axes autour desquels les mouvements s'organisent est complexe. Au C.E.C. (Cercle d'êtudes Ostéopathiques), nous considérons qu'il existe deux sortes d'axes: Axe virtuel : Axe normal autour duquel se font les mouvements; ils sont matérialisés au niveau organique par des ligaments, des fascias spécifiques à l'organe. Axe mécanique : Axe pathologique d'accommodation autour duquel s'installe un mouvement; ce nouvel axe est concrétisé aussi par des fascias normalement mobiles qui sont immobilisés par cause traumatique ou inflammatoire. Mais l'axe d'un organe mal positionné peut-il être virtuel et normal ou sera-t-il toujours pathologique ? Un axe pathologique peut-il, tout en restant à la même place, redevenir normal si nous redonnons de la mobilité aux structures immédiatement environnantes? Le corps, par sa capacité d'autoguérison, peut-il s'adapter à un axe pathologique et sauvegarder la santé? . d'ordre philosophique - A vons-nous besoin pour vivre notre vie, pour nous réaliser, d'être en parfaite santé? Ces axes mécaniques pathologiques locaux ont-ils leur lieu d'être pour que s'accomplissent d'autres fonctions? quelles sont les limites de l'ostéopathie? - où se situe la limite du normal et de l'anormal? Après toutes ces questions que soulève la première, revenons à celle qui est le moteur de cette rect "L'axe virtuel d'un organe doit-il être respecté et soumis à des normes de positionnement pour que s'accomplisse sa fonction ? " Pour y répondre, j'ai choisi d'étudier les utérus rétroversés L'axe virtuel d'un organe doit-il être respecté et soumis à des normes de positionnement pour que s'accomplisse sa fonction ? / étude des utérus rétroversés et rétrofléchis [texte imprimé] / SAINE Marie-José, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : PHILOSOPHIE CONCEPT PHYSIOLOGIE AXE DEAMBULATEUR ANATOMIE PETIT BASSIN CEINTURE PELVIENNE UTERUS OSTEOPATHIE VISCERALE TRAITEMENT SOCIOLOGIE FEMME Résumé : La question posée dans cette recherche peut-être formulée comme suit: L'axe virtuel d'un organe doit-il ê'b"e respecté et soumis à des normes de POSitionnement pour que s'accomplisse sa fonction? Cette question me semble importante, car elle en sous-entend bien d'autres: . d'ordre pratique Quand doit-on terminer un traitement ostéopathique? - jusqu'à ce que la position de l'organe soit redevenue normale ou - jusqu'à ce que la mobilité soit revenue? . d'ordre didactique La définition d'axes autour desquels les mouvements s'organisent est complexe. Au C.E.C. (Cercle d'êtudes Ostéopathiques), nous considérons qu'il existe deux sortes d'axes: Axe virtuel : Axe normal autour duquel se font les mouvements; ils sont matérialisés au niveau organique par des ligaments, des fascias spécifiques à l'organe. Axe mécanique : Axe pathologique d'accommodation autour duquel s'installe un mouvement; ce nouvel axe est concrétisé aussi par des fascias normalement mobiles qui sont immobilisés par cause traumatique ou inflammatoire. Mais l'axe d'un organe mal positionné peut-il être virtuel et normal ou sera-t-il toujours pathologique ? Un axe pathologique peut-il, tout en restant à la même place, redevenir normal si nous redonnons de la mobilité aux structures immédiatement environnantes? Le corps, par sa capacité d'autoguérison, peut-il s'adapter à un axe pathologique et sauvegarder la santé? . d'ordre philosophique - A vons-nous besoin pour vivre notre vie, pour nous réaliser, d'être en parfaite santé? Ces axes mécaniques pathologiques locaux ont-ils leur lieu d'être pour que s'accomplissent d'autres fonctions? quelles sont les limites de l'ostéopathie? - où se situe la limite du normal et de l'anormal? Après toutes ces questions que soulève la première, revenons à celle qui est le moteur de cette rect "L'axe virtuel d'un organe doit-il être respecté et soumis à des normes de positionnement pour que s'accomplisse sa fonction ? " Pour y répondre, j'ai choisi d'étudier les utérus rétroversés Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 826 SAI Mémoire (ostéopathie) école d'ostéopathie Documentaires Exclu du prêt Implication ostéopathique de l'unité utérus / vessie dans les gonalgies fonctionnelles / MATHIEU Line
Titre : Implication ostéopathique de l'unité utérus / vessie dans les gonalgies fonctionnelles Type de document : texte imprimé Auteurs : MATHIEU Line, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : PATHOLOGIE GONALGIE OSTEOPATHIE VISCERALE ANATOMIE PETIT BASSIN UTERUS VESSIE GENOU ARTICULATION COXO FEMORALE TRAITEMENT Résumé : Toujours fidèle aux principes de globalité et de mobilité inhérents à l'art ostéopathjque, j'ai été frappée, en pratiquant le bilan global précédant chaque traitement, par le nombre de fixations uro-génitales s'accompagnant d'une asymétrie de tension obturatrice (ju même côté. Celles-ci n'avaient pas forcément de répercussions dysfonctionnelles. Par contre, lorsqu'elles étaient accompagnées de fixations pariétales ou viscérales, elles posaient déjà plus de problèmes. Mais survenant à certaines périodes de la vie génitale (notamment puberté, état post-gravidique), elles s'accompagnaient presque immanquablement de gonalgies (radiologie négative à l'appui). Cet état de fait m'a surprise et j'ai cherché à savoir pourquoi. Pour trouver réponse(s) à mon étonnement, j'ai fait comme tout ostéopathe qui a entendu (et réentendu !) la célèbre phrase de A.T. still : "L'ostéopathie, c'est de l''anatomie, encore de l'anatomie, toujours de l'anatomie". En effet, en consultant les ouvrages d' anatomie classique, j'ai pu constater la richesse des rapports anatomiques entre vessie, membrane obturatrice et nerf obturateur, ce dernier nous amenant directement à la face interne du genou. Ce fut là le point de départ de mon raisonnement ostéopathique. Il s'en est dégagé un ensemble de paramètres qui, se superposant au cours du temps, peuvent aboutir, dans le pire des cas, à une gonarthrose chronique et invalidante. Après avoir décrit les éléments d'anatomie et de physiologie viscérale, j'essaierai de mettre en évidence les cinq paramètres qui me semblent les plus importants à envisager dans cette pathologie, à savoir : un terrain hormonal prédisposant qui s'accompagne de fixations utéro-vésicales. Celles-ci conduisent à une irritation du nerf obturateur par contiguïté à une vessie fixée et souvent ptôsée contre la membrane obturatrice. De là apparaissent des signes d'appel douloureux qui peuvent être renforcés par des lésions mécaniques associées et des lésions circulatoires. Je vous invite donc à commencer par quelques rappels d'anatomie. N'oublions pas que "un ostéopathe raisonne sur la base de ses connaissances en anatomie. Il compare le travail du corps anormal avec celui du corps normal" (A.T. Still). Implication ostéopathique de l'unité utérus / vessie dans les gonalgies fonctionnelles [texte imprimé] / MATHIEU Line, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : PATHOLOGIE GONALGIE OSTEOPATHIE VISCERALE ANATOMIE PETIT BASSIN UTERUS VESSIE GENOU ARTICULATION COXO FEMORALE TRAITEMENT Résumé : Toujours fidèle aux principes de globalité et de mobilité inhérents à l'art ostéopathjque, j'ai été frappée, en pratiquant le bilan global précédant chaque traitement, par le nombre de fixations uro-génitales s'accompagnant d'une asymétrie de tension obturatrice (ju même côté. Celles-ci n'avaient pas forcément de répercussions dysfonctionnelles. Par contre, lorsqu'elles étaient accompagnées de fixations pariétales ou viscérales, elles posaient déjà plus de problèmes. Mais survenant à certaines périodes de la vie génitale (notamment puberté, état post-gravidique), elles s'accompagnaient presque immanquablement de gonalgies (radiologie négative à l'appui). Cet état de fait m'a surprise et j'ai cherché à savoir pourquoi. Pour trouver réponse(s) à mon étonnement, j'ai fait comme tout ostéopathe qui a entendu (et réentendu !) la célèbre phrase de A.T. still : "L'ostéopathie, c'est de l''anatomie, encore de l'anatomie, toujours de l'anatomie". En effet, en consultant les ouvrages d' anatomie classique, j'ai pu constater la richesse des rapports anatomiques entre vessie, membrane obturatrice et nerf obturateur, ce dernier nous amenant directement à la face interne du genou. Ce fut là le point de départ de mon raisonnement ostéopathique. Il s'en est dégagé un ensemble de paramètres qui, se superposant au cours du temps, peuvent aboutir, dans le pire des cas, à une gonarthrose chronique et invalidante. Après avoir décrit les éléments d'anatomie et de physiologie viscérale, j'essaierai de mettre en évidence les cinq paramètres qui me semblent les plus importants à envisager dans cette pathologie, à savoir : un terrain hormonal prédisposant qui s'accompagne de fixations utéro-vésicales. Celles-ci conduisent à une irritation du nerf obturateur par contiguïté à une vessie fixée et souvent ptôsée contre la membrane obturatrice. De là apparaissent des signes d'appel douloureux qui peuvent être renforcés par des lésions mécaniques associées et des lésions circulatoires. Je vous invite donc à commencer par quelques rappels d'anatomie. N'oublions pas que "un ostéopathe raisonne sur la base de ses connaissances en anatomie. Il compare le travail du corps anormal avec celui du corps normal" (A.T. Still). Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 621 3 MAT Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Rétroversions fixées de l'utérus et morphologie adaptative / Max Bernardeau
Titre : Rétroversions fixées de l'utérus et morphologie adaptative Type de document : texte imprimé Auteurs : Max Bernardeau, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : OSTEOPATHIE VISCERALE UTERUS PETIT BASSIN Rétroversions fixées de l'utérus et morphologie adaptative [texte imprimé] / Max Bernardeau, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : OSTEOPATHIE VISCERALE UTERUS PETIT BASSIN Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 97 3 BER Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Conséquences ostéopathiques des malpositions utérines sur l'appareil digestif / Alain Auberville
Titre : Conséquences ostéopathiques des malpositions utérines sur l'appareil digestif Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Auberville, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE VISCERALE ANATOMIE PHYSIOLOGIE EMBRYOLOGIE PETIT BASSIN SPHERE GENITALE UTERUS APPAREIL DIGESTIF TECHNIQUE GYNECOLOGIE Résumé : Les techniques ostéopathiques gynécologiques nous ont été enseignées afin de mieux réguler le schéma général de nos patientes, mais surtout pour améliorer des problèmes gynécologiques spécifiques : dysménorrhées, dyspareunie, aménorrhées... Or, au cours de plusieurs centaines d'examens et de traitements gynécologiques ostéopathiques, je me suis aperçu de l'impact de ce svstème sur le reste du corps. Combien de fois pour l'avoir "oublié" j'ai vu mes régulations viscérales, craniennes et mécaniques fondre au changement de cycle. Les répercussions du système génital féminin sur l'ensemble du schéma étant tout azimut, je me suis contenté dans ce travail d'investiguer les conséquences des fixations utérines sur l'appareil digestif. Pour ce faire, nous allons rappeler la physiologie de l'appareil digestif, l'anatomie de l'utérus, puisque ce sont ces fixations qui vont"parasite" le système digestif, ainsi que l'embryologie et les moyens d'attache de l'appareil digestif afin de mieux comprendre le concept de mobilité de ces différents organes. Puis nous étudierons les lésions ostéopathiques et leurs répercussions sur la mobilité! des organes du système digestif. Conséquences ostéopathiques des malpositions utérines sur l'appareil digestif [texte imprimé] / Alain Auberville, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE VISCERALE ANATOMIE PHYSIOLOGIE EMBRYOLOGIE PETIT BASSIN SPHERE GENITALE UTERUS APPAREIL DIGESTIF TECHNIQUE GYNECOLOGIE Résumé : Les techniques ostéopathiques gynécologiques nous ont été enseignées afin de mieux réguler le schéma général de nos patientes, mais surtout pour améliorer des problèmes gynécologiques spécifiques : dysménorrhées, dyspareunie, aménorrhées... Or, au cours de plusieurs centaines d'examens et de traitements gynécologiques ostéopathiques, je me suis aperçu de l'impact de ce svstème sur le reste du corps. Combien de fois pour l'avoir "oublié" j'ai vu mes régulations viscérales, craniennes et mécaniques fondre au changement de cycle. Les répercussions du système génital féminin sur l'ensemble du schéma étant tout azimut, je me suis contenté dans ce travail d'investiguer les conséquences des fixations utérines sur l'appareil digestif. Pour ce faire, nous allons rappeler la physiologie de l'appareil digestif, l'anatomie de l'utérus, puisque ce sont ces fixations qui vont"parasite" le système digestif, ainsi que l'embryologie et les moyens d'attache de l'appareil digestif afin de mieux comprendre le concept de mobilité de ces différents organes. Puis nous étudierons les lésions ostéopathiques et leurs répercussions sur la mobilité! des organes du système digestif. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 40 3 AUB Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt La dyspareunie profonde / MEUNIER Marie-Line
Titre : La dyspareunie profonde Type de document : texte imprimé Auteurs : MEUNIER Marie-Line, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : PATHOLOGIE DYSPAREUNIE SOCIOLOGIE FEMME SEXOLOGIE OSTEOPATHIE VISCERALE GYNECOLOGIE TRAITEMENT ANATOMIE PETIT BASSIN UTERUS Résumé : Chez la femme, le pelvis a une tonalité affective et émotionnelle particulière. il est tout empreint de symboles, de mystères, de fantasmes. C'est le lieu des rapports sexuels, d'intromission et de plaisir, de la conception, du développement du foetus, de l'accouchement, de l'expulsion et de la douleur, du retour au "plaisir désir" sans oublier le contexte culturel de la douleur et de l'enfantement, zone "sacrée" depuis que le monde est monde. Qu'elle se plaigne "d'avoir mal" dans certaines positions lors des rapports sexuels, "de ne pas être satisfaite" ou encore "de ne pas avoir de désir", la patiente ne consulte pas forcément l'ostéopathe pour ce type de dysfonction. C'est au cours de l'interrogatoire puis de l'examen gynécologique qu'elle exprime ses symptômes, ses douleurs, ses inquiétudes. La dyspareunie profonde est intéressante à étudier pour trois raisons: La première raison est qu'elle représente l'un des grands "non-dits" de nos patientes. C'est le cri muet qui ne peut s'exprimer, tabou envers - le médecin - le mari - la société elles vivent avec, elles "font semblant". La deuxième raison est que la dyspareunie traitée n'a pas comme origine des lésions organiques, des causes psychologiques détaillées dans la partie II du développement. Elle est la conséquence mécanique de butée du pénis au niveau du col de l'utérus lors de l'intromission profonde, celui-ci étant mal suspendu, mal équilibré, hypomobile par rapport à sa position de référence dans le pelvis. Nous parlerons de restrictions fonctionnelles de la qualité mobile de l'utérus dans la cavité pelvienne. La troisième raison est que lors des rapports sexuels et principalement au moment de l' orgasme, il existe des mouvements naturels de l'utérus avec une ouverture du col, une contraction vaginale et des sphincters de l'anus. Si nous avons une perte de mobilité, des points d'ancrage ou de fIxation de l'utérus, les rapports seront douloureux du fait du non respect des axes de mouvement naturel de celui-ci. Certains couples sont obligés de prendre des positions d'accouplement différentes pour éviter les douleurs. En plus, de la douleur physique apparaît l'aspect psychologique de la pathologie. Car, une fois que l'orgasme est redouté et à la longue refoulé, la montée du plaisir est contrôlée et la tension psychologique est de plus en plus importante. La douleur devient une raison non coupable de refuser l'acte sexuel. Il existe un danger secondaire à ces affections dyspareuniantes au sein du couple. En effet, l'homme dont la femme parle souvent du parallélisme entre rapport sexuel et douleur, peut lui se sentir coupable et la peur de faire mal peut inhiber le désir. Le coït douloureux inhibera la montée du plaisir et soit l'érection ne se maintiendra pas, soit l' éjaculation ne pourra avoir lieu. Ces trois raisons nous ont amené à penser que la dyspareunie peut-être la lésion primaire de bien d'autres dysfonctions. Elles sont suffisantes pour justifier non seulement ce mémoire mais des recherches plus approfondies et réellement scientifiques. Nous nous Intéresserons à l'impact de l'hypo ou non mobilité de l'organe utérin sur les plaintes et demandes des patientes qui sont différentes suivant l'âge et l'éloignement plus ou moins important par rapport à la période des grossesses, de mettre en évidence la corrélation qui existe entre la diminution voire la suppression des douleurs dans la dyspareunie profonde et le retour à la mobilité de l'utérus. Il fallait pouvoir dans le petit bassin, le visualiser de façon précise et dans plusieurs plans. Nous avons décidé dans un premier temps de nous livrer à des examens photographiques réalisables par nous-mêmes. Le but de ces documents photographiques est d'établir au départ d'un utérus mal positionné, non mobile, les modifications éventuelles que nous aurions pu obtenir sur cette déviation par un traitement ostéopathique mobilisateur adéquat. La plus grande difficulté que nous avons éprouvée est de mettre en évidence un manque de mobilité par un moyen objectif. Nous parlons de phases de mouvement alors que pour notre étude nous prenons l'une des techniques de contrôle les plus typiques du positionnement, c'est-à-dire la photographie. La photographie montre une position, non pas une mobilité. Ce qui va être remarquable, c'est changement de position et donc une différence de mobilité. Par cette technique, il nous est impossible de visualiser le corps utérin, nous n'avons donc comme référence que le col, c'est pourquoi nous avons pratiqué dans un deuxième temps plusieurs tests différents manuels de mobilité de l'utérus réalisés par nous-mêmes, avant et après traitement ostéopathique, afin que l'observation soit le résultat de recoupements. Les photographies et les tests de mobilité sont toujours pratiqués à la même période du cycle c'est-à-dire entre le 1er jour et le 10ème jour, vessie et si possible rectum vides. Les patientes sont à chaque séance positionnées dans les mêmes conditions de départ afin d'éviter tout parasitage de la position du bassin sur la position de l'utérus. Le traitement ostéopathique proposé aux patientes a pour but de ré axer, de mobiliser, de libérer l'utérus par rapport aux structures adjacentes, d'améliorer l'irrigation des organes, des structures en perte de mobilité, ne vivant plus au rythme du corps pour rendre à tous ces tissus d'excellentes raisons de retrouver leur équilibre. A vant d'aborder la mise en place du protocole, la méthode et le matériel utilisés, nous nous proposons: - de définir la dyspareunie profonde, - de connaître les différents types de dyspareunie et leur étiologie, pour éliminer de notre échantillon de patientes, celles qui présentaient de véritables lésions organiques, - d'accorder une grande importance à la situation, à l'orientation, aux ligaments, aux moyens de suspension de l'utérus dans la cavité pelvienne et définir les différentes mal positions que nous avons rencontrées et leur symptomatologie. La dyspareunie profonde [texte imprimé] / MEUNIER Marie-Line, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : PATHOLOGIE DYSPAREUNIE SOCIOLOGIE FEMME SEXOLOGIE OSTEOPATHIE VISCERALE GYNECOLOGIE TRAITEMENT ANATOMIE PETIT BASSIN UTERUS Résumé : Chez la femme, le pelvis a une tonalité affective et émotionnelle particulière. il est tout empreint de symboles, de mystères, de fantasmes. C'est le lieu des rapports sexuels, d'intromission et de plaisir, de la conception, du développement du foetus, de l'accouchement, de l'expulsion et de la douleur, du retour au "plaisir désir" sans oublier le contexte culturel de la douleur et de l'enfantement, zone "sacrée" depuis que le monde est monde. Qu'elle se plaigne "d'avoir mal" dans certaines positions lors des rapports sexuels, "de ne pas être satisfaite" ou encore "de ne pas avoir de désir", la patiente ne consulte pas forcément l'ostéopathe pour ce type de dysfonction. C'est au cours de l'interrogatoire puis de l'examen gynécologique qu'elle exprime ses symptômes, ses douleurs, ses inquiétudes. La dyspareunie profonde est intéressante à étudier pour trois raisons: La première raison est qu'elle représente l'un des grands "non-dits" de nos patientes. C'est le cri muet qui ne peut s'exprimer, tabou envers - le médecin - le mari - la société elles vivent avec, elles "font semblant". La deuxième raison est que la dyspareunie traitée n'a pas comme origine des lésions organiques, des causes psychologiques détaillées dans la partie II du développement. Elle est la conséquence mécanique de butée du pénis au niveau du col de l'utérus lors de l'intromission profonde, celui-ci étant mal suspendu, mal équilibré, hypomobile par rapport à sa position de référence dans le pelvis. Nous parlerons de restrictions fonctionnelles de la qualité mobile de l'utérus dans la cavité pelvienne. La troisième raison est que lors des rapports sexuels et principalement au moment de l' orgasme, il existe des mouvements naturels de l'utérus avec une ouverture du col, une contraction vaginale et des sphincters de l'anus. Si nous avons une perte de mobilité, des points d'ancrage ou de fIxation de l'utérus, les rapports seront douloureux du fait du non respect des axes de mouvement naturel de celui-ci. Certains couples sont obligés de prendre des positions d'accouplement différentes pour éviter les douleurs. En plus, de la douleur physique apparaît l'aspect psychologique de la pathologie. Car, une fois que l'orgasme est redouté et à la longue refoulé, la montée du plaisir est contrôlée et la tension psychologique est de plus en plus importante. La douleur devient une raison non coupable de refuser l'acte sexuel. Il existe un danger secondaire à ces affections dyspareuniantes au sein du couple. En effet, l'homme dont la femme parle souvent du parallélisme entre rapport sexuel et douleur, peut lui se sentir coupable et la peur de faire mal peut inhiber le désir. Le coït douloureux inhibera la montée du plaisir et soit l'érection ne se maintiendra pas, soit l' éjaculation ne pourra avoir lieu. Ces trois raisons nous ont amené à penser que la dyspareunie peut-être la lésion primaire de bien d'autres dysfonctions. Elles sont suffisantes pour justifier non seulement ce mémoire mais des recherches plus approfondies et réellement scientifiques. Nous nous Intéresserons à l'impact de l'hypo ou non mobilité de l'organe utérin sur les plaintes et demandes des patientes qui sont différentes suivant l'âge et l'éloignement plus ou moins important par rapport à la période des grossesses, de mettre en évidence la corrélation qui existe entre la diminution voire la suppression des douleurs dans la dyspareunie profonde et le retour à la mobilité de l'utérus. Il fallait pouvoir dans le petit bassin, le visualiser de façon précise et dans plusieurs plans. Nous avons décidé dans un premier temps de nous livrer à des examens photographiques réalisables par nous-mêmes. Le but de ces documents photographiques est d'établir au départ d'un utérus mal positionné, non mobile, les modifications éventuelles que nous aurions pu obtenir sur cette déviation par un traitement ostéopathique mobilisateur adéquat. La plus grande difficulté que nous avons éprouvée est de mettre en évidence un manque de mobilité par un moyen objectif. Nous parlons de phases de mouvement alors que pour notre étude nous prenons l'une des techniques de contrôle les plus typiques du positionnement, c'est-à-dire la photographie. La photographie montre une position, non pas une mobilité. Ce qui va être remarquable, c'est changement de position et donc une différence de mobilité. Par cette technique, il nous est impossible de visualiser le corps utérin, nous n'avons donc comme référence que le col, c'est pourquoi nous avons pratiqué dans un deuxième temps plusieurs tests différents manuels de mobilité de l'utérus réalisés par nous-mêmes, avant et après traitement ostéopathique, afin que l'observation soit le résultat de recoupements. Les photographies et les tests de mobilité sont toujours pratiqués à la même période du cycle c'est-à-dire entre le 1er jour et le 10ème jour, vessie et si possible rectum vides. Les patientes sont à chaque séance positionnées dans les mêmes conditions de départ afin d'éviter tout parasitage de la position du bassin sur la position de l'utérus. Le traitement ostéopathique proposé aux patientes a pour but de ré axer, de mobiliser, de libérer l'utérus par rapport aux structures adjacentes, d'améliorer l'irrigation des organes, des structures en perte de mobilité, ne vivant plus au rythme du corps pour rendre à tous ces tissus d'excellentes raisons de retrouver leur équilibre. A vant d'aborder la mise en place du protocole, la méthode et le matériel utilisés, nous nous proposons: - de définir la dyspareunie profonde, - de connaître les différents types de dyspareunie et leur étiologie, pour éliminer de notre échantillon de patientes, celles qui présentaient de véritables lésions organiques, - d'accorder une grande importance à la situation, à l'orientation, aux ligaments, aux moyens de suspension de l'utérus dans la cavité pelvienne et définir les différentes mal positions que nous avons rencontrées et leur symptomatologie. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 639 3 MEU Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Essai d'une systématisation d'une procédure de test, de traitement et d'évaluation des résultats pour une fixation des lames sacro-recto-génito-vésico-pubiennes (gaine sacro-pubienne) chez la femme / MOCHE Alain
PermalinkInfluence d'une dysfonction utérine sur la mobilité du rachis dorso-lombaire / Lucie LE PECHOUX
PermalinkApport de l'ostéopathie dans le traitement des stérilités tubaires post-infectieuses / M. Daux
PermalinkLa dysménorrhée secondaire : abord ostéopathique / LO VOI Giacomo
PermalinkExiste-t-il un lien entre une rétroposition utérine et une lombalgie chronique idiopathique ? / ROSENKRANTZ Alexa-Sarah
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