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La dyspareunie profonde / MEUNIER Marie-Line
Titre : La dyspareunie profonde Type de document : texte imprimé Auteurs : MEUNIER Marie-Line, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : PATHOLOGIE DYSPAREUNIE SOCIOLOGIE FEMME SEXOLOGIE OSTEOPATHIE VISCERALE GYNECOLOGIE TRAITEMENT ANATOMIE PETIT BASSIN UTERUS Résumé : Chez la femme, le pelvis a une tonalité affective et émotionnelle particulière. il est tout empreint de symboles, de mystères, de fantasmes. C'est le lieu des rapports sexuels, d'intromission et de plaisir, de la conception, du développement du foetus, de l'accouchement, de l'expulsion et de la douleur, du retour au "plaisir désir" sans oublier le contexte culturel de la douleur et de l'enfantement, zone "sacrée" depuis que le monde est monde. Qu'elle se plaigne "d'avoir mal" dans certaines positions lors des rapports sexuels, "de ne pas être satisfaite" ou encore "de ne pas avoir de désir", la patiente ne consulte pas forcément l'ostéopathe pour ce type de dysfonction. C'est au cours de l'interrogatoire puis de l'examen gynécologique qu'elle exprime ses symptômes, ses douleurs, ses inquiétudes. La dyspareunie profonde est intéressante à étudier pour trois raisons: La première raison est qu'elle représente l'un des grands "non-dits" de nos patientes. C'est le cri muet qui ne peut s'exprimer, tabou envers - le médecin - le mari - la société elles vivent avec, elles "font semblant". La deuxième raison est que la dyspareunie traitée n'a pas comme origine des lésions organiques, des causes psychologiques détaillées dans la partie II du développement. Elle est la conséquence mécanique de butée du pénis au niveau du col de l'utérus lors de l'intromission profonde, celui-ci étant mal suspendu, mal équilibré, hypomobile par rapport à sa position de référence dans le pelvis. Nous parlerons de restrictions fonctionnelles de la qualité mobile de l'utérus dans la cavité pelvienne. La troisième raison est que lors des rapports sexuels et principalement au moment de l' orgasme, il existe des mouvements naturels de l'utérus avec une ouverture du col, une contraction vaginale et des sphincters de l'anus. Si nous avons une perte de mobilité, des points d'ancrage ou de fIxation de l'utérus, les rapports seront douloureux du fait du non respect des axes de mouvement naturel de celui-ci. Certains couples sont obligés de prendre des positions d'accouplement différentes pour éviter les douleurs. En plus, de la douleur physique apparaît l'aspect psychologique de la pathologie. Car, une fois que l'orgasme est redouté et à la longue refoulé, la montée du plaisir est contrôlée et la tension psychologique est de plus en plus importante. La douleur devient une raison non coupable de refuser l'acte sexuel. Il existe un danger secondaire à ces affections dyspareuniantes au sein du couple. En effet, l'homme dont la femme parle souvent du parallélisme entre rapport sexuel et douleur, peut lui se sentir coupable et la peur de faire mal peut inhiber le désir. Le coït douloureux inhibera la montée du plaisir et soit l'érection ne se maintiendra pas, soit l' éjaculation ne pourra avoir lieu. Ces trois raisons nous ont amené à penser que la dyspareunie peut-être la lésion primaire de bien d'autres dysfonctions. Elles sont suffisantes pour justifier non seulement ce mémoire mais des recherches plus approfondies et réellement scientifiques. Nous nous Intéresserons à l'impact de l'hypo ou non mobilité de l'organe utérin sur les plaintes et demandes des patientes qui sont différentes suivant l'âge et l'éloignement plus ou moins important par rapport à la période des grossesses, de mettre en évidence la corrélation qui existe entre la diminution voire la suppression des douleurs dans la dyspareunie profonde et le retour à la mobilité de l'utérus. Il fallait pouvoir dans le petit bassin, le visualiser de façon précise et dans plusieurs plans. Nous avons décidé dans un premier temps de nous livrer à des examens photographiques réalisables par nous-mêmes. Le but de ces documents photographiques est d'établir au départ d'un utérus mal positionné, non mobile, les modifications éventuelles que nous aurions pu obtenir sur cette déviation par un traitement ostéopathique mobilisateur adéquat. La plus grande difficulté que nous avons éprouvée est de mettre en évidence un manque de mobilité par un moyen objectif. Nous parlons de phases de mouvement alors que pour notre étude nous prenons l'une des techniques de contrôle les plus typiques du positionnement, c'est-à -dire la photographie. La photographie montre une position, non pas une mobilité. Ce qui va être remarquable, c'est changement de position et donc une différence de mobilité. Par cette technique, il nous est impossible de visualiser le corps utérin, nous n'avons donc comme référence que le col, c'est pourquoi nous avons pratiqué dans un deuxième temps plusieurs tests différents manuels de mobilité de l'utérus réalisés par nous-mêmes, avant et après traitement ostéopathique, afin que l'observation soit le résultat de recoupements. Les photographies et les tests de mobilité sont toujours pratiqués à la même période du cycle c'est-à -dire entre le 1er jour et le 10ème jour, vessie et si possible rectum vides. Les patientes sont à chaque séance positionnées dans les mêmes conditions de départ afin d'éviter tout parasitage de la position du bassin sur la position de l'utérus. Le traitement ostéopathique proposé aux patientes a pour but de ré axer, de mobiliser, de libérer l'utérus par rapport aux structures adjacentes, d'améliorer l'irrigation des organes, des structures en perte de mobilité, ne vivant plus au rythme du corps pour rendre à tous ces tissus d'excellentes raisons de retrouver leur équilibre. A vant d'aborder la mise en place du protocole, la méthode et le matériel utilisés, nous nous proposons: - de définir la dyspareunie profonde, - de connaître les différents types de dyspareunie et leur étiologie, pour éliminer de notre échantillon de patientes, celles qui présentaient de véritables lésions organiques, - d'accorder une grande importance à la situation, à l'orientation, aux ligaments, aux moyens de suspension de l'utérus dans la cavité pelvienne et définir les différentes mal positions que nous avons rencontrées et leur symptomatologie. La dyspareunie profonde [texte imprimé] / MEUNIER Marie-Line, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : PATHOLOGIE DYSPAREUNIE SOCIOLOGIE FEMME SEXOLOGIE OSTEOPATHIE VISCERALE GYNECOLOGIE TRAITEMENT ANATOMIE PETIT BASSIN UTERUS Résumé : Chez la femme, le pelvis a une tonalité affective et émotionnelle particulière. il est tout empreint de symboles, de mystères, de fantasmes. C'est le lieu des rapports sexuels, d'intromission et de plaisir, de la conception, du développement du foetus, de l'accouchement, de l'expulsion et de la douleur, du retour au "plaisir désir" sans oublier le contexte culturel de la douleur et de l'enfantement, zone "sacrée" depuis que le monde est monde. Qu'elle se plaigne "d'avoir mal" dans certaines positions lors des rapports sexuels, "de ne pas être satisfaite" ou encore "de ne pas avoir de désir", la patiente ne consulte pas forcément l'ostéopathe pour ce type de dysfonction. C'est au cours de l'interrogatoire puis de l'examen gynécologique qu'elle exprime ses symptômes, ses douleurs, ses inquiétudes. La dyspareunie profonde est intéressante à étudier pour trois raisons: La première raison est qu'elle représente l'un des grands "non-dits" de nos patientes. C'est le cri muet qui ne peut s'exprimer, tabou envers - le médecin - le mari - la société elles vivent avec, elles "font semblant". La deuxième raison est que la dyspareunie traitée n'a pas comme origine des lésions organiques, des causes psychologiques détaillées dans la partie II du développement. Elle est la conséquence mécanique de butée du pénis au niveau du col de l'utérus lors de l'intromission profonde, celui-ci étant mal suspendu, mal équilibré, hypomobile par rapport à sa position de référence dans le pelvis. Nous parlerons de restrictions fonctionnelles de la qualité mobile de l'utérus dans la cavité pelvienne. La troisième raison est que lors des rapports sexuels et principalement au moment de l' orgasme, il existe des mouvements naturels de l'utérus avec une ouverture du col, une contraction vaginale et des sphincters de l'anus. Si nous avons une perte de mobilité, des points d'ancrage ou de fIxation de l'utérus, les rapports seront douloureux du fait du non respect des axes de mouvement naturel de celui-ci. Certains couples sont obligés de prendre des positions d'accouplement différentes pour éviter les douleurs. En plus, de la douleur physique apparaît l'aspect psychologique de la pathologie. Car, une fois que l'orgasme est redouté et à la longue refoulé, la montée du plaisir est contrôlée et la tension psychologique est de plus en plus importante. La douleur devient une raison non coupable de refuser l'acte sexuel. Il existe un danger secondaire à ces affections dyspareuniantes au sein du couple. En effet, l'homme dont la femme parle souvent du parallélisme entre rapport sexuel et douleur, peut lui se sentir coupable et la peur de faire mal peut inhiber le désir. Le coït douloureux inhibera la montée du plaisir et soit l'érection ne se maintiendra pas, soit l' éjaculation ne pourra avoir lieu. Ces trois raisons nous ont amené à penser que la dyspareunie peut-être la lésion primaire de bien d'autres dysfonctions. Elles sont suffisantes pour justifier non seulement ce mémoire mais des recherches plus approfondies et réellement scientifiques. Nous nous Intéresserons à l'impact de l'hypo ou non mobilité de l'organe utérin sur les plaintes et demandes des patientes qui sont différentes suivant l'âge et l'éloignement plus ou moins important par rapport à la période des grossesses, de mettre en évidence la corrélation qui existe entre la diminution voire la suppression des douleurs dans la dyspareunie profonde et le retour à la mobilité de l'utérus. Il fallait pouvoir dans le petit bassin, le visualiser de façon précise et dans plusieurs plans. Nous avons décidé dans un premier temps de nous livrer à des examens photographiques réalisables par nous-mêmes. Le but de ces documents photographiques est d'établir au départ d'un utérus mal positionné, non mobile, les modifications éventuelles que nous aurions pu obtenir sur cette déviation par un traitement ostéopathique mobilisateur adéquat. La plus grande difficulté que nous avons éprouvée est de mettre en évidence un manque de mobilité par un moyen objectif. Nous parlons de phases de mouvement alors que pour notre étude nous prenons l'une des techniques de contrôle les plus typiques du positionnement, c'est-à -dire la photographie. La photographie montre une position, non pas une mobilité. Ce qui va être remarquable, c'est changement de position et donc une différence de mobilité. Par cette technique, il nous est impossible de visualiser le corps utérin, nous n'avons donc comme référence que le col, c'est pourquoi nous avons pratiqué dans un deuxième temps plusieurs tests différents manuels de mobilité de l'utérus réalisés par nous-mêmes, avant et après traitement ostéopathique, afin que l'observation soit le résultat de recoupements. Les photographies et les tests de mobilité sont toujours pratiqués à la même période du cycle c'est-à -dire entre le 1er jour et le 10ème jour, vessie et si possible rectum vides. Les patientes sont à chaque séance positionnées dans les mêmes conditions de départ afin d'éviter tout parasitage de la position du bassin sur la position de l'utérus. Le traitement ostéopathique proposé aux patientes a pour but de ré axer, de mobiliser, de libérer l'utérus par rapport aux structures adjacentes, d'améliorer l'irrigation des organes, des structures en perte de mobilité, ne vivant plus au rythme du corps pour rendre à tous ces tissus d'excellentes raisons de retrouver leur équilibre. A vant d'aborder la mise en place du protocole, la méthode et le matériel utilisés, nous nous proposons: - de définir la dyspareunie profonde, - de connaître les différents types de dyspareunie et leur étiologie, pour éliminer de notre échantillon de patientes, celles qui présentaient de véritables lésions organiques, - d'accorder une grande importance à la situation, à l'orientation, aux ligaments, aux moyens de suspension de l'utérus dans la cavité pelvienne et définir les différentes mal positions que nous avons rencontrées et leur symptomatologie. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 639 3 MEU Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Essai d'une systématisation d'une procédure de test, de traitement et d'évaluation des résultats pour une fixation des lames sacro-recto-génito-vésico-pubiennes (gaine sacro-pubienne) chez la femme / MOCHE Alain
Titre : Essai d'une systématisation d'une procédure de test, de traitement et d'évaluation des résultats pour une fixation des lames sacro-recto-génito-vésico-pubiennes (gaine sacro-pubienne) chez la femme Type de document : texte imprimé Auteurs : MOCHE Alain, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : PATHOLOGIE INCONTINENCE URINAIRE DYSPAREUNIE OSTEOPATHIE VISCERALE ANATOMIE PETIT BASSIN LAME-SACRO-RECTO-GENITO-VESICO-PUBIENNE PROSTATE UTERUS COCCYX TRAITEMENT EXPERIMENTATION SOCIOLOGIE FEMME Résumé : Frappé par le nombre de fixations de LSRGVP ou de gaines sacro-pubiennes (JP .BARRAL) trouvées chez les femmes venant consulter quotidiennement en cabinet avec le plus souvent un même motif de consultation qui couvre le large champ des lombalgies chroniques, il m'apparaît important de faire un bilan de ce que l'ostéopathie peut proposer à ces patientes,et de faire une évaluation des résultats obtenus,suite à 337cas cliniques recensés dans mon cabinet. Toutes les femmes de cette étude sont venues en traitement au cabinet souvent pour des problèmes de lombalgies, mais n'avouent un problème d'incontinence urinaire d'effort et lourde dyspareunie qu'après un interrogatoire ou même quelquefois lors de l'examen ostéopathique, qui, nous permettant de trouver une fixation viscérale dans la région du col de l'utérus, nous pousse à aborder la question des troubles gynéco-urinaires. Il m'est apparu que souvent on pouvait associer la fixation de la gaine sacro-pubienne à une incontinence urinaire d'effort et/ou une dyspareunie profonde à la "percussion" du col de l'utérus. A l'origine de mes constatations, il m'est apparu que sur 337 personnes chez qui j'ai trouvé ce type de lésion de fixation de lame sacro-pubienne, il y avait seulement 30 hommes pour 307 femmes. Pour notre étude j'ai arbitrairement pris la population la plus importante afin d'avoir une population suffisante pour faire une statistique "fiable". Chez les 307 femmes,215 venaient en première consultation, 71 en deuxième consultation,et 21 en troisième consultation. Nous avons noté moins de fixations droites que gauches, soit respectivement 127 et 180. Les premiers traitements ont été faits en 1993,Ies derniers en Mai 1996. Cela fait donc trois ans de recul pour certains traitements, ce qui nous permettra de faire des études sur les résultats de ce traitement à trois mois,un an,deux ans,trois ans. Chez les femmes que j'ai revues en consultation suite à ce traitement je n'ai trouvé de lésion "récidivante" que dans neuf cas qui présentaient une ancienne fracture de coccyx ,et dans ce cas le coccyx semblait donc "primaire". Nous nous limiterons dans cet essai au traitement effectué en présence d'une fixation définie selon certains critères, et de voir son effet sur les symptomes présentés par les patientes, sans nous lancer dans une étude exhaustive complète des incontinences urinaires d'effort,des lombalgies,et des dyspareunies. Je propose une batterie de tests,et un traitement systématique,afin de reproduire le plus fiablement possible le même traitement pour la même fixation trouvée au tests. Arbitrairement ,j'ai choisi la voie rectale et non pas vaginale pour les tests et le traitement. C'est un choix fait pratiquement pour pouvoir tester le coccyx ,ses différentes fixations, corriger par la même voie les fixations trouvées sur les structures aponévrotiques de soutènement, et retester en fin de relâchement tissulaire le coccyx qui me permet une fois complètement corrigé de juger mon traitement terminé. Je pars de constatations purement cliniques et je vais essayer pas à pas de justifier mon travail par l'anatomie, la physiologie,et les différentes thérapies qui sont déjà reconnues. Il est certain qu'il existe des techniques spécifiques de traitement d'une fixation de col utérin par voie vaginale, la voie rectale me permet de tester le coccyx avant et après le traitement pour évaluer le relâchement des fascias ,et d'équilibrer _ coccyx en fin de traitement par rapport à l'ethmoïde, pour libérer les "strains"des membranes de tension réciproques résiduelles après notre traitement. Ce qui m'a fait choisir _tte voie d'abord est sans doute d'avoir entendu en cours J.P.BARRAL,nous détailler ces lames sacro-recto-génito-pubiennes et insister sur le fait que" leur partie postérieure ,qui relie l'utérus au rectum, puis au sacrum,(ligaments utéro-sacrés) est le plus solide de cette aponévrose". "Les deux aponévroses sacro-recto-génito-pubiennes adhèrent au rectum,à l'isthme utérin,au dôme vaginal et à la base de la vessie;elles solidarisent les organes entre eux". Ce lien direct entre pubis et sacrum servant d'amarre aux organes du petit bassin, m'a semblé mécaniquement intéressant. Essai d'une systématisation d'une procédure de test, de traitement et d'évaluation des résultats pour une fixation des lames sacro-recto-génito-vésico-pubiennes (gaine sacro-pubienne) chez la femme [texte imprimé] / MOCHE Alain, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : PATHOLOGIE INCONTINENCE URINAIRE DYSPAREUNIE OSTEOPATHIE VISCERALE ANATOMIE PETIT BASSIN LAME-SACRO-RECTO-GENITO-VESICO-PUBIENNE PROSTATE UTERUS COCCYX TRAITEMENT EXPERIMENTATION SOCIOLOGIE FEMME Résumé : Frappé par le nombre de fixations de LSRGVP ou de gaines sacro-pubiennes (JP .BARRAL) trouvées chez les femmes venant consulter quotidiennement en cabinet avec le plus souvent un même motif de consultation qui couvre le large champ des lombalgies chroniques, il m'apparaît important de faire un bilan de ce que l'ostéopathie peut proposer à ces patientes,et de faire une évaluation des résultats obtenus,suite à 337cas cliniques recensés dans mon cabinet. Toutes les femmes de cette étude sont venues en traitement au cabinet souvent pour des problèmes de lombalgies, mais n'avouent un problème d'incontinence urinaire d'effort et lourde dyspareunie qu'après un interrogatoire ou même quelquefois lors de l'examen ostéopathique, qui, nous permettant de trouver une fixation viscérale dans la région du col de l'utérus, nous pousse à aborder la question des troubles gynéco-urinaires. Il m'est apparu que souvent on pouvait associer la fixation de la gaine sacro-pubienne à une incontinence urinaire d'effort et/ou une dyspareunie profonde à la "percussion" du col de l'utérus. A l'origine de mes constatations, il m'est apparu que sur 337 personnes chez qui j'ai trouvé ce type de lésion de fixation de lame sacro-pubienne, il y avait seulement 30 hommes pour 307 femmes. Pour notre étude j'ai arbitrairement pris la population la plus importante afin d'avoir une population suffisante pour faire une statistique "fiable". Chez les 307 femmes,215 venaient en première consultation, 71 en deuxième consultation,et 21 en troisième consultation. Nous avons noté moins de fixations droites que gauches, soit respectivement 127 et 180. Les premiers traitements ont été faits en 1993,Ies derniers en Mai 1996. Cela fait donc trois ans de recul pour certains traitements, ce qui nous permettra de faire des études sur les résultats de ce traitement à trois mois,un an,deux ans,trois ans. Chez les femmes que j'ai revues en consultation suite à ce traitement je n'ai trouvé de lésion "récidivante" que dans neuf cas qui présentaient une ancienne fracture de coccyx ,et dans ce cas le coccyx semblait donc "primaire". Nous nous limiterons dans cet essai au traitement effectué en présence d'une fixation définie selon certains critères, et de voir son effet sur les symptomes présentés par les patientes, sans nous lancer dans une étude exhaustive complète des incontinences urinaires d'effort,des lombalgies,et des dyspareunies. Je propose une batterie de tests,et un traitement systématique,afin de reproduire le plus fiablement possible le même traitement pour la même fixation trouvée au tests. Arbitrairement ,j'ai choisi la voie rectale et non pas vaginale pour les tests et le traitement. C'est un choix fait pratiquement pour pouvoir tester le coccyx ,ses différentes fixations, corriger par la même voie les fixations trouvées sur les structures aponévrotiques de soutènement, et retester en fin de relâchement tissulaire le coccyx qui me permet une fois complètement corrigé de juger mon traitement terminé. Je pars de constatations purement cliniques et je vais essayer pas à pas de justifier mon travail par l'anatomie, la physiologie,et les différentes thérapies qui sont déjà reconnues. Il est certain qu'il existe des techniques spécifiques de traitement d'une fixation de col utérin par voie vaginale, la voie rectale me permet de tester le coccyx avant et après le traitement pour évaluer le relâchement des fascias ,et d'équilibrer _ coccyx en fin de traitement par rapport à l'ethmoïde, pour libérer les "strains"des membranes de tension réciproques résiduelles après notre traitement. Ce qui m'a fait choisir _tte voie d'abord est sans doute d'avoir entendu en cours J.P.BARRAL,nous détailler ces lames sacro-recto-génito-pubiennes et insister sur le fait que" leur partie postérieure ,qui relie l'utérus au rectum, puis au sacrum,(ligaments utéro-sacrés) est le plus solide de cette aponévrose". "Les deux aponévroses sacro-recto-génito-pubiennes adhèrent au rectum,à l'isthme utérin,au dôme vaginal et à la base de la vessie;elles solidarisent les organes entre eux". Ce lien direct entre pubis et sacrum servant d'amarre aux organes du petit bassin, m'a semblé mécaniquement intéressant. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 651 MOC Mémoire (ostéopathie) école d'ostéopathie Documentaires Exclu du prêt Influence de l'ostéopathie sur les principales dysfonctions de la sexualité / MERIC Jean
Titre : Influence de l'ostéopathie sur les principales dysfonctions de la sexualité Type de document : texte imprimé Auteurs : MERIC Jean, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : PSYCHOLOGIE DEPRESSION SEXUALITE PATHOLOGIE IMPUISSANCE EJACULATION PRECOCE ANORGASMIE VAGINISME DYSPAREUNIE ANATOMIE ORGANES GENITAUX SPHERE GENITALE PHYSIOLOGIE SEXUELLE SYSTEME NERVEUX VEGETATIF SYSTEME HORMONAL CERVEAU ANDROLOGIE TRAITEMENT Résumé : Jean Méric, ostéopathe, nous présente un sujet d'autant plus original, qu'il n'est pas abordé dans les études actuelles d'ostéopathie. Son titre: "L'influence de l'ostéopathie sur les dysfonctions de la sexualité" est très évocateur. Au cours de sa jeune expérience d'ostéopathe clinicien, l'auteur s'est trouvé confronté, à plusieurs reprises, devant des cas cliniques où la lésion ostéopathique structurelle était entretenue, maintenue, par une problématique d'ordre psycho-sexuelle. Un jour, il s' aventure presque gêné, à poser à l'un de ses patients une question du type :"...Et comment vous accomplissez vous, dans votre vie sexuelle ?" Invectives, mutisme ! certes non. Dans ce cas precis, la question fut le starter d'une ouverture spontanée, franche et la réponse à un besoin inavouable de communiquer son problème perturbateur. C'est alors que l'auteur fut motivé pour nous confier le fruit de son expérience clinique de cabinet, en ce domaine si complexe. Car d'une consultation classique ostéopathique, il devait l'orienter vers une spécificité sexuelle. Si la motivation était trouvée, il lui fallait aussi définir le propos. Aussi, dans la première partie de ce mémoire, vous trouverez l'indispensable manne littéraire définissant les cinq grandes dysfonctions sexuelles que sont l'impuissance, l'éjaculation précoce, l'anorgasmie, le vaginisme et la dyspareunie. . Cette première partie étant nécessaire pour mieux comprendre le raisonnement de l'auteur et le fil d'Ariane de ce travail. (d'autant que les ostéopathes n'ont aucune formation en ce domaine). Au cours des autres chapitres, l'auteur explique son cheminement, en proposant une consultation ostéopathique plus spécifique pour ce type de problématique. Il a mis au point une méthodologie précise à adopter, tant au niveau de l'interrogatoire que de la mise en place de l'examen et d'un traitement ostéopathique adapté à chaque cas de figure. Il a voulu mettre en exergue que l'homme est bien une entité globale "structure-fonction". Pour lui, la sphère génitale ne doit pas être seulement considérée comme un simple organe assurant une fonction, mais comme étant également une fonction psycho-émotivo-sexuelle dépendant de plusieurs dysfonctions possibles. Même si ce mémoire nia pas la prétention de démontrer objectivement et de façon cartésienne un fait, l'auteur espère que l'ostéopathe, dans son cabinet, pourra à travers cette approche rigoureuse, faire à son tour un cheminement, une réflexion et appliquer des principes thérapeutiques ostéopathiques dans de tels cas, en complémentarité, avec un travail, en balance, effectué par un médecin analyste ou sexologue. Enfin, ce travail peut induire la recherche d'un autre sujet de thèse :"Les relations pouvant exister entre les états dépressifs et leurs répercussions sur la sexualité et les zones somatiques et structurales qui s'en imprégnent au plan ostéopathique Si ce document apporte à l'ostéopathe une dimension complémentaire, il ne peut-être qu'utile. Influence de l'ostéopathie sur les principales dysfonctions de la sexualité [texte imprimé] / MERIC Jean, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : PSYCHOLOGIE DEPRESSION SEXUALITE PATHOLOGIE IMPUISSANCE EJACULATION PRECOCE ANORGASMIE VAGINISME DYSPAREUNIE ANATOMIE ORGANES GENITAUX SPHERE GENITALE PHYSIOLOGIE SEXUELLE SYSTEME NERVEUX VEGETATIF SYSTEME HORMONAL CERVEAU ANDROLOGIE TRAITEMENT Résumé : Jean Méric, ostéopathe, nous présente un sujet d'autant plus original, qu'il n'est pas abordé dans les études actuelles d'ostéopathie. Son titre: "L'influence de l'ostéopathie sur les dysfonctions de la sexualité" est très évocateur. Au cours de sa jeune expérience d'ostéopathe clinicien, l'auteur s'est trouvé confronté, à plusieurs reprises, devant des cas cliniques où la lésion ostéopathique structurelle était entretenue, maintenue, par une problématique d'ordre psycho-sexuelle. Un jour, il s' aventure presque gêné, à poser à l'un de ses patients une question du type :"...Et comment vous accomplissez vous, dans votre vie sexuelle ?" Invectives, mutisme ! certes non. Dans ce cas precis, la question fut le starter d'une ouverture spontanée, franche et la réponse à un besoin inavouable de communiquer son problème perturbateur. C'est alors que l'auteur fut motivé pour nous confier le fruit de son expérience clinique de cabinet, en ce domaine si complexe. Car d'une consultation classique ostéopathique, il devait l'orienter vers une spécificité sexuelle. Si la motivation était trouvée, il lui fallait aussi définir le propos. Aussi, dans la première partie de ce mémoire, vous trouverez l'indispensable manne littéraire définissant les cinq grandes dysfonctions sexuelles que sont l'impuissance, l'éjaculation précoce, l'anorgasmie, le vaginisme et la dyspareunie. . Cette première partie étant nécessaire pour mieux comprendre le raisonnement de l'auteur et le fil d'Ariane de ce travail. (d'autant que les ostéopathes n'ont aucune formation en ce domaine). Au cours des autres chapitres, l'auteur explique son cheminement, en proposant une consultation ostéopathique plus spécifique pour ce type de problématique. Il a mis au point une méthodologie précise à adopter, tant au niveau de l'interrogatoire que de la mise en place de l'examen et d'un traitement ostéopathique adapté à chaque cas de figure. Il a voulu mettre en exergue que l'homme est bien une entité globale "structure-fonction". Pour lui, la sphère génitale ne doit pas être seulement considérée comme un simple organe assurant une fonction, mais comme étant également une fonction psycho-émotivo-sexuelle dépendant de plusieurs dysfonctions possibles. Même si ce mémoire nia pas la prétention de démontrer objectivement et de façon cartésienne un fait, l'auteur espère que l'ostéopathe, dans son cabinet, pourra à travers cette approche rigoureuse, faire à son tour un cheminement, une réflexion et appliquer des principes thérapeutiques ostéopathiques dans de tels cas, en complémentarité, avec un travail, en balance, effectué par un médecin analyste ou sexologue. Enfin, ce travail peut induire la recherche d'un autre sujet de thèse :"Les relations pouvant exister entre les états dépressifs et leurs répercussions sur la sexualité et les zones somatiques et structurales qui s'en imprégnent au plan ostéopathique Si ce document apporte à l'ostéopathe une dimension complémentaire, il ne peut-être qu'utile. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 633 3 MER Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt
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