Centre de Documentation et d'Information de l'Académie d'Ostéopathie
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La dysménorrhée secondaire : abord ostéopathique / LO VOI Giacomo
Titre : La dysménorrhée secondaire : abord ostéopathique Type de document : texte imprimé Auteurs : LO VOI Giacomo, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : GYNECOLOGIE PATHOLOGIE DYSMENORRHEE SOCIOLOGIE FEMME PHYSIOPATHOLOGIE ANATOMIE PETIT BASSIN SPHERE GENITALE UTERUS TRAITEMENT OSTEOPATHIE VISCERALE Résumé : La dysménorrhée est un symptôme fréquent dans la population féminine, phénomène social car invalidant. Ce trouble amène rarement une patiente à consulter en ostéopathie. Dans notre pratique quotidienne, ce trouble a frappé par sa fréquence et pourtant il n'est abordé qu'après un interrogatoire précis. En effet, la plupart des femmes paraissent résignées à cette souffrance. Ce phénomène nous étant apparu, nous avons essayé de le comprendre et de l'aborder; c'est cette étude que nous vous proposons. Il semble nécessaire, toutefois, de préciser quelques points, avant de passer au su jet qui nous intéresse. La dysménorrhée semble être un symptôme presque toujours toléré par la femme, soit parce qu'elle trouve "normal" d'avoir mal pendant les règles (lien avec les traditions qui cachaient ce temps physiologique et qui en faisaiente et en font encore un tabou ), soit parce que la solution médicale se trouve dans l'administration d'antalgiques, ou d'antispasmodiques ou anti-inflammatoires. Parfois plus radicalement, on prescrit la pilule pour inhiber l'ovulation et ainsi masquer le problème. La quasi totalité des femmes qui présentaient une dysménorrhée secondaire sont résignées à ces douleurs, et aux symptômes associés, probablement vécus comme des modifications physiques qui sont intervenues au fil des années et qui se sont installées sans que l'on puisse faire quoi que ce soit. Le cycle menstruel peut aboutir soit à la fécondation de l'oeuf, soit à la dégénération du corps jaune. Dans cette possibilité, la desquamation de l'endomètre, est un processus d'élémination. Or, dans les cas que nous avons rencontrés à notre cabinet, la dysménorrhée était le plus souvent associée à un écoulement insuffisant, nous essaierons donc d'étudier ce point et de mettre en évidence les liens entre douleurs et écoulement insuffisant. Nous n'avons pas abordé le problème de la dysménorrhée comme un symptôme, mais comme un trouble qui s'insère dans un processus plus ample qui est la fonction émonctoire des organes génitaux féminins. Dans cette étude, nous n'avons pas abordé les problèmes d'ordre hormonal car, pour cela, le soutien d'un service hospitalier pour les dosages hormonaux est nécessaire et nous n'avons pas été en mesure matériellement d'aboutir dans cette démarche. Dans ce travail, la première. partie décrit de façon succincte, l'anatomie osseuse et viscérale, avec une attention particulière aux liens ostéopathiques. La deuxième partie, plus ample, a visée physiopathologique, veut mettre en évidence les retentissements du système structurel ostéo-ligamentaire sur le système génital et par conséquent, sur la fonction émonctoire de ces organes. La troisième partie décrit le diagnostic, les tests, et les techniques en cherchant à démontrer les trois liens ostéopathiques (neuro-vasculo-mécanique) traditionnels. La conclusion veut mettre en évidence une réelle intervention sur la dysfonction et sur la qualité même du cycle menstruel. La dysménorrhée secondaire : abord ostéopathique [texte imprimé] / LO VOI Giacomo, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : GYNECOLOGIE PATHOLOGIE DYSMENORRHEE SOCIOLOGIE FEMME PHYSIOPATHOLOGIE ANATOMIE PETIT BASSIN SPHERE GENITALE UTERUS TRAITEMENT OSTEOPATHIE VISCERALE Résumé : La dysménorrhée est un symptôme fréquent dans la population féminine, phénomène social car invalidant. Ce trouble amène rarement une patiente à consulter en ostéopathie. Dans notre pratique quotidienne, ce trouble a frappé par sa fréquence et pourtant il n'est abordé qu'après un interrogatoire précis. En effet, la plupart des femmes paraissent résignées à cette souffrance. Ce phénomène nous étant apparu, nous avons essayé de le comprendre et de l'aborder; c'est cette étude que nous vous proposons. Il semble nécessaire, toutefois, de préciser quelques points, avant de passer au su jet qui nous intéresse. La dysménorrhée semble être un symptôme presque toujours toléré par la femme, soit parce qu'elle trouve "normal" d'avoir mal pendant les règles (lien avec les traditions qui cachaient ce temps physiologique et qui en faisaiente et en font encore un tabou ), soit parce que la solution médicale se trouve dans l'administration d'antalgiques, ou d'antispasmodiques ou anti-inflammatoires. Parfois plus radicalement, on prescrit la pilule pour inhiber l'ovulation et ainsi masquer le problème. La quasi totalité des femmes qui présentaient une dysménorrhée secondaire sont résignées à ces douleurs, et aux symptômes associés, probablement vécus comme des modifications physiques qui sont intervenues au fil des années et qui se sont installées sans que l'on puisse faire quoi que ce soit. Le cycle menstruel peut aboutir soit à la fécondation de l'oeuf, soit à la dégénération du corps jaune. Dans cette possibilité, la desquamation de l'endomètre, est un processus d'élémination. Or, dans les cas que nous avons rencontrés à notre cabinet, la dysménorrhée était le plus souvent associée à un écoulement insuffisant, nous essaierons donc d'étudier ce point et de mettre en évidence les liens entre douleurs et écoulement insuffisant. Nous n'avons pas abordé le problème de la dysménorrhée comme un symptôme, mais comme un trouble qui s'insère dans un processus plus ample qui est la fonction émonctoire des organes génitaux féminins. Dans cette étude, nous n'avons pas abordé les problèmes d'ordre hormonal car, pour cela, le soutien d'un service hospitalier pour les dosages hormonaux est nécessaire et nous n'avons pas été en mesure matériellement d'aboutir dans cette démarche. Dans ce travail, la première. partie décrit de façon succincte, l'anatomie osseuse et viscérale, avec une attention particulière aux liens ostéopathiques. La deuxième partie, plus ample, a visée physiopathologique, veut mettre en évidence les retentissements du système structurel ostéo-ligamentaire sur le système génital et par conséquent, sur la fonction émonctoire de ces organes. La troisième partie décrit le diagnostic, les tests, et les techniques en cherchant à démontrer les trois liens ostéopathiques (neuro-vasculo-mécanique) traditionnels. La conclusion veut mettre en évidence une réelle intervention sur la dysfonction et sur la qualité même du cycle menstruel. Exemplaires(1)
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