Son émergence tardive explique sans doute en partie pourquoi il ne se manifeste que de nos jours en ostéopathie. Les professionnels l’envisagent souvent comme une action destinée à se “protéger” juridiquement du patient, telle une obligation formelle parfois protocolaire, souvent désagréable, toujours pesante.
Il s’agit dans cette conférence de présenter les obligations de l’ostéopathe afin de déconstruire cette représentation inadaptée, pour expliquer comment le consentement pourrait être davantage envisagé comme un outil permettant de favoriser l’alliance thérapeutique.
Elle se basera sur des connaissances scientifiques actualisées issues d’un article publié en janvier 2023 dans un journal de droit médical à comité de lecture :
Le consentement en “médecine” manuelle, Revue Droit et Santé, n°111.”
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