Centre de Documentation et d'Information de l'Académie d'Ostéopathie
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'DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL' 




Essais de compréhension du diagnostic différentiel en ostéopathie / Claude SIMET
Titre : Essais de compréhension du diagnostic différentiel en ostéopathie Type de document : texte imprimé Auteurs : Claude SIMET, Auteur ; Jean-Claude PUCH, Directeur de la recherche Editeur : Collège d'Enseignement Traditionnel d'Ostéopathie Harold Magoun Année de publication : 2002 Importance : 146p. Présentation : annexes Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire Mots-clés : ostéopathie diagnostic différentiel diagnostic différentiel structurel diagnostic différentiel fascial diagnostic différentiel local viscéral diagnostic différentiel crânien diagnostic différentiel cranio-sacré Résumé : Ce mémoire propose à partir d'une synthèse des outils diagnostiques ostéopathiques, de définir comment l'ostéopathe peut arriver à un diagnostic différentiel ostéopathique. L'interrogatoire du patient d'une part, le bilan ostéopathique musculo-squelettique, fascial, viscéral et crânio-sacré d'autre part, doivent permettre au praticien de replacer la lésion primaire dans l'historique lésionnel qui a perturbé la relation entre la structure et la fonction par rapport au motif de consultation du patient. Il résultera de l'anamnèse et du bilan ostéopathique soit un diagnostic d'exclusion plaçant le thérapeute hors du champ de ses compétences, soit la mise en Å?uvre d'un traitement ostéopathique adapté et optimal. Essais de compréhension du diagnostic différentiel en ostéopathie [texte imprimé] / Claude SIMET, Auteur ; Jean-Claude PUCH, Directeur de la recherche . - Collège d'Enseignement Traditionnel d'Ostéopathie Harold Magoun, 2002 . - 146p. : annexes.
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire Mots-clés : ostéopathie diagnostic différentiel diagnostic différentiel structurel diagnostic différentiel fascial diagnostic différentiel local viscéral diagnostic différentiel crânien diagnostic différentiel cranio-sacré Résumé : Ce mémoire propose à partir d'une synthèse des outils diagnostiques ostéopathiques, de définir comment l'ostéopathe peut arriver à un diagnostic différentiel ostéopathique. L'interrogatoire du patient d'une part, le bilan ostéopathique musculo-squelettique, fascial, viscéral et crânio-sacré d'autre part, doivent permettre au praticien de replacer la lésion primaire dans l'historique lésionnel qui a perturbé la relation entre la structure et la fonction par rapport au motif de consultation du patient. Il résultera de l'anamnèse et du bilan ostéopathique soit un diagnostic d'exclusion plaçant le thérapeute hors du champ de ses compétences, soit la mise en Å?uvre d'un traitement ostéopathique adapté et optimal. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité emprunt 9345 1.1 SIM Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Diagnostic différentiel en ostéopathie. Examen médical et ostéopathique du membre supérieur / Anne GINDER
Titre : Diagnostic différentiel en ostéopathie. Examen médical et ostéopathique du membre supérieur Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne GINDER, Auteur ; Christian Defrance de Tersant, Directeur de la recherche Editeur : ISO Aix-en-Provence Année de publication : 2004 Importance : 97p. Présentation : ill. en coul. Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire Mots-clés : ostéopathie diagnostic différentiel membre supérieur coude épaule poignet main Résumé : Ce mémoire s'intéresse au membre supérieur, regroupant dans un même ouvrage les principaux tests le concernant, qu'ils soient médicaux ou ostéopathiques. La connaissance et la pratique de ces tests permettent à l'ostéopathie de porter un diagnostic spécifique, parfois d'exclusion, et de définir un traitement.
L'exposé est organisé en trois chapitres explorant les trois principaux complexes articulaires, de la racine bers la périphérie du membre. Chaque chapitre, après un bref rappel anatomique et biomécanique, reprend les différents éléments d'examen de la zone : inspection et palpation, tests orthopédiques, neurologiques et vasculaires, en enfin, tests ostéopathiques.Diagnostic différentiel en ostéopathie. Examen médical et ostéopathique du membre supérieur [texte imprimé] / Anne GINDER, Auteur ; Christian Defrance de Tersant, Directeur de la recherche . - ISO Aix-en-Provence, 2004 . - 97p. : ill. en coul.
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire Mots-clés : ostéopathie diagnostic différentiel membre supérieur coude épaule poignet main Résumé : Ce mémoire s'intéresse au membre supérieur, regroupant dans un même ouvrage les principaux tests le concernant, qu'ils soient médicaux ou ostéopathiques. La connaissance et la pratique de ces tests permettent à l'ostéopathie de porter un diagnostic spécifique, parfois d'exclusion, et de définir un traitement.
L'exposé est organisé en trois chapitres explorant les trois principaux complexes articulaires, de la racine bers la périphérie du membre. Chaque chapitre, après un bref rappel anatomique et biomécanique, reprend les différents éléments d'examen de la zone : inspection et palpation, tests orthopédiques, neurologiques et vasculaires, en enfin, tests ostéopathiques.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité emprunt 9346 1.1 GIN Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt L'examen clinique différentiel en ostéopathie / Philippe Aiglin
Titre : L'examen clinique différentiel en ostéopathie Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Aiglin, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : DIAGNOSTIC OSTEOPATHIQUE DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL PRISE EN CHARGE ANATOMIE SYSTEME SYMPATHIQUE PHYSIOLOGIE DOULEUR TRAITEMENT EXAMEN CLINIQUE OSTEOPATHIE CRANIENNE Résumé : [...] L'ostéopathe voulant être un praticien à part entière, il lui appartient, muni de ces connaissances, de connaître ses limites, de savoir s'intégrer aux structures médicales existantes, dans le seul intérêt de son patient.il n'est pas dans notre propos ici, de remplacer les cours de sémiologie, dispensés dans les différents collèges mais bien d'offrir un guide pratique permettant de s'y retrouver face aux motifs les plus fréquents de consultation. N'est-il pas délicat lorsqu'on vient nous voir pour une douleur à type inflammatoire de l'épaule, de distinguer de l'affection pulmonaire, cardiaque ou hépatique, la dysfonction ostéopathique (structurelle, fasciale ou membraneuse) ou bien encore les deux, tests à l'appui !Il convient donc :- de s'intéresser aux motifs de consultation suivant certaines modalité permettant, au patient d'exprimer ce qu'il ressent, et au praticien de rester objectif. C'est la période de l'interrogatoire- de trouver l'origine de la plainte donc de savoir reconnaitre une douleur une souffrancePour celà et pour ne pas s'égarer, il faut en connaître la physiologiemuni de ces divers renseignements, vient le temps de l'examen clinique. Il se fait en 2 temps :- L'examen clinique différentiel afin de déterminer si la pathologie , la douleur et la souffrance mettent en cause les différents systèmes vitaux de l'orgasnisme [...] A ce stade nous nous trouvons face à un choix : si la pathologie est fonctionnelle, l'ostéopathe trouve alors son "terrain" de prédilection si elle est organique il convient de l'étiqueter à l'aide d'un examen médical, radiologique voire biologique ; de traiter la pathologie et le plus souvent, ses conséquences, à condition que le traitement manuel ne devienne pas nocif auquel cas il convient : de s'abstenir.Ceci étant réalisé, nous pouvons alors établir notre diagnostic ostéopathique dans ses différents registres : structurel, viscéral, membraneux, fluidique et de démarrer le traitementToutefois pour cette étude nous envisageons en II , les rappels physiologiques qui nous semblent important avec les voies de sensibilité, le système sympathique, la douleur et ses différents aspects, le système fascial, le fonctionnement du cerveau SIAEn III, l'examen clinique qui doit faire coincider le motif le plus souvent formulés par les patients avec leurs répercussions cliniquesen fin de répertoire, nous citons quelques exemples montrant qu'il nous faut être vigilant. L'examen clinique différentiel en ostéopathie [texte imprimé] / Philippe Aiglin, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : DIAGNOSTIC OSTEOPATHIQUE DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL PRISE EN CHARGE ANATOMIE SYSTEME SYMPATHIQUE PHYSIOLOGIE DOULEUR TRAITEMENT EXAMEN CLINIQUE OSTEOPATHIE CRANIENNE Résumé : [...] L'ostéopathe voulant être un praticien à part entière, il lui appartient, muni de ces connaissances, de connaître ses limites, de savoir s'intégrer aux structures médicales existantes, dans le seul intérêt de son patient.il n'est pas dans notre propos ici, de remplacer les cours de sémiologie, dispensés dans les différents collèges mais bien d'offrir un guide pratique permettant de s'y retrouver face aux motifs les plus fréquents de consultation. N'est-il pas délicat lorsqu'on vient nous voir pour une douleur à type inflammatoire de l'épaule, de distinguer de l'affection pulmonaire, cardiaque ou hépatique, la dysfonction ostéopathique (structurelle, fasciale ou membraneuse) ou bien encore les deux, tests à l'appui !Il convient donc :- de s'intéresser aux motifs de consultation suivant certaines modalité permettant, au patient d'exprimer ce qu'il ressent, et au praticien de rester objectif. C'est la période de l'interrogatoire- de trouver l'origine de la plainte donc de savoir reconnaitre une douleur une souffrancePour celà et pour ne pas s'égarer, il faut en connaître la physiologiemuni de ces divers renseignements, vient le temps de l'examen clinique. Il se fait en 2 temps :- L'examen clinique différentiel afin de déterminer si la pathologie , la douleur et la souffrance mettent en cause les différents systèmes vitaux de l'orgasnisme [...] A ce stade nous nous trouvons face à un choix : si la pathologie est fonctionnelle, l'ostéopathe trouve alors son "terrain" de prédilection si elle est organique il convient de l'étiqueter à l'aide d'un examen médical, radiologique voire biologique ; de traiter la pathologie et le plus souvent, ses conséquences, à condition que le traitement manuel ne devienne pas nocif auquel cas il convient : de s'abstenir.Ceci étant réalisé, nous pouvons alors établir notre diagnostic ostéopathique dans ses différents registres : structurel, viscéral, membraneux, fluidique et de démarrer le traitementToutefois pour cette étude nous envisageons en II , les rappels physiologiques qui nous semblent important avec les voies de sensibilité, le système sympathique, la douleur et ses différents aspects, le système fascial, le fonctionnement du cerveau SIAEn III, l'examen clinique qui doit faire coincider le motif le plus souvent formulés par les patients avec leurs répercussions cliniquesen fin de répertoire, nous citons quelques exemples montrant qu'il nous faut être vigilant. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité emprunt 16 AIG Mémoire (ostéopathie) école d'ostéopathie Documentaires Exclu du prêt Exclusion thérapeutique, examen clinique en ostéopathie / GERMONT Ludovic
Titre : Exclusion thérapeutique, examen clinique en ostéopathie Type de document : texte imprimé Auteurs : GERMONT Ludovic, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : EXAMEN CLINIQUE ANAMNESE INTERROGATOIRE DIAGNOSTIC DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL PHYSIOLOGIE DOULEUR PHYSIOPATHOLOGIE TRAUMATOLOGIE PATHOLOGIE INFLAMMATOIRE PATHOLOGIE MECANIQUE TRAITEMENT Résumé : L'ostéopathe n'a pas dans l'idée d'ètre un médecin. Son métier est d'aider le patient à recouvnr une santé optimale, grâce à un art qui vise à restaurer les micro-mobilités du corps via le retablissement des échanges tissulaires. La traumatologie, les maladies infectieuses, les cancers, bref toutes les pathologies dites " organiques " , ne sont pas de notre ressort en première intension. L'ostéopathe à une grande responsabilité face aux patients, puisqu'ils viennent bien souvent d'emblée le consulter, aussi lui faut-il évaluer les troubles dont souffre les sujets. On ne reconnait que ce que l'on connait; le praticien devra donc être capable de reconnaitre ce qui n'est pas de ses compétences pour pouvoir le plus tôt possible diriger le patient vers le thérapeute le plus approprié (généraliste, spécialiste etc, selon les cas ). C'est ce que l'on appelle: le diagnostic différentiel ou exclusion thérapeutique. Dans cet optique, l'idée de ce mémoire est de montrer les éléments de débroussaillage qui vont aider l'ostéopathe dans cette démarche. Le sujet étant trop vaste, l'étude s'est attachée au membre supérieur. La structuration de ce mémoire se veut être celle d'une consultation de cabinet en ostéopathie. Dans un premier temps, à travers le motif de consultation et l'anamnèse, il y a la première évaluation intellectuelle de la plainte du sujet; on rappelera alors les voies de la douleur, ses repères topographiques, la physiopathologie médicale: c'est le chapitre premier. Puis, nous préciserons localement, en fonction de ce lieu de douleur, les différentes affections médicales qui peuvent y exister et les moyens de les dépister, puis quand celles ci auront été écarté, nous verrons alors les différentes affections ostéopathiques et les moyens de les trouver : c'est le second chapitre Enfin, dans la démarche de l'ostéopathe, une fois qu'il a écarté une pathologie qui n'est pas de son recours, qu'il a localisé localement une dysfonction ostéopathique, il se doit de connaitre l'origine de ce trouble fonctionnel qui peut être à distance de ce membre supérieur. Nous verrons alors les relations qu'entretient le membre supérieur au reste du corps et des tests ostéopathiques qui nous permettrons d'appréhender la lésion principale du corps au moment de la consultation: c'est le troisième chapitre. Exclusion thérapeutique, examen clinique en ostéopathie [texte imprimé] / GERMONT Ludovic, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : EXAMEN CLINIQUE ANAMNESE INTERROGATOIRE DIAGNOSTIC DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL PHYSIOLOGIE DOULEUR PHYSIOPATHOLOGIE TRAUMATOLOGIE PATHOLOGIE INFLAMMATOIRE PATHOLOGIE MECANIQUE TRAITEMENT Résumé : L'ostéopathe n'a pas dans l'idée d'ètre un médecin. Son métier est d'aider le patient à recouvnr une santé optimale, grâce à un art qui vise à restaurer les micro-mobilités du corps via le retablissement des échanges tissulaires. La traumatologie, les maladies infectieuses, les cancers, bref toutes les pathologies dites " organiques " , ne sont pas de notre ressort en première intension. L'ostéopathe à une grande responsabilité face aux patients, puisqu'ils viennent bien souvent d'emblée le consulter, aussi lui faut-il évaluer les troubles dont souffre les sujets. On ne reconnait que ce que l'on connait; le praticien devra donc être capable de reconnaitre ce qui n'est pas de ses compétences pour pouvoir le plus tôt possible diriger le patient vers le thérapeute le plus approprié (généraliste, spécialiste etc, selon les cas ). C'est ce que l'on appelle: le diagnostic différentiel ou exclusion thérapeutique. Dans cet optique, l'idée de ce mémoire est de montrer les éléments de débroussaillage qui vont aider l'ostéopathe dans cette démarche. Le sujet étant trop vaste, l'étude s'est attachée au membre supérieur. La structuration de ce mémoire se veut être celle d'une consultation de cabinet en ostéopathie. Dans un premier temps, à travers le motif de consultation et l'anamnèse, il y a la première évaluation intellectuelle de la plainte du sujet; on rappelera alors les voies de la douleur, ses repères topographiques, la physiopathologie médicale: c'est le chapitre premier. Puis, nous préciserons localement, en fonction de ce lieu de douleur, les différentes affections médicales qui peuvent y exister et les moyens de les dépister, puis quand celles ci auront été écarté, nous verrons alors les différentes affections ostéopathiques et les moyens de les trouver : c'est le second chapitre Enfin, dans la démarche de l'ostéopathe, une fois qu'il a écarté une pathologie qui n'est pas de son recours, qu'il a localisé localement une dysfonction ostéopathique, il se doit de connaitre l'origine de ce trouble fonctionnel qui peut être à distance de ce membre supérieur. Nous verrons alors les relations qu'entretient le membre supérieur au reste du corps et des tests ostéopathiques qui nous permettrons d'appréhender la lésion principale du corps au moment de la consultation: c'est le troisième chapitre. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité emprunt 434 GER Mémoire (ostéopathie) école d'ostéopathie Documentaires Exclu du prêt Influences du système myo-fascial dans la physiopathologie crânio-sacrée / Dominique Daurade
Titre : Influences du système myo-fascial dans la physiopathologie crânio-sacrée Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Daurade, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE CRANIENNE LESION PRIMAIRE FASCIAS PHYSIOPATHOLOGIE CONCEPT CRANIO-SACRE DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL EXAMEN TRAITEMENT Résumé : Lorsque l'on pratique l'ostéopathie crânienne on prend inévitablenent conscience que le crâne représente une sphère, focalisant à la fois ses propres pathologies mais également un ensemble de troubles extrinsèques à son fonctionnement venus aboutir à ce pôle supérieur. A plusieurs reprises, lorsqu'en débutant dans cette médecine, nous corrigions telle ou telle lésion, et satisfaits de nous, pensions avoir réglé un dysfonctionnement crânien, nous étions désagréablement surpris de revoir notre patient la séance suivante présentant exactement la même pathologie et déclarant avoir constaté une amélioration éphémère et transitoire. Devant ce constat, il devient évident et ceci n'est plus une révélation, qu'un bon nombre de lésions crâniennes ne sont en fait que des adaptations de ce dernier aux déséquilibres corporels sous-jacents. Par conséquent, il existe un système unissant la sphère crânienne au reste du corps. Ce lien mécanique a été découvert depuis longtemps, il est représenté par le système fascial périphérique et profond accompagné du système musculaire et de son tonus. Ces structures, par leur globalité anatomique et fonctionnelle, véhiculent les dysfonctionnements articulaires, viscéraux et liquidiens dans tous les plans de l'espace. Ils transmettent également dans cette relation, leurs pathologies internes ( cicatrices, lésions myo-fasciales) de sorte que lorsque l'on pose ses mains sur un crâne, nous avons le reflet de l'ensemble du corps. Deux questions s'imposent donc d'emblée, : - Lorsque l'on désire réduire une lésion crânienne, quelle lésion faut-il traiter? Assurément les lésions intrinsèques à ce système, que nous appellerons lésions primaires.) - Comment détecter, dans le dédale parfois impressionnant du crâne de certains de nos patients, ce qui est primaire de ce qui est adaptatif? Cette deuxième interrogation servira de fil conducteur à ce mémoire et nous essaierons modestement d'y répondre. Nous chercherons s'il est possible, en utilisant le système myofascial, de faire un inventaire causal des lésions et de déterminer, avec le plus de rigueur possible, ce qui appartient à quoi. Il nous fallait donc trouver un examen, une routine systématique, simple à mettre en place, rapide, et facile à interpréter, nous permettant d'effectuer un diagnostic différentiel. Après plusieurs hésitations et doutes, nous avons pensé qu'il fallait agir sur le système myo-fascial, le plus globalement possible, et se reporter au crâne pour en écouter sa réponse. L'inverse est beaucoup plus difficile car si nos deux mains couvrent pIus ou moins aisément l'ensemble de la boîte crânienne, il n'en n'est pas de même pour le système myo-fascial qui recouvre la presque totalité des constituants de notre organisme. Nous citerons cet extrait de John Upledger ( " Thérapie crânio-sacrée " ) qui corrobore notre point de vue : " On peut considérer l'organe fascial comme un labyrinthe qui permet de voyager de n'importe quel point du corps à un autre sans jamais quitter le fascia ; A la partie supérieure, beaucoup de lames fasciales s'insèrent sur le crâne. Les muscles tirant sur les fascias vont donc affecter la fonction crânio-sacrée. A partir de cette continuité un accident à n'importe quel point du corps affecte le système crânio-sacré. " Avant d'entrer véritablement dans le sujet de ce mémoire, nous précisons que nous avons volontairement et arbitrairement fait abstraction des rapports de la mandibule et de l'appareil oculaire avec la crâne. Ces deux systèmes sont susceptibles de générer certaines pathoIogies crâniennes mais d'autres thèses et ouvrages en ont fait la démonstration. Influences du système myo-fascial dans la physiopathologie crânio-sacrée [texte imprimé] / Dominique Daurade, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE CRANIENNE LESION PRIMAIRE FASCIAS PHYSIOPATHOLOGIE CONCEPT CRANIO-SACRE DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL EXAMEN TRAITEMENT Résumé : Lorsque l'on pratique l'ostéopathie crânienne on prend inévitablenent conscience que le crâne représente une sphère, focalisant à la fois ses propres pathologies mais également un ensemble de troubles extrinsèques à son fonctionnement venus aboutir à ce pôle supérieur. A plusieurs reprises, lorsqu'en débutant dans cette médecine, nous corrigions telle ou telle lésion, et satisfaits de nous, pensions avoir réglé un dysfonctionnement crânien, nous étions désagréablement surpris de revoir notre patient la séance suivante présentant exactement la même pathologie et déclarant avoir constaté une amélioration éphémère et transitoire. Devant ce constat, il devient évident et ceci n'est plus une révélation, qu'un bon nombre de lésions crâniennes ne sont en fait que des adaptations de ce dernier aux déséquilibres corporels sous-jacents. Par conséquent, il existe un système unissant la sphère crânienne au reste du corps. Ce lien mécanique a été découvert depuis longtemps, il est représenté par le système fascial périphérique et profond accompagné du système musculaire et de son tonus. Ces structures, par leur globalité anatomique et fonctionnelle, véhiculent les dysfonctionnements articulaires, viscéraux et liquidiens dans tous les plans de l'espace. Ils transmettent également dans cette relation, leurs pathologies internes ( cicatrices, lésions myo-fasciales) de sorte que lorsque l'on pose ses mains sur un crâne, nous avons le reflet de l'ensemble du corps. Deux questions s'imposent donc d'emblée, : - Lorsque l'on désire réduire une lésion crânienne, quelle lésion faut-il traiter? Assurément les lésions intrinsèques à ce système, que nous appellerons lésions primaires.) - Comment détecter, dans le dédale parfois impressionnant du crâne de certains de nos patients, ce qui est primaire de ce qui est adaptatif? Cette deuxième interrogation servira de fil conducteur à ce mémoire et nous essaierons modestement d'y répondre. Nous chercherons s'il est possible, en utilisant le système myofascial, de faire un inventaire causal des lésions et de déterminer, avec le plus de rigueur possible, ce qui appartient à quoi. Il nous fallait donc trouver un examen, une routine systématique, simple à mettre en place, rapide, et facile à interpréter, nous permettant d'effectuer un diagnostic différentiel. Après plusieurs hésitations et doutes, nous avons pensé qu'il fallait agir sur le système myo-fascial, le plus globalement possible, et se reporter au crâne pour en écouter sa réponse. L'inverse est beaucoup plus difficile car si nos deux mains couvrent pIus ou moins aisément l'ensemble de la boîte crânienne, il n'en n'est pas de même pour le système myo-fascial qui recouvre la presque totalité des constituants de notre organisme. Nous citerons cet extrait de John Upledger ( " Thérapie crânio-sacrée " ) qui corrobore notre point de vue : " On peut considérer l'organe fascial comme un labyrinthe qui permet de voyager de n'importe quel point du corps à un autre sans jamais quitter le fascia ; A la partie supérieure, beaucoup de lames fasciales s'insèrent sur le crâne. Les muscles tirant sur les fascias vont donc affecter la fonction crânio-sacrée. A partir de cette continuité un accident à n'importe quel point du corps affecte le système crânio-sacré. " Avant d'entrer véritablement dans le sujet de ce mémoire, nous précisons que nous avons volontairement et arbitrairement fait abstraction des rapports de la mandibule et de l'appareil oculaire avec la crâne. Ces deux systèmes sont susceptibles de générer certaines pathoIogies crâniennes mais d'autres thèses et ouvrages en ont fait la démonstration. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité emprunt 294 1.4 DAU Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Diagnostics et traitements ostéopathiques possibles face à une algie cervico-brachiale / Ludovic Assire
PermalinkA l'écoute du patient : communication et anamnèse en ostéopathie / André Demellier
PermalinkApproche ostéopathique des céphalalgies d'origine postérieure / Jean-Pierre Alazard
PermalinkCaractère idiopathique et traitement ostéopathique des troubles fonctionnels intestinaux / HEUDIARD Frédéric
PermalinkDysfonctions viscérales et pubalgie : intérêt de la démarche ostéopathique / Jean Amiot
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