Titre : |
Contribution de l'ostéopathie à l'équilibration d'un diabète sucré insulino-dépendant après 65ans |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
REIX Alain, Auteur |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Mémoire :C.O.P.
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Mots-clés : |
OSTEOPATHIE VISCERALE PATHOLOGIE DIABETE ANATOMIE FOIE PANCREAS MUSCLE TRAITEMENT SOCIOLOGIE GERIATRIE METABOLISME INSULINE |
Résumé : |
La santé est un état complet de bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité. En matière de diabète, cette définition de la Santé par l'O.M.S. est à ce jour, utopique. [...]Quelle peut être la place de l'osteopathie dans une telle maladie métabolique, où la réponse thérapeutique est jusqu'ici, essentiellement liée à la prise d'insuline, d'hypoglycémiants oraux et au suivi d'une diététique rigoureuse? Il n'est pas question de remettre en doute l'étiopathogénie genétique ou immunitaire de la maladie. Quand bien même, il faut admettre que la technique ou les techniques qui amélioreront ou tenteront d'améliorer la courbe glycémique en agissant sur les 3 organes clés de la maladie: - le Pancréas - le Foie - Le Muscle ont leur place. Je pense que l'osteopathie peut dans de nombreux cas, favoriser cette capacité, par son ambition à normaliser tant sur le plan hémodynamique (on sait l'importance sur un sujet âgé) que sur l'équilibre des fonctions entre elles, par les liens fibro-conjonctifs, nerveux, humoraux, hormonaux, qu'elles échangent soient directement ou indirectement. J'ai centré ce mémoire sur un type précis de diabétique, dans une tranche d'âge supérieure, à 65 ans et insulino-traité. Je n'aurais pas ici la prétention de traiter le diabète par l'osteopathie, mais raisonnablement l'intention d'aider le diabétique à vivre mieux sa maladie. [...]Il était possible, à travers ce mémoire, de "jouer", comme l'osteopathie le permet, sur plusieurs axes thérapeutiques (fascial, cranio-sacré, vertébral, hémodynamique, viscéral, etc...) dans l'esprit d'unité de l'organisme et de cause à effet, en somme de faire une synthèse thérapeutique de ces différents modes d'action, pour réguler mon diabétique, le mieux possible. Chaque cas que j'ai vu, a été abordé, avec une orientation propre à sa structure. J'ai évité de me disperser chez un même sujet même à travers plusieurs séances, ce qui paraît "peu ostéopathique" ; mais j'avais remarqué que chaque fois, que je jouais le jeu de la polyvalence osteopathique chez ce type de sujets (âgés et fragilisés), l'effet était bien souvent inverse de ce que j'attendais. Les Chinois disent souvent "un peu c'est déjà trop". Je me suis inspiré de cette réflexion pour tenter d'aider, sans excès de zèle, mon malade diabétique. Compte tenu du nombre d'éléments intervenant dans la glucorégulation, j'ai éssayé de faire ressortir, tout au long de ce mémoire les raisonnements osteopathiques relatifs aux intervenants traités dans le diabète de type 1. |
Contribution de l'ostéopathie à l'équilibration d'un diabète sucré insulino-dépendant après 65ans [texte imprimé] / REIX Alain, Auteur . - [s.d.]. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Mémoire :C.O.P.
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Mots-clés : |
OSTEOPATHIE VISCERALE PATHOLOGIE DIABETE ANATOMIE FOIE PANCREAS MUSCLE TRAITEMENT SOCIOLOGIE GERIATRIE METABOLISME INSULINE |
Résumé : |
La santé est un état complet de bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité. En matière de diabète, cette définition de la Santé par l'O.M.S. est à ce jour, utopique. [...]Quelle peut être la place de l'osteopathie dans une telle maladie métabolique, où la réponse thérapeutique est jusqu'ici, essentiellement liée à la prise d'insuline, d'hypoglycémiants oraux et au suivi d'une diététique rigoureuse? Il n'est pas question de remettre en doute l'étiopathogénie genétique ou immunitaire de la maladie. Quand bien même, il faut admettre que la technique ou les techniques qui amélioreront ou tenteront d'améliorer la courbe glycémique en agissant sur les 3 organes clés de la maladie: - le Pancréas - le Foie - Le Muscle ont leur place. Je pense que l'osteopathie peut dans de nombreux cas, favoriser cette capacité, par son ambition à normaliser tant sur le plan hémodynamique (on sait l'importance sur un sujet âgé) que sur l'équilibre des fonctions entre elles, par les liens fibro-conjonctifs, nerveux, humoraux, hormonaux, qu'elles échangent soient directement ou indirectement. J'ai centré ce mémoire sur un type précis de diabétique, dans une tranche d'âge supérieure, à 65 ans et insulino-traité. Je n'aurais pas ici la prétention de traiter le diabète par l'osteopathie, mais raisonnablement l'intention d'aider le diabétique à vivre mieux sa maladie. [...]Il était possible, à travers ce mémoire, de "jouer", comme l'osteopathie le permet, sur plusieurs axes thérapeutiques (fascial, cranio-sacré, vertébral, hémodynamique, viscéral, etc...) dans l'esprit d'unité de l'organisme et de cause à effet, en somme de faire une synthèse thérapeutique de ces différents modes d'action, pour réguler mon diabétique, le mieux possible. Chaque cas que j'ai vu, a été abordé, avec une orientation propre à sa structure. J'ai évité de me disperser chez un même sujet même à travers plusieurs séances, ce qui paraît "peu ostéopathique" ; mais j'avais remarqué que chaque fois, que je jouais le jeu de la polyvalence osteopathique chez ce type de sujets (âgés et fragilisés), l'effet était bien souvent inverse de ce que j'attendais. Les Chinois disent souvent "un peu c'est déjà trop". Je me suis inspiré de cette réflexion pour tenter d'aider, sans excès de zèle, mon malade diabétique. Compte tenu du nombre d'éléments intervenant dans la glucorégulation, j'ai éssayé de faire ressortir, tout au long de ce mémoire les raisonnements osteopathiques relatifs aux intervenants traités dans le diabète de type 1. |
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