Centre de Documentation et d'Information de l'Académie d'Ostéopathie
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Architecture tridimensionnelle du muscle semi-membraneux : éléments tendineux - hypothèses fibrillaires / Jean-Marc Tenenhaus
Titre : Architecture tridimensionnelle du muscle semi-membraneux : éléments tendineux - hypothèses fibrillaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marc Tenenhaus, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : ANATOMIE MEMBRE INFERIEUR MYOLOGIE MUSCLE SEMI-MEMBRENEUX BIOMECANIQUE OSTEOPATHIE STRUCTURELLE Résumé : Notre réflexion s'est construite à partir de la présentation au sein de notre cursus des" Suites Mécaniques du Membre Inférieur "Ce modèle explicatif synthétise "... les inter-réactions des rapports de structures entre-elles..."permettant de dégager un "... fil conducteur de la réflexion ostéopathique...". Ce modèle reposant sur un constat clinique, présente trois types de suites : - Suite mécanique Montante à partir d'une dysfonction ostéopathique dite "Entorse Interne" ; - Suite mécanique Descendante à partir d'une dysfonction ostéopathique de type "Postériorité Iliaque". - Suite mécanique Descendante à partir d'une dysfonction ostéopathique de type "Antériorité iliaque". Ces suites sont décrites d'après un système de relais musculaires, et de modifications de position dans l'espace des insertions musculaires. Toutes trois mettent en jeu le muscle Biceps Fémoral de part son insertion sur l'Ischion et sa terminaison sur la Tête du Péroné. Mais, les deux autres muscles Ischio-jarnbiers muscle Semi-membraneux et muscle Semi-tendineux, n'y sont jamais cités. Or, les muscles Biceps Fémoral, Senti-membraneux, et Senti-tendineux possèdent une insertion quasi commune. Admettre l'Ostéopathie, c'est admettre un certain nombre de postulats parmi lesquels figurent l'existence de la dysfonction ostéopathique, et le fait que l'existence d'une dysfonction articulaire perturbe le fonctionnement physiologique des muscles qui la meuvent, créant des tensions en leurs sein, et des contraintes excessives au niveau de l'insertion musculaire opposée. Il est généralement admis dans notre profession que des tensions musculaires inadéquates peuvent induire une dysfonction. Nous sommes obligés de remarquer ici que ces notions de tensions et de contraintes excessives demeurent très floues sur le plan sémantique, peut-être à cause du manque de définition biomécanique du phénomène. Ayant admis ces postulats, nous ne comprenions pas pourquoi, au niveau des Suites Descendantes, la modification du comportement spatial de l'Ischion n'entraînait de répercussions que sur un seul muscle du groupe des ischio-jambiers. Pour tenter d'apporter des éléments de compréhension sur cette différence de comportement clinique, il nous a semblé intéressant de réaliser une étude de l'architecture de ces muscles. Le comportement mécanique des muscles qui nous intéressent dans le cadre d'une réflexion portant sur les Suites Mécaniques du Membre inférieur ne peut être étudié sans acquisition préalable de données anatomiques concernant son architecture. Bien que nous eussions souhaité porter une attention particulière au muscle Biceps Fémoral et à son insertion sur la Tête Péronnière ( à cause de la dysfonction dite" Tête Péronnière en Supériorité" ), la documentation en notre possession ne nous a permis que l'étude du muscle Semi-membraneux. Pour les autres groupes musculaires, le risque d'erreur lié à la qualité photographique des coupes horizontales employées dans notre protocole méthodologique est trop grand. Nous avons donc récusé leur étude. Nous nous sommes surtout attachés à l'étude dans l'espace des tendons et lamelles tendineuses du muscle Semi-membraneux. En effet, les anatomistes décrivent les insertions musculaires mais il n'existe pas de description spatiale de l'ensemble des fibres tendineuses. Seuls J.W. ROHEN et C. YOKOCHI détaillent plus ces tendons grâce aux photographies de dissections qu'ils présentent, mais nous ne possédons alors qu'une vue de surface. Nous avons d'ailleurs eu la surprise en compulsant "MEDLINE" de ne retrouver aucune référence bibliographique à ce sujet ( nous avons demandé au CNRS d'effectuer une recherche destinée à éliminer un problème d'emploi des mots-clé sans plus de résultat ). Nous proposerons des hypothèses relatives à l'angle d'attaque des fibres musculaires sur les tendons. La qualité des documents utilisés ne nous permettant pas un protocole fiable. Architecture tridimensionnelle du muscle semi-membraneux : éléments tendineux - hypothèses fibrillaires [texte imprimé] / Jean-Marc Tenenhaus, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : ANATOMIE MEMBRE INFERIEUR MYOLOGIE MUSCLE SEMI-MEMBRENEUX BIOMECANIQUE OSTEOPATHIE STRUCTURELLE Résumé : Notre réflexion s'est construite à partir de la présentation au sein de notre cursus des" Suites Mécaniques du Membre Inférieur "Ce modèle explicatif synthétise "... les inter-réactions des rapports de structures entre-elles..."permettant de dégager un "... fil conducteur de la réflexion ostéopathique...". Ce modèle reposant sur un constat clinique, présente trois types de suites : - Suite mécanique Montante à partir d'une dysfonction ostéopathique dite "Entorse Interne" ; - Suite mécanique Descendante à partir d'une dysfonction ostéopathique de type "Postériorité Iliaque". - Suite mécanique Descendante à partir d'une dysfonction ostéopathique de type "Antériorité iliaque". Ces suites sont décrites d'après un système de relais musculaires, et de modifications de position dans l'espace des insertions musculaires. Toutes trois mettent en jeu le muscle Biceps Fémoral de part son insertion sur l'Ischion et sa terminaison sur la Tête du Péroné. Mais, les deux autres muscles Ischio-jarnbiers muscle Semi-membraneux et muscle Semi-tendineux, n'y sont jamais cités. Or, les muscles Biceps Fémoral, Senti-membraneux, et Senti-tendineux possèdent une insertion quasi commune. Admettre l'Ostéopathie, c'est admettre un certain nombre de postulats parmi lesquels figurent l'existence de la dysfonction ostéopathique, et le fait que l'existence d'une dysfonction articulaire perturbe le fonctionnement physiologique des muscles qui la meuvent, créant des tensions en leurs sein, et des contraintes excessives au niveau de l'insertion musculaire opposée. Il est généralement admis dans notre profession que des tensions musculaires inadéquates peuvent induire une dysfonction. Nous sommes obligés de remarquer ici que ces notions de tensions et de contraintes excessives demeurent très floues sur le plan sémantique, peut-être à cause du manque de définition biomécanique du phénomène. Ayant admis ces postulats, nous ne comprenions pas pourquoi, au niveau des Suites Descendantes, la modification du comportement spatial de l'Ischion n'entraînait de répercussions que sur un seul muscle du groupe des ischio-jambiers. Pour tenter d'apporter des éléments de compréhension sur cette différence de comportement clinique, il nous a semblé intéressant de réaliser une étude de l'architecture de ces muscles. Le comportement mécanique des muscles qui nous intéressent dans le cadre d'une réflexion portant sur les Suites Mécaniques du Membre inférieur ne peut être étudié sans acquisition préalable de données anatomiques concernant son architecture. Bien que nous eussions souhaité porter une attention particulière au muscle Biceps Fémoral et à son insertion sur la Tête Péronnière ( à cause de la dysfonction dite" Tête Péronnière en Supériorité" ), la documentation en notre possession ne nous a permis que l'étude du muscle Semi-membraneux. Pour les autres groupes musculaires, le risque d'erreur lié à la qualité photographique des coupes horizontales employées dans notre protocole méthodologique est trop grand. Nous avons donc récusé leur étude. Nous nous sommes surtout attachés à l'étude dans l'espace des tendons et lamelles tendineuses du muscle Semi-membraneux. En effet, les anatomistes décrivent les insertions musculaires mais il n'existe pas de description spatiale de l'ensemble des fibres tendineuses. Seuls J.W. ROHEN et C. YOKOCHI détaillent plus ces tendons grâce aux photographies de dissections qu'ils présentent, mais nous ne possédons alors qu'une vue de surface. Nous avons d'ailleurs eu la surprise en compulsant "MEDLINE" de ne retrouver aucune référence bibliographique à ce sujet ( nous avons demandé au CNRS d'effectuer une recherche destinée à éliminer un problème d'emploi des mots-clé sans plus de résultat ). Nous proposerons des hypothèses relatives à l'angle d'attaque des fibres musculaires sur les tendons. La qualité des documents utilisés ne nous permettant pas un protocole fiable. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 877 1.2 TEN Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Le muscle iliaque : son rôle réel sur le membre inférieur et sur le bassin / MULOT Christian
Titre : Le muscle iliaque : son rôle réel sur le membre inférieur et sur le bassin Type de document : texte imprimé Auteurs : MULOT Christian, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE STRUCTURELLE ANATOMIE RACHIS LOMBAIRE L4/L5 L5/S1 ARTICULATION SACRO-ILIAQUE MYOLOGIE MUSCLE ILIAQUE PSOAS-ILIAQUE TRAITEMENT Résumé : Partant d'une hypothèse selon laquelle le muscle iliaque, de par ses insertions et sa position, devait avoir une action rotatoire sur le fémur, sur l'équilibre gravitationnel et sur le bassin lorsqu'il était con tracturé, j'ai établi un protocole de démonstration qui s'est démontré pratiquement négatif pour les 2 premiers facteurs mais positif en ce qui concerne le bassin et plus particulièrement l'articulation sacro-iliaque. De cette conclusion, j'ai élaboré une nouvelle hypothèse selon laquelle le muscle iliaque devait avoir une influence sur l'environnement anatomique, c'est à dire le muscle psoas, la 5ème lombaire et sur la marche. Les résultats des 2 premières hypothèses s'avèrent exactes, la dernière reste à vérifier en laboratoire d'essais. Ces conclusions permettent d'expliquer bien des problèmes sacro-iliaques, ilio-sacré, ilio-lombaire dont les corrections restent souvent bien difficiles, aléatoires, récidivantes pour l'ostéopathe. Le muscle iliaque : son rôle réel sur le membre inférieur et sur le bassin [texte imprimé] / MULOT Christian, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE STRUCTURELLE ANATOMIE RACHIS LOMBAIRE L4/L5 L5/S1 ARTICULATION SACRO-ILIAQUE MYOLOGIE MUSCLE ILIAQUE PSOAS-ILIAQUE TRAITEMENT Résumé : Partant d'une hypothèse selon laquelle le muscle iliaque, de par ses insertions et sa position, devait avoir une action rotatoire sur le fémur, sur l'équilibre gravitationnel et sur le bassin lorsqu'il était con tracturé, j'ai établi un protocole de démonstration qui s'est démontré pratiquement négatif pour les 2 premiers facteurs mais positif en ce qui concerne le bassin et plus particulièrement l'articulation sacro-iliaque. De cette conclusion, j'ai élaboré une nouvelle hypothèse selon laquelle le muscle iliaque devait avoir une influence sur l'environnement anatomique, c'est à dire le muscle psoas, la 5ème lombaire et sur la marche. Les résultats des 2 premières hypothèses s'avèrent exactes, la dernière reste à vérifier en laboratoire d'essais. Ces conclusions permettent d'expliquer bien des problèmes sacro-iliaques, ilio-sacré, ilio-lombaire dont les corrections restent souvent bien difficiles, aléatoires, récidivantes pour l'ostéopathe. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 676 1.2 MUL Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Comment les émotions influencent-elles notre posture ? / Aurélie Brindisi
Titre : Comment les émotions influencent-elles notre posture ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Aurélie Brindisi, Auteur Editeur : Paris : Collège Ostéopathique Européen Année de publication : 2015 Importance : 75 p. Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire Mots-clés : émotion corps posture perception muscle attention emotion body Résumé : La relation entre émotions et posture a été le thème de nombreuses études.
The relationship between emotions and posture has been subject of numerous
studies
For the present study, I have selected 15 items out of a panel of many very
interesting studies which is the best to respond to my study: In what ways
different emotional states influence our postural system.
The following data bases Pubmed, Direct Science, Cairn and PsycInfo have been
a support in my research.
I've selected publications of the period going from 2000 to 2015.
Among the selected studies, seven of them have allowed me to highlight emotions
influence on postural control, unpleasant emotional stimulation would cause a
modification of the center in the gravity position.
Four of the studies show us that the muscle strength is linked to the different
emotional stimulation.
Only, the postural static was examined, the initiation gait can be influenced by the
emotional stimulation, the locomotion behaviour will be more motivated by the
pleasant stimulation.
Following this research we were able to notice that emotions influences have an
effect on the posture, on the balance, on the muscle system and on the locomotion
behaviour.
Par cette présente recherche, 15 articles ont été choisis parmi un panel de
nombreuses études très enrichissantes afin de répondre au mieux à notre
problématique : de quelles manières différents états émotionnels influencent-ils
notre système postural.
Différents moteurs de recherche, Pubmed, science direct, Cairn et PsycINFO
m'ont permis d'effectuer mes recherches. J'ai sélectionné des périodes de
publication récente allant de 2000 à 2015.
Parmi les études sélectionnées, toutes de nature expérimentale, 7 m'ont permise
de mettre en évidence une influence des émotions sur le contrôle postural ; des
stimuli émotionnels désagréables amènerait un phénomène de recul du centre de
gravité.
4 autres articles nous amènent l'hypothèse que l'intensité de la force musculaire
serait liée au différent contenu des stimuli émotionnels.
Jusque là seule la statique était mise en avant, l'initiation à la marche et la
locomotion peuvent elles aussi être influencées. Il est montré que la locomotion
serait améliorée à la vue de stimulus agréable.
A l'issue de ce travail de recherche nous avons pu montrer que les émotions
influencent la posture tant d'un point de vue de l'équilibre du centre de gravité,
The relationship between emotions and posture has been subject of numerous
studies
For the present study, I have selected 15 items out of a panel of many very
interesting studies which is the best to respond to my study: In what ways
different emotional states influence our postural system.
The following data bases Pubmed, Direct Science, Cairn and PsycInfo have been
a support in my research.
I've selected publications of the period going from 2000 to 2015.
Among the selected studies, seven of them have allowed me to highlight emotions
influence on postural control, unpleasant emotional stimulation would cause a
modification of the center in the gravity position.
Four of the studies show us that the muscle strength is linked to the different
emotional stimulation.
Only, the postural static was examined, the initiation gait can be influenced by the
emotional stimulation, the locomotion behaviour will be more motivated by the
pleasant stimulation.
Following this research we were able to notice that emotions influences have an
effect on the posture, on the balance, on the muscle system and on the locomotion
behaviourComment les émotions influencent-elles notre posture ? [texte imprimé] / Aurélie Brindisi, Auteur . - Paris : Collège Ostéopathique Européen, 2015 . - 75 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire Mots-clés : émotion corps posture perception muscle attention emotion body Résumé : La relation entre émotions et posture a été le thème de nombreuses études.
The relationship between emotions and posture has been subject of numerous
studies
For the present study, I have selected 15 items out of a panel of many very
interesting studies which is the best to respond to my study: In what ways
different emotional states influence our postural system.
The following data bases Pubmed, Direct Science, Cairn and PsycInfo have been
a support in my research.
I've selected publications of the period going from 2000 to 2015.
Among the selected studies, seven of them have allowed me to highlight emotions
influence on postural control, unpleasant emotional stimulation would cause a
modification of the center in the gravity position.
Four of the studies show us that the muscle strength is linked to the different
emotional stimulation.
Only, the postural static was examined, the initiation gait can be influenced by the
emotional stimulation, the locomotion behaviour will be more motivated by the
pleasant stimulation.
Following this research we were able to notice that emotions influences have an
effect on the posture, on the balance, on the muscle system and on the locomotion
behaviour.
Par cette présente recherche, 15 articles ont été choisis parmi un panel de
nombreuses études très enrichissantes afin de répondre au mieux à notre
problématique : de quelles manières différents états émotionnels influencent-ils
notre système postural.
Différents moteurs de recherche, Pubmed, science direct, Cairn et PsycINFO
m'ont permis d'effectuer mes recherches. J'ai sélectionné des périodes de
publication récente allant de 2000 à 2015.
Parmi les études sélectionnées, toutes de nature expérimentale, 7 m'ont permise
de mettre en évidence une influence des émotions sur le contrôle postural ; des
stimuli émotionnels désagréables amènerait un phénomène de recul du centre de
gravité.
4 autres articles nous amènent l'hypothèse que l'intensité de la force musculaire
serait liée au différent contenu des stimuli émotionnels.
Jusque là seule la statique était mise en avant, l'initiation à la marche et la
locomotion peuvent elles aussi être influencées. Il est montré que la locomotion
serait améliorée à la vue de stimulus agréable.
A l'issue de ce travail de recherche nous avons pu montrer que les émotions
influencent la posture tant d'un point de vue de l'équilibre du centre de gravité,
The relationship between emotions and posture has been subject of numerous
studies
For the present study, I have selected 15 items out of a panel of many very
interesting studies which is the best to respond to my study: In what ways
different emotional states influence our postural system.
The following data bases Pubmed, Direct Science, Cairn and PsycInfo have been
a support in my research.
I've selected publications of the period going from 2000 to 2015.
Among the selected studies, seven of them have allowed me to highlight emotions
influence on postural control, unpleasant emotional stimulation would cause a
modification of the center in the gravity position.
Four of the studies show us that the muscle strength is linked to the different
emotional stimulation.
Only, the postural static was examined, the initiation gait can be influenced by the
emotional stimulation, the locomotion behaviour will be more motivated by the
pleasant stimulation.
Following this research we were able to notice that emotions influences have an
effect on the posture, on the balance, on the muscle system and on the locomotion
behaviourExemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 3420 BRI Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Disponible Contribution de l'ostéopathie à l'équilibration d'un diabète sucré insulino-dépendant après 65ans / REIX Alain
Titre : Contribution de l'ostéopathie à l'équilibration d'un diabète sucré insulino-dépendant après 65ans Type de document : texte imprimé Auteurs : REIX Alain, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE VISCERALE PATHOLOGIE DIABETE ANATOMIE FOIE PANCREAS MUSCLE TRAITEMENT SOCIOLOGIE GERIATRIE METABOLISME INSULINE Résumé : La santé est un état complet de bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité. En matière de diabète, cette définition de la Santé par l'O.M.S. est à ce jour, utopique. [...]Quelle peut être la place de l'osteopathie dans une telle maladie métabolique, où la réponse thérapeutique est jusqu'ici, essentiellement liée à la prise d'insuline, d'hypoglycémiants oraux et au suivi d'une diététique rigoureuse? Il n'est pas question de remettre en doute l'étiopathogénie genétique ou immunitaire de la maladie. Quand bien même, il faut admettre que la technique ou les techniques qui amélioreront ou tenteront d'améliorer la courbe glycémique en agissant sur les 3 organes clés de la maladie: - le Pancréas - le Foie - Le Muscle ont leur place. Je pense que l'osteopathie peut dans de nombreux cas, favoriser cette capacité, par son ambition à normaliser tant sur le plan hémodynamique (on sait l'importance sur un sujet âgé) que sur l'équilibre des fonctions entre elles, par les liens fibro-conjonctifs, nerveux, humoraux, hormonaux, qu'elles échangent soient directement ou indirectement. J'ai centré ce mémoire sur un type précis de diabétique, dans une tranche d'âge supérieure, à 65 ans et insulino-traité. Je n'aurais pas ici la prétention de traiter le diabète par l'osteopathie, mais raisonnablement l'intention d'aider le diabétique à vivre mieux sa maladie. [...]Il était possible, à travers ce mémoire, de "jouer", comme l'osteopathie le permet, sur plusieurs axes thérapeutiques (fascial, cranio-sacré, vertébral, hémodynamique, viscéral, etc...) dans l'esprit d'unité de l'organisme et de cause à effet, en somme de faire une synthèse thérapeutique de ces différents modes d'action, pour réguler mon diabétique, le mieux possible. Chaque cas que j'ai vu, a été abordé, avec une orientation propre à sa structure. J'ai évité de me disperser chez un même sujet même à travers plusieurs séances, ce qui paraît "peu ostéopathique" ; mais j'avais remarqué que chaque fois, que je jouais le jeu de la polyvalence osteopathique chez ce type de sujets (âgés et fragilisés), l'effet était bien souvent inverse de ce que j'attendais. Les Chinois disent souvent "un peu c'est déjà trop". Je me suis inspiré de cette réflexion pour tenter d'aider, sans excès de zèle, mon malade diabétique. Compte tenu du nombre d'éléments intervenant dans la glucorégulation, j'ai éssayé de faire ressortir, tout au long de ce mémoire les raisonnements osteopathiques relatifs aux intervenants traités dans le diabète de type 1. Contribution de l'ostéopathie à l'équilibration d'un diabète sucré insulino-dépendant après 65ans [texte imprimé] / REIX Alain, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE VISCERALE PATHOLOGIE DIABETE ANATOMIE FOIE PANCREAS MUSCLE TRAITEMENT SOCIOLOGIE GERIATRIE METABOLISME INSULINE Résumé : La santé est un état complet de bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité. En matière de diabète, cette définition de la Santé par l'O.M.S. est à ce jour, utopique. [...]Quelle peut être la place de l'osteopathie dans une telle maladie métabolique, où la réponse thérapeutique est jusqu'ici, essentiellement liée à la prise d'insuline, d'hypoglycémiants oraux et au suivi d'une diététique rigoureuse? Il n'est pas question de remettre en doute l'étiopathogénie genétique ou immunitaire de la maladie. Quand bien même, il faut admettre que la technique ou les techniques qui amélioreront ou tenteront d'améliorer la courbe glycémique en agissant sur les 3 organes clés de la maladie: - le Pancréas - le Foie - Le Muscle ont leur place. Je pense que l'osteopathie peut dans de nombreux cas, favoriser cette capacité, par son ambition à normaliser tant sur le plan hémodynamique (on sait l'importance sur un sujet âgé) que sur l'équilibre des fonctions entre elles, par les liens fibro-conjonctifs, nerveux, humoraux, hormonaux, qu'elles échangent soient directement ou indirectement. J'ai centré ce mémoire sur un type précis de diabétique, dans une tranche d'âge supérieure, à 65 ans et insulino-traité. Je n'aurais pas ici la prétention de traiter le diabète par l'osteopathie, mais raisonnablement l'intention d'aider le diabétique à vivre mieux sa maladie. [...]Il était possible, à travers ce mémoire, de "jouer", comme l'osteopathie le permet, sur plusieurs axes thérapeutiques (fascial, cranio-sacré, vertébral, hémodynamique, viscéral, etc...) dans l'esprit d'unité de l'organisme et de cause à effet, en somme de faire une synthèse thérapeutique de ces différents modes d'action, pour réguler mon diabétique, le mieux possible. Chaque cas que j'ai vu, a été abordé, avec une orientation propre à sa structure. J'ai évité de me disperser chez un même sujet même à travers plusieurs séances, ce qui paraît "peu ostéopathique" ; mais j'avais remarqué que chaque fois, que je jouais le jeu de la polyvalence osteopathique chez ce type de sujets (âgés et fragilisés), l'effet était bien souvent inverse de ce que j'attendais. Les Chinois disent souvent "un peu c'est déjà trop". Je me suis inspiré de cette réflexion pour tenter d'aider, sans excès de zèle, mon malade diabétique. Compte tenu du nombre d'éléments intervenant dans la glucorégulation, j'ai éssayé de faire ressortir, tout au long de ce mémoire les raisonnements osteopathiques relatifs aux intervenants traités dans le diabète de type 1. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 779 2.6 REI Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Faut-il encore traiter le diaphragme ? / Alain Turi
Titre : Faut-il encore traiter le diaphragme ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Turi, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE FASCIALE LESION PRIMAIRE ANATOMIE PHYSIOLOGIE EMBRYOLOGIE HISTOLOGIE MUSCLE ONTOGENESE DIAPHRAGME Résumé : La vie, c'est le mouvement, Qui oserait contester ce concept? Cette citation, qui a résonné tout au long de nos études, a été notre guide, notre repère et nous savons bien que nombreux sont les professionnels qui se rassurent par cette vérité exprimant un des mécanismes fondamentaux de la vie. La locomotion, la ventilation, la vasomotricité et la viscéro~motricité ainsi que la motilité et le mouvement respiratoire primaire sont autant d'exemples de matérialisation de la vie. Le corps humain, véritable mécanisme articulé, est animé ou maintenu par des ensembles musculaires. Cette notion de mobilisation et de stabilisation est un paradoxe avec lequel le corps compose sans cesse. S'il est vrai que la stabilité est nécessaire au maintien de la position debout, celle-ci ne pourra être obtenue que dans le mouvement par la mise en route de petites oscillations autour de la position de référence. De même, la mobilité est nécessaire aux relations avec le monde extérieur. Elle permet la préhention et la déambulation. Là , les données s'inversent car, pour s'exprimer essentiellement au niveau des extrémités, elle a besoin d'une certaine stabilité proximale synergique. En effet, afin de saisir un objet par exemple, le membre supérieur devra, pour se mobiliser, "prendre appui" sur une ceinture scapulaire et une colonne cervicodorsale rigidifiée lui offrant une plate-forme stable. Nous voyons donc que quelque soit le geste ou la posture envisagé( e ), seules les proportions des deux paramètres de mobilité et de stabilité seront changés. A la manière de YIN et du Y ANG, du sympathique et du parasympathique, ces deux nécessités ne s'excluent pas l'une de l'autre, mais se complètent en faisant varier leurs proportions respectives. Ces deux fonctions de mobilité et de stabilité vont donc nécessiter la participation de groupes musculaires à finalité différente. On distingue les muscles toniques à fibres rouges. Ce sont, en général, les courts restricteurs, donc de petits muscles souvent mono-articulaires, comme les spinaux, ayant un rôle de stabilité nécessitant un état de contraction quasi-permanent, aboutissant parfois à un état de surcharge et:/ou de contracture dont les effets et la symptomatologie remplissent les cabinets médicaux. A l'opposé, on distingue les muscles phasiques à fibres plutôt blanches qui sont, en général, de grands muscles de mouvement, comme le deltoïde, at un rôle dans la dynamique du corps. Parmi ces muscles phasiques il en est un aux fonctions multiples et à l'importance vitale car il est le moteur de la respiration. Il s'agit du diaphragme. Que n'a-t~on pas dit ou écrit sur le diaphragme? Source de tous les maux, ou bien, peu digne d'intérêt en ostéopathie, il a, en effet, été l'objet de nombreuses recherches et publications dans le domaine de la médecine dite traditionnelle mais aussi ostéopathique. S'il n'est pas l'objet de controverses, les avis des professionnels avertis divergent à son sujet. Certains praticiens ne le traitent jamais ou rarement, d'autres le travaillent systématiquement souvent en début de séances, d'autres, enfin, l'envisagent accessoirement en cours de traitement. Et pourtant, tous ces praticiens chevronnés, bien qu'ils aient sûrement quelques échecs, ont une majorité de réussite dans leurs interventions thérapeutiques. Alors lesquels ont raison, ceux qui traitent le diaphragme, ou les autres? Nous n'aurons pas la prétention de révolutionner les différentes théories sur ce muscle. Notre objectif sera d'essayer de répondre à plusieurs questions: - Est-il possible d'envisager une primarité de lésion diaphragmatique? - Les lésions diaphragmatiques nécessitent-elles une normalisation musculaire ostéopathique directe? - Lorsque nous nous déciderons à agir, quel sera le meilleur moment au cours du traitement pour réaliser nos techniques sur le diaphragme? - Existe-t~il une hiérarchie lésionnelle lorsque le diaphragme est impliqué? Après les rappels d'usage, nous essayerons d'expliquer, en la justifiant, notre manière d'envisager une intervention sur le diaphragme au cours du traitement. Pour cela, nous nous appuierons sur l'incontournable et indispensable anatomie, ainsi que sur les données d'ontogenèse, d'embryologie et d'histologie. Afin de montrer l'importance de l'Evolution et de la Bipédie sur le diaphragme, nous ferons ressortir quelques données de Phylogenèse, de Zoologie et d'Anatomie comparée. Il nous a paru intéressant de tenter d'actualiser les données classiques et ostéopathiques par des publications récentes. Les bibliothèques universitaires médicales regorgent de trésors. Par chance, une recherche bibliographique nous a permis de sélectionner quelques articles qui ont fait avancer notre cheminement en matières de physiologie diaphragmatique. Nous évoquerons donc, les rapports du diaphragme avec les grandes fonctions, ses conceptions actuelles et les considérations ostéopathiques qu'on peut lui porter. Notre pratique quotidienne a guidé notre synthèse personnelle. Nous livrerons notre protocole de traitement et ses indications en tentant d'expliquer les différentes façons d'envisager le travail du diaphragme dans un traitement ostéopathique global. Nous illustrerons notre pensée par l'exposé de quelques cas cliniques, témoins de nos réussites et de nos échecs en essayant, tant que faire se peut. de les analyser. ALORS, F AUT -IL ENCORE TRAITER LE DIAPHRAGME? Faut-il encore traiter le diaphragme ? [texte imprimé] / Alain Turi, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE FASCIALE LESION PRIMAIRE ANATOMIE PHYSIOLOGIE EMBRYOLOGIE HISTOLOGIE MUSCLE ONTOGENESE DIAPHRAGME Résumé : La vie, c'est le mouvement, Qui oserait contester ce concept? Cette citation, qui a résonné tout au long de nos études, a été notre guide, notre repère et nous savons bien que nombreux sont les professionnels qui se rassurent par cette vérité exprimant un des mécanismes fondamentaux de la vie. La locomotion, la ventilation, la vasomotricité et la viscéro~motricité ainsi que la motilité et le mouvement respiratoire primaire sont autant d'exemples de matérialisation de la vie. Le corps humain, véritable mécanisme articulé, est animé ou maintenu par des ensembles musculaires. Cette notion de mobilisation et de stabilisation est un paradoxe avec lequel le corps compose sans cesse. S'il est vrai que la stabilité est nécessaire au maintien de la position debout, celle-ci ne pourra être obtenue que dans le mouvement par la mise en route de petites oscillations autour de la position de référence. De même, la mobilité est nécessaire aux relations avec le monde extérieur. Elle permet la préhention et la déambulation. Là , les données s'inversent car, pour s'exprimer essentiellement au niveau des extrémités, elle a besoin d'une certaine stabilité proximale synergique. En effet, afin de saisir un objet par exemple, le membre supérieur devra, pour se mobiliser, "prendre appui" sur une ceinture scapulaire et une colonne cervicodorsale rigidifiée lui offrant une plate-forme stable. Nous voyons donc que quelque soit le geste ou la posture envisagé( e ), seules les proportions des deux paramètres de mobilité et de stabilité seront changés. A la manière de YIN et du Y ANG, du sympathique et du parasympathique, ces deux nécessités ne s'excluent pas l'une de l'autre, mais se complètent en faisant varier leurs proportions respectives. Ces deux fonctions de mobilité et de stabilité vont donc nécessiter la participation de groupes musculaires à finalité différente. On distingue les muscles toniques à fibres rouges. Ce sont, en général, les courts restricteurs, donc de petits muscles souvent mono-articulaires, comme les spinaux, ayant un rôle de stabilité nécessitant un état de contraction quasi-permanent, aboutissant parfois à un état de surcharge et:/ou de contracture dont les effets et la symptomatologie remplissent les cabinets médicaux. A l'opposé, on distingue les muscles phasiques à fibres plutôt blanches qui sont, en général, de grands muscles de mouvement, comme le deltoïde, at un rôle dans la dynamique du corps. Parmi ces muscles phasiques il en est un aux fonctions multiples et à l'importance vitale car il est le moteur de la respiration. Il s'agit du diaphragme. Que n'a-t~on pas dit ou écrit sur le diaphragme? Source de tous les maux, ou bien, peu digne d'intérêt en ostéopathie, il a, en effet, été l'objet de nombreuses recherches et publications dans le domaine de la médecine dite traditionnelle mais aussi ostéopathique. S'il n'est pas l'objet de controverses, les avis des professionnels avertis divergent à son sujet. Certains praticiens ne le traitent jamais ou rarement, d'autres le travaillent systématiquement souvent en début de séances, d'autres, enfin, l'envisagent accessoirement en cours de traitement. Et pourtant, tous ces praticiens chevronnés, bien qu'ils aient sûrement quelques échecs, ont une majorité de réussite dans leurs interventions thérapeutiques. Alors lesquels ont raison, ceux qui traitent le diaphragme, ou les autres? Nous n'aurons pas la prétention de révolutionner les différentes théories sur ce muscle. Notre objectif sera d'essayer de répondre à plusieurs questions: - Est-il possible d'envisager une primarité de lésion diaphragmatique? - Les lésions diaphragmatiques nécessitent-elles une normalisation musculaire ostéopathique directe? - Lorsque nous nous déciderons à agir, quel sera le meilleur moment au cours du traitement pour réaliser nos techniques sur le diaphragme? - Existe-t~il une hiérarchie lésionnelle lorsque le diaphragme est impliqué? Après les rappels d'usage, nous essayerons d'expliquer, en la justifiant, notre manière d'envisager une intervention sur le diaphragme au cours du traitement. Pour cela, nous nous appuierons sur l'incontournable et indispensable anatomie, ainsi que sur les données d'ontogenèse, d'embryologie et d'histologie. Afin de montrer l'importance de l'Evolution et de la Bipédie sur le diaphragme, nous ferons ressortir quelques données de Phylogenèse, de Zoologie et d'Anatomie comparée. Il nous a paru intéressant de tenter d'actualiser les données classiques et ostéopathiques par des publications récentes. Les bibliothèques universitaires médicales regorgent de trésors. Par chance, une recherche bibliographique nous a permis de sélectionner quelques articles qui ont fait avancer notre cheminement en matières de physiologie diaphragmatique. Nous évoquerons donc, les rapports du diaphragme avec les grandes fonctions, ses conceptions actuelles et les considérations ostéopathiques qu'on peut lui porter. Notre pratique quotidienne a guidé notre synthèse personnelle. Nous livrerons notre protocole de traitement et ses indications en tentant d'expliquer les différentes façons d'envisager le travail du diaphragme dans un traitement ostéopathique global. Nous illustrerons notre pensée par l'exposé de quelques cas cliniques, témoins de nos réussites et de nos échecs en essayant, tant que faire se peut. de les analyser. ALORS, F AUT -IL ENCORE TRAITER LE DIAPHRAGME? Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 904 1.3 TUR Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Lésions de l'omo-hyoïdien / LELIEVRE Richard
PermalinkOstéopathie et correction alimentaire / Patrice Bacchetta
PermalinkApproche de l'ostéopathie dans l'athlétisme : les effets d'un traitement ostéopathique dans la récupération après l'effort / Catherine Bachelin
PermalinkApproche ostéopathique des céphalalgies / PRADAL Renaud
PermalinkComplexe musculo-aponévrotique sous-hyoïdien et la circulation veineuse de retour cânien : à propos de 10 études echotomographiques (Le) / André Allain
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