Titre : |
Recherche d'une régulation de l'adaptation au stress dans la pratique de l'escalade associée à la mobilité rénale |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
PERONNET Philippe, Auteur |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Mémoire :ATMAN, Paris
|
Mots-clés : |
SOCIOLOGIE PSYCHOLOGIE STRESS PEUR SPORT ESCALADE OSTEOPATHIE VISCERALE REIN SPHERE ABDOMINALE TRAITEMENT |
Résumé : |
L'équilibre en escalade s'inscrit à plusieurs niveaux, aussi bien physique, physiologique que psychologique. C'est le résultat d'une bonne combinaison qui réunit à la fois force, souplesse et fluidité à travers une gestuelle précise et adaptée. Ces qualités sont développées et varient en fonction de l'entraînement, de la fréquence des séances, de l'âge, de la motivation, de la morphologie et de l'investissement personnel du grimpeur. Cependant, il arrive parfois, qu'un excès de sollicitation, perturbation du rythme de vie, qu'un stress professionnel ou affectif, qu'un désordre alimentaire perturbe cet équilihre, c'est alors qu'apparaît une inssuffisance de mobilité corporelle qui passe inaperçue, ou qui s'exprime de façon douloureuse. Le grimpeur se sent momentanément en baisse de forme, voire dans une mauvaise période. En ostéopatllie, l'équilibre est également fondamental, que ce soit au niveau des articulations, des viscères ou des fluides. C'est en redonnant une mobilité aux tissus qui l'ont perdue, et grâce à la relance de grandes fonctions physiologiques (homéostasie), que les symptômes dont l'organisme est porteur, pourront s'atténuer voire disparaître.A travers ce mémoire, nous serons donc amenés à nous interroger pour savoir si le traitement ostéopathique a une influence sur la capacités d'adaptation, le comportement et l'équilihre nécessaire au grimpeur.[...]En escalade, le grimpeur est amené pour progresser dans son itinéraire à dépasser sa peur " il sollicite de façon intensive l'adrénaline, mais aussi toutes les grandes fonctions physiologiques qui vont lui permettre de garder ou de retrouver son calme. C'est donc logiquement que nous nous sommes orientés vers la mobilité rénale car le rein est l' organe, avec son axe neuro-endocrino-surrénalien qui exprime le mieux les modes de comportement. En médecine chinoise, le rein et la peur, sont intimement liés.[...]C'est donc à travers le rein et la mobilité, que nous nous interrogerons sur les capacités d'adaptation au " stress". Nous tenterons de déterminer si après un suivi en ostéopatllie, le grimpeur observe une amélioration de ses performances et de sa gestuelle quand il est aux prises avec une difficulté maximale dans un passage "clef ". En effet, ce sont ces passages difficiles qui, quand ils sont franchis avec succès, conditionnent la réussiite d'une voie en escalade. Pour élargir notre regard, nous nous sommes demandés quels étaient les lésions ostéopathiques qui en découlent et leurs principes " d'installation. [...] |
Recherche d'une régulation de l'adaptation au stress dans la pratique de l'escalade associée à la mobilité rénale [texte imprimé] / PERONNET Philippe, Auteur . - [s.d.]. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Mémoire :ATMAN, Paris
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Mots-clés : |
SOCIOLOGIE PSYCHOLOGIE STRESS PEUR SPORT ESCALADE OSTEOPATHIE VISCERALE REIN SPHERE ABDOMINALE TRAITEMENT |
Résumé : |
L'équilibre en escalade s'inscrit à plusieurs niveaux, aussi bien physique, physiologique que psychologique. C'est le résultat d'une bonne combinaison qui réunit à la fois force, souplesse et fluidité à travers une gestuelle précise et adaptée. Ces qualités sont développées et varient en fonction de l'entraînement, de la fréquence des séances, de l'âge, de la motivation, de la morphologie et de l'investissement personnel du grimpeur. Cependant, il arrive parfois, qu'un excès de sollicitation, perturbation du rythme de vie, qu'un stress professionnel ou affectif, qu'un désordre alimentaire perturbe cet équilihre, c'est alors qu'apparaît une inssuffisance de mobilité corporelle qui passe inaperçue, ou qui s'exprime de façon douloureuse. Le grimpeur se sent momentanément en baisse de forme, voire dans une mauvaise période. En ostéopatllie, l'équilibre est également fondamental, que ce soit au niveau des articulations, des viscères ou des fluides. C'est en redonnant une mobilité aux tissus qui l'ont perdue, et grâce à la relance de grandes fonctions physiologiques (homéostasie), que les symptômes dont l'organisme est porteur, pourront s'atténuer voire disparaître.A travers ce mémoire, nous serons donc amenés à nous interroger pour savoir si le traitement ostéopathique a une influence sur la capacités d'adaptation, le comportement et l'équilihre nécessaire au grimpeur.[...]En escalade, le grimpeur est amené pour progresser dans son itinéraire à dépasser sa peur " il sollicite de façon intensive l'adrénaline, mais aussi toutes les grandes fonctions physiologiques qui vont lui permettre de garder ou de retrouver son calme. C'est donc logiquement que nous nous sommes orientés vers la mobilité rénale car le rein est l' organe, avec son axe neuro-endocrino-surrénalien qui exprime le mieux les modes de comportement. En médecine chinoise, le rein et la peur, sont intimement liés.[...]C'est donc à travers le rein et la mobilité, que nous nous interrogerons sur les capacités d'adaptation au " stress". Nous tenterons de déterminer si après un suivi en ostéopatllie, le grimpeur observe une amélioration de ses performances et de sa gestuelle quand il est aux prises avec une difficulté maximale dans un passage "clef ". En effet, ce sont ces passages difficiles qui, quand ils sont franchis avec succès, conditionnent la réussiite d'une voie en escalade. Pour élargir notre regard, nous nous sommes demandés quels étaient les lésions ostéopathiques qui en découlent et leurs principes " d'installation. [...] |
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