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Protocole de traitement ostéopathique de base dans les cervico-scapulalgies et résultats / FRACHON Pierre
Titre : Protocole de traitement ostéopathique de base dans les cervico-scapulalgies et résultats Type de document : texte imprimé Auteurs : FRACHON Pierre, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : OSTEOPATHIE TISSULAIRE PATHOLOGIE CERVICO-SCAPULALGIE ANATOMIE EPAULE OMOPLATE CEINTURE SCAPULAIRE RACHIS DORSAL TECHNIQUE MUSCULO-LIGAMENTAIRE TRAITEMENT Résumé : ConstatationLors de ces deux dernières années de pratique ostéopathique, il m'est arrivé de rencontrer beaucoup de patients souffrant de cervico-scapulalgies, parfois aiguâs mais souvent chroniques. Traitant chaque cas différemment, selon les lésions ostéopathiques rencontrées, il est apparu que tous les traitements comportaient des analogies de base dans leur prise en charge, c'est à dire, que l'on retrouvait dans le traitement l'utilisation de certaines techniques ostéopathiques identiques pour chaque patient ( traction occipitale, équilibration occipito-sacrée, mobilisation de l'omoplate, étirement crânio-sacré, etc...). Ces analogies s'expliquent par le fait que tous les patients présentaient des hypertonies musculo-ligamentaires de la région cervico-scapulaire et que le traitement visait, entre autres, une détente globale sur ce plan précis. Il m'est alors venu l'idée de répertorier ces techniques et de les rassembler pour un traitement ostéopathique de base dans les cervico-scapulalgies afin de voir si ce dernier pouvait s'avérer efficace dans la prise en charge des patients chroniques, parfois difficiles à traiter sur un plan ostéopathique plus classique. Les résultats dépassant mes espérances, j'ai ensuite appliqué ce traitement de base à la plupart de mes patients souffrant de cervico-scapulalgies. L'intérêt de cette démarche n'était en aucune manière de restreindre la vision holistique de l'ostéopathie mais de donner un point de départ à un traitement qui pouvait s'avérer très efficace si l'on y ajoutait les techniques propres à chaque patient en fonction de ses lésions. Il est évident que le protocole de base dans les cervico-scapulalgies, comme décrit plus loin, ne suffit pas pour traiter un patient dans sa globalité mais il permet d'éliminer les tensions musculoligament aires au niveau thoracique haut et, permet ainsi de mettre plus facilement en évidence les lésions ostéo-articulaires "cachées ". Par" cachées ", j'entends les lésions ostéo-articulaires vraies ( de type FRS ou ERS)* masquées par des hypertonies musculo-ligamentaires et immiscées dans un groupe de lésions de type NSR * , Le but est donc de diminuer les tensions afin de redonner au patient une mobilité qui lui est propre et de donner à l'ostéopathe une vision plus claire des éventuelles lésions ostéoarticulaires qui pourraient exister. Ceci se confirmera par la suite, par la présence d'algies souvent diffuses en première consultation et très souvent extrèmement précises et locales en deuxième consultation. Hypothèse L 'hypothèse de base repose sur le fait que toute lésion ostéopathique, qu'elle soit structurelle, crânienne ou viscérale, engendre des troubles de la fonction musculaire. Cela peut aisément se comprendre par le fait que toute lésion ostéopathique est caractérisée par une restriction de mouvement et, par conséquent, toute restriction de mouvement structurelle, crânienne ou viscérale entrainera une limitation fonctionnelle sur un plan musculaire ( et vice-versa ). Deux cas de figures peuvent alors se présenter: - la restriction musculaire est loco-régionale par rapport à une lésion ostéo-articulaire ou crânienne. - la restriction musculaire est éloignée de la lésion ostéo-articulaire, crânienne ou viscérale. Dans ces deux cas, la limitation fonctionnelle musculaire est adapatative par rapport à toute lésion ostéopathique (l'inverse est vrai aussi). De plus, elle engendre une algie diffuse et permanente qui recouvre l'algie générée par la ou les lésions ostéopathiques. ? partir de _tte hypothèse, il paraît bien plus facile de mettre en évidence et de traiter ces lésions quand la fonction musculaire a été rétablie et une partie de la mobilité retrouvée. Le traitement symptomatique devient alors un traitement causal. Protocole de traitement ostéopathique de base dans les cervico-scapulalgies et résultats [texte imprimé] / FRACHON Pierre, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : OSTEOPATHIE TISSULAIRE PATHOLOGIE CERVICO-SCAPULALGIE ANATOMIE EPAULE OMOPLATE CEINTURE SCAPULAIRE RACHIS DORSAL TECHNIQUE MUSCULO-LIGAMENTAIRE TRAITEMENT Résumé : ConstatationLors de ces deux dernières années de pratique ostéopathique, il m'est arrivé de rencontrer beaucoup de patients souffrant de cervico-scapulalgies, parfois aiguâs mais souvent chroniques. Traitant chaque cas différemment, selon les lésions ostéopathiques rencontrées, il est apparu que tous les traitements comportaient des analogies de base dans leur prise en charge, c'est à dire, que l'on retrouvait dans le traitement l'utilisation de certaines techniques ostéopathiques identiques pour chaque patient ( traction occipitale, équilibration occipito-sacrée, mobilisation de l'omoplate, étirement crânio-sacré, etc...). Ces analogies s'expliquent par le fait que tous les patients présentaient des hypertonies musculo-ligamentaires de la région cervico-scapulaire et que le traitement visait, entre autres, une détente globale sur ce plan précis. Il m'est alors venu l'idée de répertorier ces techniques et de les rassembler pour un traitement ostéopathique de base dans les cervico-scapulalgies afin de voir si ce dernier pouvait s'avérer efficace dans la prise en charge des patients chroniques, parfois difficiles à traiter sur un plan ostéopathique plus classique. Les résultats dépassant mes espérances, j'ai ensuite appliqué ce traitement de base à la plupart de mes patients souffrant de cervico-scapulalgies. L'intérêt de cette démarche n'était en aucune manière de restreindre la vision holistique de l'ostéopathie mais de donner un point de départ à un traitement qui pouvait s'avérer très efficace si l'on y ajoutait les techniques propres à chaque patient en fonction de ses lésions. Il est évident que le protocole de base dans les cervico-scapulalgies, comme décrit plus loin, ne suffit pas pour traiter un patient dans sa globalité mais il permet d'éliminer les tensions musculoligament aires au niveau thoracique haut et, permet ainsi de mettre plus facilement en évidence les lésions ostéo-articulaires "cachées ". Par" cachées ", j'entends les lésions ostéo-articulaires vraies ( de type FRS ou ERS)* masquées par des hypertonies musculo-ligamentaires et immiscées dans un groupe de lésions de type NSR * , Le but est donc de diminuer les tensions afin de redonner au patient une mobilité qui lui est propre et de donner à l'ostéopathe une vision plus claire des éventuelles lésions ostéoarticulaires qui pourraient exister. Ceci se confirmera par la suite, par la présence d'algies souvent diffuses en première consultation et très souvent extrèmement précises et locales en deuxième consultation. Hypothèse L 'hypothèse de base repose sur le fait que toute lésion ostéopathique, qu'elle soit structurelle, crânienne ou viscérale, engendre des troubles de la fonction musculaire. Cela peut aisément se comprendre par le fait que toute lésion ostéopathique est caractérisée par une restriction de mouvement et, par conséquent, toute restriction de mouvement structurelle, crânienne ou viscérale entrainera une limitation fonctionnelle sur un plan musculaire ( et vice-versa ). Deux cas de figures peuvent alors se présenter: - la restriction musculaire est loco-régionale par rapport à une lésion ostéo-articulaire ou crânienne. - la restriction musculaire est éloignée de la lésion ostéo-articulaire, crânienne ou viscérale. Dans ces deux cas, la limitation fonctionnelle musculaire est adapatative par rapport à toute lésion ostéopathique (l'inverse est vrai aussi). De plus, elle engendre une algie diffuse et permanente qui recouvre l'algie générée par la ou les lésions ostéopathiques. ? partir de _tte hypothèse, il paraît bien plus facile de mettre en évidence et de traiter ces lésions quand la fonction musculaire a été rétablie et une partie de la mobilité retrouvée. Le traitement symptomatique devient alors un traitement causal. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 402 2.1 FRA Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt