Titre : |
Mouvement respiratoire primaire dans la maladie de Parkinson |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
RANGEARD Mannuela, Auteur |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Mémoire :autres
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Mots-clés : |
TRAITEMENT PATHOLOGIE MALADIE DE PARKINSON OSTEOPATHIE CRANIENNE ANATOMIE SYSTEME NERVEUX CENTRAL L.C.R. LIQUIDE CEPHALO RACHIDIEN |
Résumé : |
Certaines pathologies qui présentent des lésions irréversibles et graves, telle la maladie de Parkinson, semblent à priori sortir du cadre de la thérapie ostéopathique. Le sujet de ce mémoire n'est pas issu du désir de vérifier le potentiel de notre discipline dans un domaine réservé à la science médicale. Il a été le fruit d'une expérience fortuite au sein d'une réunion amicale. L'ostéopathie n'étant pas encore bien connue suscite toujours l'intérêt. Une amie atteinte de la maladie de Parkinson nous demande d'examiner son pouce qui la fait souffrir. Par curiosité nous avons aussi examiné son crâne. Pour la première fois, nous avons assisté à un phénomène qui nous rendit perplexes. Nous passerons sur les détails pour décrire l'essentiel. En induisant les mouvements de la symphyse sphéno-basilaire, on pouvait percevoir au milieu du mouvement parcouru comme un "cran" qui freinait momentanément l'élan du parcours. A bout de quelques minutes nous nous sommes aperçus qu'avec ce ..crann coïncidait l'arrêt du tremblement de ses membres supérieur et inférieur gauche. Pour nous assurer qu'un tel phénomène n'était pas un peu trop subjectif, nous fîmes appel à notre époux, ostéopathe, pour le vérifier. Reposant nos mains sur le crâne de notre amie et en fermant les yeux nous lui avons dit : - "Regarde bien, quand je te dirai "top", le tremblement s'arrêtera quelques instants." Et nous avons commencé à induire les mouvement de la symphyseIl fut aussi surpris que nous l'avions été auparavant. Prenant notre place il put renouveler l'expérience. Dès ce moment nous avons décidé de faire une étude sur le M.R.P. chez le malade parkinsonien. Sur tous les patients examinés (16), en vue de cette étude que nous vous présentons, jamais ce phénomène ("cran" /arrêt tremblement) ne s'est reproduit. Par contre ces examens allaient nous confronter à des phénomènes, bien moins spectaculaires, mais pas dénués d'intérêt dans notre démarche ostéopathique. Dans la première partie de ce mémoire nous faisons un rappel de l'étiologie, la clinique et l'anatomie physio-pathologique de ce syndrome neurologique. Dans la deuxième partie, nous développons les examens ostéopathiques du M.R.P. crânio-sacré, le type de lésions de la symphyse sphéno-basilaire, leur correspondance au bassin et un type de technique de traitement. |
Mouvement respiratoire primaire dans la maladie de Parkinson [texte imprimé] / RANGEARD Mannuela, Auteur . - [s.d.]. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Mémoire :autres
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Mots-clés : |
TRAITEMENT PATHOLOGIE MALADIE DE PARKINSON OSTEOPATHIE CRANIENNE ANATOMIE SYSTEME NERVEUX CENTRAL L.C.R. LIQUIDE CEPHALO RACHIDIEN |
Résumé : |
Certaines pathologies qui présentent des lésions irréversibles et graves, telle la maladie de Parkinson, semblent à priori sortir du cadre de la thérapie ostéopathique. Le sujet de ce mémoire n'est pas issu du désir de vérifier le potentiel de notre discipline dans un domaine réservé à la science médicale. Il a été le fruit d'une expérience fortuite au sein d'une réunion amicale. L'ostéopathie n'étant pas encore bien connue suscite toujours l'intérêt. Une amie atteinte de la maladie de Parkinson nous demande d'examiner son pouce qui la fait souffrir. Par curiosité nous avons aussi examiné son crâne. Pour la première fois, nous avons assisté à un phénomène qui nous rendit perplexes. Nous passerons sur les détails pour décrire l'essentiel. En induisant les mouvements de la symphyse sphéno-basilaire, on pouvait percevoir au milieu du mouvement parcouru comme un "cran" qui freinait momentanément l'élan du parcours. A bout de quelques minutes nous nous sommes aperçus qu'avec ce ..crann coïncidait l'arrêt du tremblement de ses membres supérieur et inférieur gauche. Pour nous assurer qu'un tel phénomène n'était pas un peu trop subjectif, nous fîmes appel à notre époux, ostéopathe, pour le vérifier. Reposant nos mains sur le crâne de notre amie et en fermant les yeux nous lui avons dit : - "Regarde bien, quand je te dirai "top", le tremblement s'arrêtera quelques instants." Et nous avons commencé à induire les mouvement de la symphyseIl fut aussi surpris que nous l'avions été auparavant. Prenant notre place il put renouveler l'expérience. Dès ce moment nous avons décidé de faire une étude sur le M.R.P. chez le malade parkinsonien. Sur tous les patients examinés (16), en vue de cette étude que nous vous présentons, jamais ce phénomène ("cran" /arrêt tremblement) ne s'est reproduit. Par contre ces examens allaient nous confronter à des phénomènes, bien moins spectaculaires, mais pas dénués d'intérêt dans notre démarche ostéopathique. Dans la première partie de ce mémoire nous faisons un rappel de l'étiologie, la clinique et l'anatomie physio-pathologique de ce syndrome neurologique. Dans la deuxième partie, nous développons les examens ostéopathiques du M.R.P. crânio-sacré, le type de lésions de la symphyse sphéno-basilaire, leur correspondance au bassin et un type de technique de traitement. |
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