Titre : |
Cinétique crânienne et tests avec des cales dans les problèmes d'occlusodontie |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Benoît André, Auteur |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Mémoire :ATMAN, Paris
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Mots-clés : |
OSTEOPATHIE CRANIENNE ANATOMIE MOBILITE CRANE SPHERE CRANIO-MANDIBULAIRE SSB SYMPHYSE SPHENO-BASILAIRE PATHOLOGIE OCCLUSION TEST CALE OCCLUSODONTIE DENTISTERIE TRAITEMENT |
Résumé : |
On peut se poser la question de l'intérêt d'une collaboration entre 2 praticiens, ostéopathe et dentiste, qui vont avoir en commun de travailler par des moyens et une approche différente sur ce qu'on pourrait appeler la sphère cranio-mandibulaire. Mon attachement à ce type de travail, est venu du fait de la difficulté rencontrée à traiter certains cas récidivants, où on retrouve toujours le même schéma dysfonctionnel sur le crâne et la SSB, schéma que l'on arrive à corriger pour un certain temps, mais qui après correction ostéopathique, se remet toujours dans la même dysfonction au bout d'un certain temps variable suivant les patients. En pratique, cela voudrait dire que l'ostéopathe part du principe que certaines corrections effectuées sur le crâne, ne donnent pas de résultats valables sur le long terme, et qu'il devrait savoir reconnaître ce qui lui incombe de ce qui ne lui incombe pas ; en d'autres termes, L'ostéopathe ne devrait en aucune manière modifier une dysfonction de nature purement occlusale et le dentiste ne devrait pas corriger une malocclusion consécutive à une dysfonction crânienne primaire. Ceci semble très difficile à mettre en oeuvre dans la pratique de part des intérêts divergents et une démarche souvent complémentaire mais qui peut sembler contradictoire. La difficulté rencontrée à faire admettre mon point de vue d'ostéopathe à des dentistes confirmés et compétents en matière d'occlusodontie m'a amené à réfléchir sur le problème de façon plus ciblée: en effet, nombre de ces praticiens raisonnent en considérant que le muscle et donc son corollaire le système nerveux sont à la source de malpositions mandibulaires ou dentaires, et par la même, joueront sur la croissance des os, sur l'usure des dents et donc la malocclusion ; en revanche l'ostéopathe aurait tendance à considérer que, l'os qui n'est que du tissu conjonctif densifié, va influencer en premier les phénomènes de croissance morphostructurelle et les tensions musculaires, et par l'intermédiaire du M.R.P et donc là S.S.B (dysfonction crânienne) retentir sur l'occlusion. |
Cinétique crânienne et tests avec des cales dans les problèmes d'occlusodontie [texte imprimé] / Benoît André, Auteur . - [s.d.]. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Mémoire :ATMAN, Paris
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Mots-clés : |
OSTEOPATHIE CRANIENNE ANATOMIE MOBILITE CRANE SPHERE CRANIO-MANDIBULAIRE SSB SYMPHYSE SPHENO-BASILAIRE PATHOLOGIE OCCLUSION TEST CALE OCCLUSODONTIE DENTISTERIE TRAITEMENT |
Résumé : |
On peut se poser la question de l'intérêt d'une collaboration entre 2 praticiens, ostéopathe et dentiste, qui vont avoir en commun de travailler par des moyens et une approche différente sur ce qu'on pourrait appeler la sphère cranio-mandibulaire. Mon attachement à ce type de travail, est venu du fait de la difficulté rencontrée à traiter certains cas récidivants, où on retrouve toujours le même schéma dysfonctionnel sur le crâne et la SSB, schéma que l'on arrive à corriger pour un certain temps, mais qui après correction ostéopathique, se remet toujours dans la même dysfonction au bout d'un certain temps variable suivant les patients. En pratique, cela voudrait dire que l'ostéopathe part du principe que certaines corrections effectuées sur le crâne, ne donnent pas de résultats valables sur le long terme, et qu'il devrait savoir reconnaître ce qui lui incombe de ce qui ne lui incombe pas ; en d'autres termes, L'ostéopathe ne devrait en aucune manière modifier une dysfonction de nature purement occlusale et le dentiste ne devrait pas corriger une malocclusion consécutive à une dysfonction crânienne primaire. Ceci semble très difficile à mettre en oeuvre dans la pratique de part des intérêts divergents et une démarche souvent complémentaire mais qui peut sembler contradictoire. La difficulté rencontrée à faire admettre mon point de vue d'ostéopathe à des dentistes confirmés et compétents en matière d'occlusodontie m'a amené à réfléchir sur le problème de façon plus ciblée: en effet, nombre de ces praticiens raisonnent en considérant que le muscle et donc son corollaire le système nerveux sont à la source de malpositions mandibulaires ou dentaires, et par la même, joueront sur la croissance des os, sur l'usure des dents et donc la malocclusion ; en revanche l'ostéopathe aurait tendance à considérer que, l'os qui n'est que du tissu conjonctif densifié, va influencer en premier les phénomènes de croissance morphostructurelle et les tensions musculaires, et par l'intermédiaire du M.R.P et donc là S.S.B (dysfonction crânienne) retentir sur l'occlusion. |
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