Titre : |
Approche ostéopathique crânienne de l'énurésie nocturme |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
MARTINEAU Nathalie, Auteur |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Mémoire :autres
|
Mots-clés : |
OSTEOPATHIE CRANIENNE PATHOLOGIE ENURESIE ANATOMIE PHYSIOLOGIE CRANE SOMMEIL HYPOTHALAMUS CONTROLE DES MICTIONS SOCIOLOGIE ENFANT PEDIATRIE TRAITEMENT |
Résumé : |
Ayant été amenée au cours de ma pratique quotidienne de l'ostéopathie à rencontrer de plus en plus de cas d'enfants consultant Pour un problème d'énurésie, j'ai voulu approfondir mes connaissances pour essayer d'aboutir à une meilleure compréhension du sujet et par là même en déduire une meilleure action thérapeutique. Bien que, en ce qui me concerne, ce motif de consultation ne fasse pas la majorité dans les problèmes pédiatriques que je rencontre (le couple comportement - sommeil restant nettement prévalent). il reste néanmoins très courant, mais important à traiter car les enfants qui en souffrent deviennent vite de véritables "handicapés" de la vie sociale si leur pathologie persiste trop longtemps. Paradoxalement. ce problème courant et somme toute pour certains assez banal. ne reçoit que peu d'intérêt de la part du monde médical. Les ouvrages sur le sujet restent rares, les citations et explications dans les ouvrages médicaux restent minimes. les étiologies multiples et évasives. et les traitements rares et relatifs. Comme ma connaissance du problème, et surtout son traitement, m'étaient assez vagues au début de mon exercice, j'ai tenté de comprendre ses divers aspects (et ils sont nombreux), de voir dans quels cas l'ostéopathie pouvait être une aide. sinon une médecine de choix. et d'adapter une thérapeutique claire et logique pour aider ces jeunes patients. L'intérêt particulier pour le traitement de l'énurésie des enfants m'est venu en lisant un article sur un nouveau médicament, paru dans la rubrique "Médecine et Psychologie" du magazine "Science Illustrée" de septembre 1990. l' hypothèse de base de ce traitement est "qu'une majeure partie des enfants urinent au lit au cours de la nuit parceque leur organisme produit une quantité insuffisante d'hormone anti-diurétique (ADH ou vasopressine ) dont la fonction est de réduire la production d'urineChez la plupart des gens, la production e vasopressine s'accroit la nuit, ce qui provoque une diminution du volume urinaire : le sommeil n'est alors pas perturbéen outre, les enfants dont la production d'urine n'est pas restreinte par l'action de l'hormone ont du mal à se réveiller lorsque le besoin s'en fait sentir (mais on ignore encore la raison de ce phénomèneC'est ainsi que j'en suis venue à choisir pour sujet de ce mémoire l'influence possible d'un travail crânien sur la sécrétion hypophysaire et son incidence sur l'énurésie, parmi toutes les causes de ce problème que j'avais eu l'occasion d'étudier. Dans cette étude portant sur l'énurésie, nous ne nous pencherons pas sur l'étude des pathologies de l'équilibre hydrique mais seulement sur un problème de sécrétion nocturne de l'AOH car il semblerait être à l'origine de nombreux cas d'énurésie; dernières études faites sur le sujet (cf ,Article), les enfants en souffrant ayant par ailleurs urinaires, hormonaux et hydriques normaux. Mais vu le peu de cas que j'ai eu à traiter depuis le début de mon exercice, le nombre de sujets rentrant dans le cadre de mon protocole ne représente pas, à l'heure actuelle. un échantillonnage assez important pour permettre des statistiques réelles et fiables. Les chiffres et les constatations que je pourrai avancer dans ce mémoire seront donc pure à titre de tendance, et non de certitude mathématique |
Approche ostéopathique crânienne de l'énurésie nocturme [texte imprimé] / MARTINEAU Nathalie, Auteur . - [s.d.]. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Mémoire :autres
|
Mots-clés : |
OSTEOPATHIE CRANIENNE PATHOLOGIE ENURESIE ANATOMIE PHYSIOLOGIE CRANE SOMMEIL HYPOTHALAMUS CONTROLE DES MICTIONS SOCIOLOGIE ENFANT PEDIATRIE TRAITEMENT |
Résumé : |
Ayant été amenée au cours de ma pratique quotidienne de l'ostéopathie à rencontrer de plus en plus de cas d'enfants consultant Pour un problème d'énurésie, j'ai voulu approfondir mes connaissances pour essayer d'aboutir à une meilleure compréhension du sujet et par là même en déduire une meilleure action thérapeutique. Bien que, en ce qui me concerne, ce motif de consultation ne fasse pas la majorité dans les problèmes pédiatriques que je rencontre (le couple comportement - sommeil restant nettement prévalent). il reste néanmoins très courant, mais important à traiter car les enfants qui en souffrent deviennent vite de véritables "handicapés" de la vie sociale si leur pathologie persiste trop longtemps. Paradoxalement. ce problème courant et somme toute pour certains assez banal. ne reçoit que peu d'intérêt de la part du monde médical. Les ouvrages sur le sujet restent rares, les citations et explications dans les ouvrages médicaux restent minimes. les étiologies multiples et évasives. et les traitements rares et relatifs. Comme ma connaissance du problème, et surtout son traitement, m'étaient assez vagues au début de mon exercice, j'ai tenté de comprendre ses divers aspects (et ils sont nombreux), de voir dans quels cas l'ostéopathie pouvait être une aide. sinon une médecine de choix. et d'adapter une thérapeutique claire et logique pour aider ces jeunes patients. L'intérêt particulier pour le traitement de l'énurésie des enfants m'est venu en lisant un article sur un nouveau médicament, paru dans la rubrique "Médecine et Psychologie" du magazine "Science Illustrée" de septembre 1990. l' hypothèse de base de ce traitement est "qu'une majeure partie des enfants urinent au lit au cours de la nuit parceque leur organisme produit une quantité insuffisante d'hormone anti-diurétique (ADH ou vasopressine ) dont la fonction est de réduire la production d'urineChez la plupart des gens, la production e vasopressine s'accroit la nuit, ce qui provoque une diminution du volume urinaire : le sommeil n'est alors pas perturbéen outre, les enfants dont la production d'urine n'est pas restreinte par l'action de l'hormone ont du mal à se réveiller lorsque le besoin s'en fait sentir (mais on ignore encore la raison de ce phénomèneC'est ainsi que j'en suis venue à choisir pour sujet de ce mémoire l'influence possible d'un travail crânien sur la sécrétion hypophysaire et son incidence sur l'énurésie, parmi toutes les causes de ce problème que j'avais eu l'occasion d'étudier. Dans cette étude portant sur l'énurésie, nous ne nous pencherons pas sur l'étude des pathologies de l'équilibre hydrique mais seulement sur un problème de sécrétion nocturne de l'AOH car il semblerait être à l'origine de nombreux cas d'énurésie; dernières études faites sur le sujet (cf ,Article), les enfants en souffrant ayant par ailleurs urinaires, hormonaux et hydriques normaux. Mais vu le peu de cas que j'ai eu à traiter depuis le début de mon exercice, le nombre de sujets rentrant dans le cadre de mon protocole ne représente pas, à l'heure actuelle. un échantillonnage assez important pour permettre des statistiques réelles et fiables. Les chiffres et les constatations que je pourrai avancer dans ce mémoire seront donc pure à titre de tendance, et non de certitude mathématique |
| |