Titre : |
L'ostéopathie en orthopédie dento-faciale |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
GASC Marie-Hélène, Auteur |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Mémoire :C.O.P.
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Mots-clés : |
OSTEOPATHIE CRANIENNE OSTEOPATHIE FASCIALE PATHOLOGIE OCCLUSION PHILOSOPHIE CONCEPT ANATOMIE FACE ORTHODONTIE OCCLUSODONTIE TRAITEMENT TECHNIQUE DE SASSOUNI ORTHOPEDIE DENTISTERIE |
Résumé : |
Madame M.H. GASC, ostéopathe, nous propose comme thèse de réflexions : " L'ostéopathie en orthopédie dento-faciale. " Ce sujet, tout à fait à l'ordre du jour, doit intéresser, non seulement, les ostéopathes, mais également tous les spécialistes travaillant au niveau dentaire. Les propos de ce document sont motivés par une réflexion de l'auteur découlant, tout naturellement, d'une confrontation entre un désé-quilibre éventuel provenant du haut: le crâne et la relation dentofaciale, et le bas : tout l'axe rachidien y compris le bassin et les membres inférieurs. D'ailleurs, l'occlusion n'est-elle pas un des principes de base de l'art dentaire? La fonction masticatoire, ses variations physiologigues et ses dysharmonies occlusales n'aboutissent-elles point vers un effrondement des tissus et vers des troubles fonctionnels? Tous ces spécialistes sont conscients de ces divers phénomènes et sont parfois génés dans leurs traitements. La meilleure preuve est bien celle d'une recherche dans le domaine de la kinésiologie et surtout d'une communication intelligente et ouverte entre le dentiste, l'orthodontiste, l'occlusodontiste et les ostéopathes. Or pour y parvenir, n'est-il point sage de mieux connaître ses différences et de mieux saisir nos concepts et sémantiques spécifiques? C'est bien là, un des aspects recherchés par l'auteur dans ce travail de mise au point. Elle a voulu également sensibiliser les divers praticiens, par un certain nombre d' IDEE FORCES allant dans le sens de la COMPLEMENTARITE indispensable de pratique et de conceptions différentes, mais non opposée dans leurs finalités. Elle nous dévoile aussi, une méthode objective permettant la mesure, facile et cartésienne, des positions et volumes crâniens, par la technique de SASSOUNI. Néanmoins, elle insiste sur le fait essentiel qu'il ne faut surtout pas porter un diagnostic de perte de mobilité sur un cliché radiologique ou sur un schéma analytique de forme ou de volume. Ce type d'examen utile, ne peut que suggérer un positionnement lésionnel, mais pas une lésion ostéopathique. Seuls les tests de mobilités autoriseront le diagnostic ostéopathique. Ce travail n'est pas une étude statistique de cabinet, mais bien une information rigoureuse, argumentée par un ostéopathe clinicien, sur nos possibilités mutuelles dans le domaine crânio-dento-facial. Il doit ouvrir une meilleure perspective de collaboration pour le mieux-être de nos patients. Si ce résultat est atteint, parler de COMMUNICATION ne sera pas un vain mot ! R. SOLANO DO.M.R.O.F. |
L'ostéopathie en orthopédie dento-faciale [texte imprimé] / GASC Marie-Hélène, Auteur . - [s.d.]. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Mémoire :C.O.P.
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Mots-clés : |
OSTEOPATHIE CRANIENNE OSTEOPATHIE FASCIALE PATHOLOGIE OCCLUSION PHILOSOPHIE CONCEPT ANATOMIE FACE ORTHODONTIE OCCLUSODONTIE TRAITEMENT TECHNIQUE DE SASSOUNI ORTHOPEDIE DENTISTERIE |
Résumé : |
Madame M.H. GASC, ostéopathe, nous propose comme thèse de réflexions : " L'ostéopathie en orthopédie dento-faciale. " Ce sujet, tout à fait à l'ordre du jour, doit intéresser, non seulement, les ostéopathes, mais également tous les spécialistes travaillant au niveau dentaire. Les propos de ce document sont motivés par une réflexion de l'auteur découlant, tout naturellement, d'une confrontation entre un désé-quilibre éventuel provenant du haut: le crâne et la relation dentofaciale, et le bas : tout l'axe rachidien y compris le bassin et les membres inférieurs. D'ailleurs, l'occlusion n'est-elle pas un des principes de base de l'art dentaire? La fonction masticatoire, ses variations physiologigues et ses dysharmonies occlusales n'aboutissent-elles point vers un effrondement des tissus et vers des troubles fonctionnels? Tous ces spécialistes sont conscients de ces divers phénomènes et sont parfois génés dans leurs traitements. La meilleure preuve est bien celle d'une recherche dans le domaine de la kinésiologie et surtout d'une communication intelligente et ouverte entre le dentiste, l'orthodontiste, l'occlusodontiste et les ostéopathes. Or pour y parvenir, n'est-il point sage de mieux connaître ses différences et de mieux saisir nos concepts et sémantiques spécifiques? C'est bien là, un des aspects recherchés par l'auteur dans ce travail de mise au point. Elle a voulu également sensibiliser les divers praticiens, par un certain nombre d' IDEE FORCES allant dans le sens de la COMPLEMENTARITE indispensable de pratique et de conceptions différentes, mais non opposée dans leurs finalités. Elle nous dévoile aussi, une méthode objective permettant la mesure, facile et cartésienne, des positions et volumes crâniens, par la technique de SASSOUNI. Néanmoins, elle insiste sur le fait essentiel qu'il ne faut surtout pas porter un diagnostic de perte de mobilité sur un cliché radiologique ou sur un schéma analytique de forme ou de volume. Ce type d'examen utile, ne peut que suggérer un positionnement lésionnel, mais pas une lésion ostéopathique. Seuls les tests de mobilités autoriseront le diagnostic ostéopathique. Ce travail n'est pas une étude statistique de cabinet, mais bien une information rigoureuse, argumentée par un ostéopathe clinicien, sur nos possibilités mutuelles dans le domaine crânio-dento-facial. Il doit ouvrir une meilleure perspective de collaboration pour le mieux-être de nos patients. Si ce résultat est atteint, parler de COMMUNICATION ne sera pas un vain mot ! R. SOLANO DO.M.R.O.F. |
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