Titre : |
Approche ostéopathique de la gonarthrose chez la femme |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Emmanuel Dubois, Auteur |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Mémoire :autres
|
Mots-clés : |
TRAITEMENT PATHOLOGIE GONARTHROSE BIOMECANIQUE SYSTEME CIRCULATOIRE SYSTEME HORMONAL SOCIOLOGIE FEMME ANATOMIE GENOU OSTEOPATHIE STRUCTURELLE |
Résumé : |
Nous sommes tous confrontés, quotidiennement, dans nos cabinets, à une pathologie très fréquente que constitue la gonarthrose. Le but de cette thèse n'est point de prouver quelque chose, mais d'établir une réflexion biomécanique, empreinte de suites mécaniques et myofasciales à composantes circulatoires et hormonales. J'attache une étude particulière à la gonarthrose chez la femme pour une raison essentielle : les statistiques de L'O.M.S. nous montrent, qu'arrivées à la soixantaine, deux fois plus de femmes que d'hommes sont atteintes par cette pathologie. L'objet de ma réflexion est bien entendu le pourquoi de cette différence et quelle attitude adopter en tant que praticien face aux différentes observations recensées dans cette étude. Outre les facteurs hormonaux et circulatoires dont je fais l'étude à la fin de cette thèse, je me suis attardé aux modifications statiques et dynamiques apportées par le port de chaussures à talons hauts qui modifient incontestablement la biomécanique du membre inférieur. Les hauts talons sont entrés dans les moeurs de notre société et cadrent avec l'image actuelle de la féminité. II ne faut pas l'oeil d'un ostéopathe avisé pour s'apercevoir qu'une femme chaussée de hauts talons présente une démarche bien particulière. La marche est "raide", sans aucun "délié", donc pas naturelle. |
Approche ostéopathique de la gonarthrose chez la femme [texte imprimé] / Emmanuel Dubois, Auteur . - [s.d.]. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Mémoire :autres
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Mots-clés : |
TRAITEMENT PATHOLOGIE GONARTHROSE BIOMECANIQUE SYSTEME CIRCULATOIRE SYSTEME HORMONAL SOCIOLOGIE FEMME ANATOMIE GENOU OSTEOPATHIE STRUCTURELLE |
Résumé : |
Nous sommes tous confrontés, quotidiennement, dans nos cabinets, à une pathologie très fréquente que constitue la gonarthrose. Le but de cette thèse n'est point de prouver quelque chose, mais d'établir une réflexion biomécanique, empreinte de suites mécaniques et myofasciales à composantes circulatoires et hormonales. J'attache une étude particulière à la gonarthrose chez la femme pour une raison essentielle : les statistiques de L'O.M.S. nous montrent, qu'arrivées à la soixantaine, deux fois plus de femmes que d'hommes sont atteintes par cette pathologie. L'objet de ma réflexion est bien entendu le pourquoi de cette différence et quelle attitude adopter en tant que praticien face aux différentes observations recensées dans cette étude. Outre les facteurs hormonaux et circulatoires dont je fais l'étude à la fin de cette thèse, je me suis attardé aux modifications statiques et dynamiques apportées par le port de chaussures à talons hauts qui modifient incontestablement la biomécanique du membre inférieur. Les hauts talons sont entrés dans les moeurs de notre société et cadrent avec l'image actuelle de la féminité. II ne faut pas l'oeil d'un ostéopathe avisé pour s'apercevoir qu'une femme chaussée de hauts talons présente une démarche bien particulière. La marche est "raide", sans aucun "délié", donc pas naturelle. |
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