Titre : |
Incidences de la lésion ostéopathique intra-osseuse du sacrum et de son traitement dans la pathologie fonctionnelle du nouveau-né |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Claude Bichet, Auteur |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Mémoire :ATMAN, Paris
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Mots-clés : |
SOCIOLOGIE NOURISSON NOUVEAU-NE PEDIATRIE OSTEOPATHIE CRANIENNE ANATOMIE SACRUM TRAITEMENT TECHNIQUE INTRA-OSSEUSE |
Résumé : |
La pathologie fonctionnelle du nouveu-né est dificile à cerner et à traiter pour plusieurs raisons: - d'une part, parce qu'elle intéresse peu le corps médical qui est plus soucieux, et à juste titre, de dépister la grosse pathologie du nouveau-né, - d'autre part, il faut bien admettre que la médecine traditionnelle ne possède pas encore toutes les armes thérapeutiques qui permettent de soulager efficacement les bébés de ces troubles, - dans certaines de ces pathologies existe une part de subjectivité en particulier celles qui relèvent du comportement du bébé ( ex: nervosisme, pleurs excessifs ), - le comportement arbitraire car réflexe qui consiste à ne pas prendre suffisamment en compte une pathologie lorsqu'elle ne s'accompagne pas d'une atteinte structurelle, - et enfin, bien que le phénomène récent de la prise en charge de la douleur du patient soit bien médiatisé maintenant, ce qui est bien sûr une bonne chose, il apparaît néanmoins que le mal être du nouveau-né ( souffrance physique et morale) qui est bien réel, j'ai pu le constater maintes fois, ne suscite pas encore tout l'intérêt qu'il mérite. Pourtant cette symptomatologie du nouveau-né existe puisqu'elle est constatée par l'ensemble du personnel qui travaille quotidiennement avec des bébés et aussi par les parents qui tous, constatent que ces pathologies gênent finalement plus ou moins l'enfant et inquiètent sa famille dont la sérénité finit parfois, de ce fait, par être altérée. Et justement, dès le début des études ostéopathiques, on apprend qu'il ne peut y avoir de symptômes sans lésions dites ostéopathiques. partant alors du principe que tous ces nouveau-nés venaient de subir un accouchement, quelques fois même dystocique, événement qui reste un des moments clefs de la vie puisqu'il constitue en fait le premier traumatisme de la vie; Partant également du fait que bièn avant de connaitre l'ostéopathie, je m'étais souvent étonné de constater que parfois, les bébés de mon entourage pleuraient et criaient sans que personne ne puisse vraiment expliquer ce comportement, j'ai voulu personnellement, fort de mes connaissances ostéopathiques. apporter un élément de réponse à ces interrogations en évaluant l'impact réel de l'accouchement sur les parties les plus exposées de l'enfant, à savoir le crâne et le bassin et plus particulièrement le sacrum compte tenu du fait que, à mon grand étonnement, d'après les reherches effectuées dans la littérature ostéopathique, le sacrum du nouveau-né, à l'inverse a peu fait l'objet d'études ciblées. |
Incidences de la lésion ostéopathique intra-osseuse du sacrum et de son traitement dans la pathologie fonctionnelle du nouveau-né [texte imprimé] / Claude Bichet, Auteur . - [s.d.]. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Mémoire :ATMAN, Paris
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Mots-clés : |
SOCIOLOGIE NOURISSON NOUVEAU-NE PEDIATRIE OSTEOPATHIE CRANIENNE ANATOMIE SACRUM TRAITEMENT TECHNIQUE INTRA-OSSEUSE |
Résumé : |
La pathologie fonctionnelle du nouveu-né est dificile à cerner et à traiter pour plusieurs raisons: - d'une part, parce qu'elle intéresse peu le corps médical qui est plus soucieux, et à juste titre, de dépister la grosse pathologie du nouveau-né, - d'autre part, il faut bien admettre que la médecine traditionnelle ne possède pas encore toutes les armes thérapeutiques qui permettent de soulager efficacement les bébés de ces troubles, - dans certaines de ces pathologies existe une part de subjectivité en particulier celles qui relèvent du comportement du bébé ( ex: nervosisme, pleurs excessifs ), - le comportement arbitraire car réflexe qui consiste à ne pas prendre suffisamment en compte une pathologie lorsqu'elle ne s'accompagne pas d'une atteinte structurelle, - et enfin, bien que le phénomène récent de la prise en charge de la douleur du patient soit bien médiatisé maintenant, ce qui est bien sûr une bonne chose, il apparaît néanmoins que le mal être du nouveau-né ( souffrance physique et morale) qui est bien réel, j'ai pu le constater maintes fois, ne suscite pas encore tout l'intérêt qu'il mérite. Pourtant cette symptomatologie du nouveau-né existe puisqu'elle est constatée par l'ensemble du personnel qui travaille quotidiennement avec des bébés et aussi par les parents qui tous, constatent que ces pathologies gênent finalement plus ou moins l'enfant et inquiètent sa famille dont la sérénité finit parfois, de ce fait, par être altérée. Et justement, dès le début des études ostéopathiques, on apprend qu'il ne peut y avoir de symptômes sans lésions dites ostéopathiques. partant alors du principe que tous ces nouveau-nés venaient de subir un accouchement, quelques fois même dystocique, événement qui reste un des moments clefs de la vie puisqu'il constitue en fait le premier traumatisme de la vie; Partant également du fait que bièn avant de connaitre l'ostéopathie, je m'étais souvent étonné de constater que parfois, les bébés de mon entourage pleuraient et criaient sans que personne ne puisse vraiment expliquer ce comportement, j'ai voulu personnellement, fort de mes connaissances ostéopathiques. apporter un élément de réponse à ces interrogations en évaluant l'impact réel de l'accouchement sur les parties les plus exposées de l'enfant, à savoir le crâne et le bassin et plus particulièrement le sacrum compte tenu du fait que, à mon grand étonnement, d'après les reherches effectuées dans la littérature ostéopathique, le sacrum du nouveau-né, à l'inverse a peu fait l'objet d'études ciblées. |
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