Titre : |
Modification de l'empreinte plantaire après correction d'une lésion ostéopathique du condyle antérieur unilatéral gauche de l'occiput sur l'atlas |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
W.B. Berton, Auteur ; Jean-Philippe FOISSY, Auteur |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Mémoire :autres
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Mots-clés : |
OSTEOPATHIE CRANIENNE METHODE ELECTROPODOGRAPH TRAITEMENT ANATOMIE COMPLEXE OCCIPUT-ATLAS-AXIS PIED TECHNIQUE EMPREINTE |
Résumé : |
L'homme dans sa position verticale trouve son appui sur ses pieds. Le contact du pied au sol peut être apprécié dans sa qualité et sa Quantité par une prise d'empreinte plantaire. Le pied est un lieu où la fréquence des douleurs et des déformations est élevé. Dans la génèse de ces affections on a longtemps évoqué la chaussure et l'hérédité. J.P. Foissy (Podologue) a constaté dans sa pratique 1971 à 1981 que ces paramètres (chaussures-hérédité) n'étaient acceptables en tant que cause que dans 50 % des cas. D'autre part, on a pu constater la fréquence de la pathologie unilatérale du pied comme l'hallux valguS, l'hallux rigidus, l'épine calcanéenne, sans notion de traumatisme à l'origine. Nous avons constaté que très souvent cette déformation du pied concerné. Cette pathologie du pied trouverait-elle son origine ailleurs que sur le pied? La vérification d'une empreinte plantaire refaite plusieurs mois après un travail de rééquilibration ostéopathique montra une très nette différence d'appui au sol et nous orienta vers cette étude approfondie. Nous avons retenu comme correction: la lésion ostéopathique de condyle antérieur unilatéral gauche de l'occiput sur atlas, pour sa fréquence, la précision de la technique employée, l'intérêt reconnu de cette région par un grand nombre d'ostéopathes. Après ces corrections, des changements notoires de ces empreintes plantaires se revélèrent. Certaines équipes de recherches en podologie ont jusqu'à ce jour travaillé sur les conséquences des déséquilibres du pied sur la statique générale du corps. A l'heure actuelle, des moyens très sophistiqués permettent de faire avec précision une véritable cartographie des zones de pression du pied au sol. en appui statique ou pendant la marche. C'est le cas du podoscope électronique commercialisé par les établissements CAPRON, ainsi que l'appareillage du centre médical de posturologie qui étudie le déplacement et les caractéristiques des centres de gravité de l'appui plantaire. Enfin, certaines études en cours sont réalisées par un podologue israélien appelé NACHNER, portant sur les appuis plantaires et disposant d'un matériel complexe. Ces moyens de haute technologie ne peuvent se concevoir en consultation journalière au cabinet, seule l'empreinte photographique du podographe (tapis en caoutchouc) peut dans ces conditions permettre d'objectiver un éventuel changement d'appui au sol. La lenteur des déformations du pied, les temps de latence entre la cessation des symptômes et la correction ne nous ont pas permis d'aller plus avant dans la statistique des résultats. Nous ne retiendrons donc dans cette étude originale que les changements objectivables de l'empreinte du pied au sol à la suite d'une correction ostéopathique indirecte. |
Modification de l'empreinte plantaire après correction d'une lésion ostéopathique du condyle antérieur unilatéral gauche de l'occiput sur l'atlas [texte imprimé] / W.B. Berton, Auteur ; Jean-Philippe FOISSY, Auteur . - [s.d.]. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Mémoire :autres
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Mots-clés : |
OSTEOPATHIE CRANIENNE METHODE ELECTROPODOGRAPH TRAITEMENT ANATOMIE COMPLEXE OCCIPUT-ATLAS-AXIS PIED TECHNIQUE EMPREINTE |
Résumé : |
L'homme dans sa position verticale trouve son appui sur ses pieds. Le contact du pied au sol peut être apprécié dans sa qualité et sa Quantité par une prise d'empreinte plantaire. Le pied est un lieu où la fréquence des douleurs et des déformations est élevé. Dans la génèse de ces affections on a longtemps évoqué la chaussure et l'hérédité. J.P. Foissy (Podologue) a constaté dans sa pratique 1971 à 1981 que ces paramètres (chaussures-hérédité) n'étaient acceptables en tant que cause que dans 50 % des cas. D'autre part, on a pu constater la fréquence de la pathologie unilatérale du pied comme l'hallux valguS, l'hallux rigidus, l'épine calcanéenne, sans notion de traumatisme à l'origine. Nous avons constaté que très souvent cette déformation du pied concerné. Cette pathologie du pied trouverait-elle son origine ailleurs que sur le pied? La vérification d'une empreinte plantaire refaite plusieurs mois après un travail de rééquilibration ostéopathique montra une très nette différence d'appui au sol et nous orienta vers cette étude approfondie. Nous avons retenu comme correction: la lésion ostéopathique de condyle antérieur unilatéral gauche de l'occiput sur atlas, pour sa fréquence, la précision de la technique employée, l'intérêt reconnu de cette région par un grand nombre d'ostéopathes. Après ces corrections, des changements notoires de ces empreintes plantaires se revélèrent. Certaines équipes de recherches en podologie ont jusqu'à ce jour travaillé sur les conséquences des déséquilibres du pied sur la statique générale du corps. A l'heure actuelle, des moyens très sophistiqués permettent de faire avec précision une véritable cartographie des zones de pression du pied au sol. en appui statique ou pendant la marche. C'est le cas du podoscope électronique commercialisé par les établissements CAPRON, ainsi que l'appareillage du centre médical de posturologie qui étudie le déplacement et les caractéristiques des centres de gravité de l'appui plantaire. Enfin, certaines études en cours sont réalisées par un podologue israélien appelé NACHNER, portant sur les appuis plantaires et disposant d'un matériel complexe. Ces moyens de haute technologie ne peuvent se concevoir en consultation journalière au cabinet, seule l'empreinte photographique du podographe (tapis en caoutchouc) peut dans ces conditions permettre d'objectiver un éventuel changement d'appui au sol. La lenteur des déformations du pied, les temps de latence entre la cessation des symptômes et la correction ne nous ont pas permis d'aller plus avant dans la statistique des résultats. Nous ne retiendrons donc dans cette étude originale que les changements objectivables de l'empreinte du pied au sol à la suite d'une correction ostéopathique indirecte. |
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