Centre de Documentation et d'Information de l'Académie d'Ostéopathie
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11 recherche sur le mot-clé 'essai clinique randomisé'
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Thrust Vs. Toggle-recoil : comparaison entre deux techniques ostéopathiques sur le sacrum chez le sujet non algique / Julien Peyrard
Titre : Thrust Vs. Toggle-recoil : comparaison entre deux techniques ostéopathiques sur le sacrum chez le sujet non algique : Comparaison Type de document : texte imprimé Auteurs : Julien Peyrard, Auteur ; M. Huard, Directeur de la recherche Année de publication : 2005 Importance : 59 p. Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire Mots-clés : Ostéopathie Thrust Toggle-recoil Sacrum Essai clinique randomisé Résumé : Nous avons réalisé un essai randomisé ayant pour objectif de comparer deux techniques ostéopathiques musculo-squelettiques sur le sacrum : le thrust et le toggle-recoil. 90 sujets jeunes, sans motif de consultation, ont été répartis par randomisation en 3 groupes de 30 : groupe thrust, groupe recoil et groupe témoin. La personne qui testait, n'était pas la même que celle qui effectue la technique.
Nous pouvons dire que le recoil est plus efficace que le thrust et que le repos. En effet, 40% des sujets ayant reçu le toggle-recoil au niveau du sacrum, ne présentaient plus de dysfonction sacrée à la deuxième mesure et 36,6% à la troisième, alors que seulement 13,3% juste après application du thrust et 16,7% à la deuxième séance (p<0,0004). En revanche, si le thrust ne corrige pas forcément les dysfonctions sacrées, il entraîne un gain de mobilité équivalent au recoil.Thrust Vs. Toggle-recoil : comparaison entre deux techniques ostéopathiques sur le sacrum chez le sujet non algique : Comparaison [texte imprimé] / Julien Peyrard, Auteur ; M. Huard, Directeur de la recherche . - 2005 . - 59 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire Mots-clés : Ostéopathie Thrust Toggle-recoil Sacrum Essai clinique randomisé Résumé : Nous avons réalisé un essai randomisé ayant pour objectif de comparer deux techniques ostéopathiques musculo-squelettiques sur le sacrum : le thrust et le toggle-recoil. 90 sujets jeunes, sans motif de consultation, ont été répartis par randomisation en 3 groupes de 30 : groupe thrust, groupe recoil et groupe témoin. La personne qui testait, n'était pas la même que celle qui effectue la technique.
Nous pouvons dire que le recoil est plus efficace que le thrust et que le repos. En effet, 40% des sujets ayant reçu le toggle-recoil au niveau du sacrum, ne présentaient plus de dysfonction sacrée à la deuxième mesure et 36,6% à la troisième, alors que seulement 13,3% juste après application du thrust et 16,7% à la deuxième séance (p<0,0004). En revanche, si le thrust ne corrige pas forcément les dysfonctions sacrées, il entraîne un gain de mobilité équivalent au recoil.Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 3562 PEY Livre Bibliothèque principale Documentaires Disponible Contracté/Relâché, encore une fois ? / François Rosenzweig
Titre : Contracté/Relâché, encore une fois ? : Intérêt du nombre de contractions à effectuer pour l'application des techniques d'énergie musculaire selon Mitchell Type de document : texte imprimé Auteurs : François Rosenzweig, Auteur ; Robert Meslé, Directeur de la recherche ; Catherine Chamayou, Auteur Editeur : PARIS : ESO PARIS Année de publication : 2008 Importance : 99 p. Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire Mots-clés : Ostéopathie Technique d'énergie musculaire MET Mitchell Ischio-jambiers Contracté/Relâché Essai clinique randomisé Résumé : Le protocole d'application des techniques d'énergie musculaire (MET) décrit par Fred Mitchell Sr. demande des séries de contracté/relâché répétées trois à quatre fois. Comment Mitchell a-t-il déterminé cette valeur ? L'objectif de notre étude est d'évaluer le lien entre le gain d'amplitude et le nombre de séries de contractions.
Deux cents patients non algiques et sans pathologie organique ou rhumatismale sur la zone traitée sont répartis par randomisation en cinq groupes (dont un témoin). Ils ont reçu un nombre variable de contractions (un, quatre, sept ou dix) sur les ischio-jambiers. l'amplitude articulaire au niveau de la coxo-fémorale a été mesurée avant et après la technique.
C'est avec le groupe recevant quatre contractions que nous observons la plus grande variation d'amplitude (+31% chez les hommes et +22% chez les femmes); elle est significativement différente de celle du groupe témoin (p<0.001 pour les hommes,p<0.007 pour les femmes). Les groupes avec davantage de contractions ont un pourcentage de gain plus faible.
Les résultats semblent donc montrer que le gain d'amplitude est lié au nombre de contractions. Il apparaît maximal après quatre contractions.Contracté/Relâché, encore une fois ? : Intérêt du nombre de contractions à effectuer pour l'application des techniques d'énergie musculaire selon Mitchell [texte imprimé] / François Rosenzweig, Auteur ; Robert Meslé, Directeur de la recherche ; Catherine Chamayou, Auteur . - PARIS : ESO PARIS, 2008 . - 99 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire Mots-clés : Ostéopathie Technique d'énergie musculaire MET Mitchell Ischio-jambiers Contracté/Relâché Essai clinique randomisé Résumé : Le protocole d'application des techniques d'énergie musculaire (MET) décrit par Fred Mitchell Sr. demande des séries de contracté/relâché répétées trois à quatre fois. Comment Mitchell a-t-il déterminé cette valeur ? L'objectif de notre étude est d'évaluer le lien entre le gain d'amplitude et le nombre de séries de contractions.
Deux cents patients non algiques et sans pathologie organique ou rhumatismale sur la zone traitée sont répartis par randomisation en cinq groupes (dont un témoin). Ils ont reçu un nombre variable de contractions (un, quatre, sept ou dix) sur les ischio-jambiers. l'amplitude articulaire au niveau de la coxo-fémorale a été mesurée avant et après la technique.
C'est avec le groupe recevant quatre contractions que nous observons la plus grande variation d'amplitude (+31% chez les hommes et +22% chez les femmes); elle est significativement différente de celle du groupe témoin (p<0.001 pour les hommes,p<0.007 pour les femmes). Les groupes avec davantage de contractions ont un pourcentage de gain plus faible.
Les résultats semblent donc montrer que le gain d'amplitude est lié au nombre de contractions. Il apparaît maximal après quatre contractions.Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 3571 ROS Livre Bibliothèque principale Documentaires Disponible Couple costo-dorsal : étude expérimentale et analyse biomécanique (Le) / Romain Masson
Titre : Couple costo-dorsal : étude expérimentale et analyse biomécanique (Le) Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Masson, Auteur ; Romain Beaulieu, Directeur de la recherche ; Robert Meslé, Auteur Editeur : PARIS : ESO PARIS Année de publication : 2006 Importance : 21 p. Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire Mots-clés : Biomécanique Côte Vertèbre dorsale Mitchell Technique directe Dysfonction cinétique Essai clinique randomisé Résumé : Le but de cette étude est d'évaluer l'influence d'une seule correction, soit dorsale, soit costale, par des techniques structurelles (thrust et Mitchell) sur le couple costo-dorsal et la vertèbre dorsale sus-jacente. Après avoir présenté les éléments anatomiques susceptibles d'être en cause dans ces dysfonctions, et en déduire la biomécanique dysfonctionnelle du couple, nous avons effectué une étude expérimentale avec 120 sujets, répartis en quatre groupes "Mitchell côte", "directe dorsale", "directe dorsale sus-jacente" et "témoin". Le critère du jugement était la modification ou l'absence de dysfonction cinétique après technique.
Nous avons trouvé une efficacité conjointe et comparable des techniques Mitchell costales et directes dorsales sur le couple costo-dorsal. Par contre la technique directe sur la vertèbre dorsale sus-jacente n'influe pas sur les autres structures.
Dans notre échantillon d'étude, nous n'avons pas de dysfonction cinétique de côte isolée, mais des dysfonctions du couple costo-dorsal, dont le lien anatomique serait l'articulation costo-transversaire. Il serait intéressant de réaliser une étude sur des patients avec une plainte de cette région dorsale.Couple costo-dorsal : étude expérimentale et analyse biomécanique (Le) [texte imprimé] / Romain Masson, Auteur ; Romain Beaulieu, Directeur de la recherche ; Robert Meslé, Auteur . - PARIS : ESO PARIS, 2006 . - 21 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire Mots-clés : Biomécanique Côte Vertèbre dorsale Mitchell Technique directe Dysfonction cinétique Essai clinique randomisé Résumé : Le but de cette étude est d'évaluer l'influence d'une seule correction, soit dorsale, soit costale, par des techniques structurelles (thrust et Mitchell) sur le couple costo-dorsal et la vertèbre dorsale sus-jacente. Après avoir présenté les éléments anatomiques susceptibles d'être en cause dans ces dysfonctions, et en déduire la biomécanique dysfonctionnelle du couple, nous avons effectué une étude expérimentale avec 120 sujets, répartis en quatre groupes "Mitchell côte", "directe dorsale", "directe dorsale sus-jacente" et "témoin". Le critère du jugement était la modification ou l'absence de dysfonction cinétique après technique.
Nous avons trouvé une efficacité conjointe et comparable des techniques Mitchell costales et directes dorsales sur le couple costo-dorsal. Par contre la technique directe sur la vertèbre dorsale sus-jacente n'influe pas sur les autres structures.
Dans notre échantillon d'étude, nous n'avons pas de dysfonction cinétique de côte isolée, mais des dysfonctions du couple costo-dorsal, dont le lien anatomique serait l'articulation costo-transversaire. Il serait intéressant de réaliser une étude sur des patients avec une plainte de cette région dorsale.Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 3565 MAS Livre Bibliothèque principale Documentaires Disponible D12-L1 et son influence sur la vitesse de tir au handball / Stéphane RAMAUGE
Titre : D12-L1 et son influence sur la vitesse de tir au handball Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane RAMAUGE, Auteur ; Yannick HUARD, Directeur de la recherche Année de publication : 2005 Importance : 75p. Présentation : annexes ; ill. en coul. Accompagnement : résumé du mémoire (20p.) Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire Mots-clés : ostéopathie handball charnière dorso-lombaire vitesse de tir D12-L1 tir en appui essai clinique randomisé Résumé : A partir d'une pré-étude et de nos connaissances anatomiques et biomécaniques, nous avons élaboré un protocole afin d'objectiver l'hypothèse qu'une technique ostéopathique pourrait augmenter la vitesse de tir au handball.
Soixante handballeurs ont été répartis aléatoirement en deux groupes (témoins et ostéo) de trente sujets. Ils ont effectué dix tirs en appui, "bras cassé".
Les sujets du groupe "ostéo" ont reçu une technique directe, appelée DOG, pour corriger les dysfonctions cinétiques de la charnière dorso-lombaire. Nous avons mesuré la vitesse de tir avant et après la technique, à l'aide d'un radar.
Nous avons constaté une augmentation de la vitesse dans le groupe ostéo (4km/h) (p=0,589), alors que dans le groupe témoin, aucune modification n'est remarquée.
Nous avons remarqué quelques lacunes à cette étude, notamment le manque de temps, et il serait intéressant de savoir si cette technique est fiable sur une population plus importante et de savoir si le gain de vitesse est toujours identique deux ou trois semaines après avoir effectué la technique.
C'est ce qui serait intéressant de développer dans de futures études.D12-L1 et son influence sur la vitesse de tir au handball [texte imprimé] / Stéphane RAMAUGE, Auteur ; Yannick HUARD, Directeur de la recherche . - 2005 . - 75p. : annexes ; ill. en coul. + résumé du mémoire (20p.).
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire Mots-clés : ostéopathie handball charnière dorso-lombaire vitesse de tir D12-L1 tir en appui essai clinique randomisé Résumé : A partir d'une pré-étude et de nos connaissances anatomiques et biomécaniques, nous avons élaboré un protocole afin d'objectiver l'hypothèse qu'une technique ostéopathique pourrait augmenter la vitesse de tir au handball.
Soixante handballeurs ont été répartis aléatoirement en deux groupes (témoins et ostéo) de trente sujets. Ils ont effectué dix tirs en appui, "bras cassé".
Les sujets du groupe "ostéo" ont reçu une technique directe, appelée DOG, pour corriger les dysfonctions cinétiques de la charnière dorso-lombaire. Nous avons mesuré la vitesse de tir avant et après la technique, à l'aide d'un radar.
Nous avons constaté une augmentation de la vitesse dans le groupe ostéo (4km/h) (p=0,589), alors que dans le groupe témoin, aucune modification n'est remarquée.
Nous avons remarqué quelques lacunes à cette étude, notamment le manque de temps, et il serait intéressant de savoir si cette technique est fiable sur une population plus importante et de savoir si le gain de vitesse est toujours identique deux ou trois semaines après avoir effectué la technique.
C'est ce qui serait intéressant de développer dans de futures études.Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 9330 9 RAM Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Les dysfonctions cinétiques du poignet chez les boxeurs / Sandrine Dang
Titre : Les dysfonctions cinétiques du poignet chez les boxeurs Type de document : texte imprimé Auteurs : Sandrine Dang, Auteur ; Christophe Buisson (DO), Directeur de la recherche Editeur : COLLEGIALE ACADEMIQUE DE FRANCE Année de publication : 2007 Importance : 110p. Présentation : ill. en coul. Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire Mots-clés : arthrose boxe anglaise boxe essai clinique randomisé fracture instabilité du poignet os du carpe ostéopathie Résumé : Les dysfonctions du poignet représentent 15,79% des pathologies locomotrices chez les boxeurs. Ces dysfonctions du poignet aboutiraient à long terme à des fractures, arthrose, et déformations du poignet. Nous avons réalisé une étude sur 23 boxeurs pendant pendant quatre mois. Nous avons étudié le poignet dans sa cinétique, ses amplitudes et sa force musculaire puis la répercussion de la douleur dans la vie quotidienne et sportive du boxeur par le questionnaire Dash. Quatre séances ostéopathiques ont été effectuées sur chaque boxeur. Nous avons constaté une évolution des amplitudes entre le groupe traité et le groupe témoin statistiquement significative seulement sur l'extension de la main gauche et l'inclinaison radiale de la main gauche sur les 15 premiers boxeurs, ce qui tendraient vers l'existence d'une corrélation entre cette évolution d'amplitude, la diminution de la douleur et l'efficacité du traitement ostéopathique. Notre étude a été poursuivie de mars à juin 2007, la population est passée de 15 boxeurs à 23 boxeurs. Les résultats de l'étude présentent une évolution statistiquement significative pour les paramètres d'extension des deux mains et de l'inclinaison radiale des deux mains. Il serait intéressant de poursuivre notre étude en incluant davantage de sujets pour augmenter la puissance statistique. Les dysfonctions cinétiques du poignet chez les boxeurs [texte imprimé] / Sandrine Dang, Auteur ; Christophe Buisson (DO), Directeur de la recherche . - COLLEGIALE ACADEMIQUE DE FRANCE, 2007 . - 110p. : ill. en coul.
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire Mots-clés : arthrose boxe anglaise boxe essai clinique randomisé fracture instabilité du poignet os du carpe ostéopathie Résumé : Les dysfonctions du poignet représentent 15,79% des pathologies locomotrices chez les boxeurs. Ces dysfonctions du poignet aboutiraient à long terme à des fractures, arthrose, et déformations du poignet. Nous avons réalisé une étude sur 23 boxeurs pendant pendant quatre mois. Nous avons étudié le poignet dans sa cinétique, ses amplitudes et sa force musculaire puis la répercussion de la douleur dans la vie quotidienne et sportive du boxeur par le questionnaire Dash. Quatre séances ostéopathiques ont été effectuées sur chaque boxeur. Nous avons constaté une évolution des amplitudes entre le groupe traité et le groupe témoin statistiquement significative seulement sur l'extension de la main gauche et l'inclinaison radiale de la main gauche sur les 15 premiers boxeurs, ce qui tendraient vers l'existence d'une corrélation entre cette évolution d'amplitude, la diminution de la douleur et l'efficacité du traitement ostéopathique. Notre étude a été poursuivie de mars à juin 2007, la population est passée de 15 boxeurs à 23 boxeurs. Les résultats de l'étude présentent une évolution statistiquement significative pour les paramètres d'extension des deux mains et de l'inclinaison radiale des deux mains. Il serait intéressant de poursuivre notre étude en incluant davantage de sujets pour augmenter la puissance statistique. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 9361 DAN Livre Bibliothèque principale Documentaires Disponible Les dysfonctions cinétiques du poignet chez les boxeurs / Sandrine Dang
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