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'TRONC CEREBRAL' 




Etude comparée des approches médicale et ostéopathique des nerfs crâniens / Richard Bourrel
Titre : Etude comparée des approches médicale et ostéopathique des nerfs crâniens Type de document : texte imprimé Auteurs : Richard Bourrel, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : SYSTEME NERVEUX SYSTEME NEURO VEGETATIF NERF CRANIEN TRONC CEREBRAL MEDECINE ALLOPATHIQUE OSTEOPATHIE CRANIENNE Résumé : Le système nerveux central (SNC) ou cérébro-spinal est constitué par l'ensemble des centres nerveux chargés d'assurer le fonctionnement des différents appareils de l'organisme. Il est relié à ces appareils par des nerfs crâniens et des nerfs rachidiens. Il comprend: la moelle épinière, le tronc cérébral, le cervelet; le cerveau; l'ensemble constituant le névraxe. L'élément de base du système nerveux est le neurone qui comprend : un corps cellulaire et des prolongements (des dendrites souvent multiples et un axone unique ). Les corps cellulaires sont groupés en amas et constituent la substance grise; les prolongements eux, s'entourent de myéline, s'organisent en faisceaux qui forment la substance blanche. L'ensemble des nerfs assure le transport de la motricité et des différents types de sensibilité. Il existe deux organisations largement imbriquées et interdépendantes; le système nerveux de la vie de relation et le système neurovégétatif (chargé du fonctionnement viscéral). Ce dernier différencié en système sympathique et parasympathique. Souvent cités, mais trop souvent ignorés, les nerfs crâniens représentent un passage obligé dans la compréhension du fonctionnement de l'appareil de commande de l'être humain, que constitue le système nerveux central. Prenant leurs origines, pour la majorité d'entre eux dans le tronc cérébral, ils sont au carrefour des grandes voies de conduction nerveuse dans une zone de transition: entre les hémisphères cérébraux d'où naît l'influx nerveux, et la moelle épinière d'où partent les nerfs rachidiens. Organisés en réseau intelligent, chaque unité du système nerveux central s'apprécie dans la globalité de ''ensemble et dans sa spécificité. Une description anatomique précise et détaillée s'avère donc nécessaire. En effet, ces douze paires de nerfs ont des fonctions particulières et souvent complémentaires. Ils s'organisent de façon symétrique à l'exception du nerf pneumogastrique (X), mais agissent soit en synergie, soit de façon antagoniste, toutefois leurs différentes actions visent le même objectif: l'harmonie et la coordination des grandes fonctions de l'organisme. Ce sont ces différents aspects que nous tenterons de dégager afin de comprendre dans un premier temps les conséquences médicales d'une atteinte de ces nerfs, avec les principales étiologies et les traitements actuellement proposés. Nous nous attacherons ensuite à montrer en quoi les nerfs crâniens occupent une place de choix dans la démarche ostéopathique. En effet, l'approche proposée reprend les concepts même de notre discipline, à savoir: replacer l'élément lésionnel isolé dans un contexte global, pour rétablir l'harmonie du système perturbé. La démarche ostéopathique utilisée pour aborder ces nerfs crâniens, visera à associer les différentes approches ostéopathiques ( crânienne, ostéoarticulaire, viscérale) qui, en parallèle de l'aspect médical, constituera la base de notre réflexion. Ceci aura pour objectif unique une meilleure connaissance du sujet, pour une efficacité accrue dans les éventuels protocoles thérapeutiques à envisager. Etude comparée des approches médicale et ostéopathique des nerfs crâniens [texte imprimé] / Richard Bourrel, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : SYSTEME NERVEUX SYSTEME NEURO VEGETATIF NERF CRANIEN TRONC CEREBRAL MEDECINE ALLOPATHIQUE OSTEOPATHIE CRANIENNE Résumé : Le système nerveux central (SNC) ou cérébro-spinal est constitué par l'ensemble des centres nerveux chargés d'assurer le fonctionnement des différents appareils de l'organisme. Il est relié à ces appareils par des nerfs crâniens et des nerfs rachidiens. Il comprend: la moelle épinière, le tronc cérébral, le cervelet; le cerveau; l'ensemble constituant le névraxe. L'élément de base du système nerveux est le neurone qui comprend : un corps cellulaire et des prolongements (des dendrites souvent multiples et un axone unique ). Les corps cellulaires sont groupés en amas et constituent la substance grise; les prolongements eux, s'entourent de myéline, s'organisent en faisceaux qui forment la substance blanche. L'ensemble des nerfs assure le transport de la motricité et des différents types de sensibilité. Il existe deux organisations largement imbriquées et interdépendantes; le système nerveux de la vie de relation et le système neurovégétatif (chargé du fonctionnement viscéral). Ce dernier différencié en système sympathique et parasympathique. Souvent cités, mais trop souvent ignorés, les nerfs crâniens représentent un passage obligé dans la compréhension du fonctionnement de l'appareil de commande de l'être humain, que constitue le système nerveux central. Prenant leurs origines, pour la majorité d'entre eux dans le tronc cérébral, ils sont au carrefour des grandes voies de conduction nerveuse dans une zone de transition: entre les hémisphères cérébraux d'où naît l'influx nerveux, et la moelle épinière d'où partent les nerfs rachidiens. Organisés en réseau intelligent, chaque unité du système nerveux central s'apprécie dans la globalité de ''ensemble et dans sa spécificité. Une description anatomique précise et détaillée s'avère donc nécessaire. En effet, ces douze paires de nerfs ont des fonctions particulières et souvent complémentaires. Ils s'organisent de façon symétrique à l'exception du nerf pneumogastrique (X), mais agissent soit en synergie, soit de façon antagoniste, toutefois leurs différentes actions visent le même objectif: l'harmonie et la coordination des grandes fonctions de l'organisme. Ce sont ces différents aspects que nous tenterons de dégager afin de comprendre dans un premier temps les conséquences médicales d'une atteinte de ces nerfs, avec les principales étiologies et les traitements actuellement proposés. Nous nous attacherons ensuite à montrer en quoi les nerfs crâniens occupent une place de choix dans la démarche ostéopathique. En effet, l'approche proposée reprend les concepts même de notre discipline, à savoir: replacer l'élément lésionnel isolé dans un contexte global, pour rétablir l'harmonie du système perturbé. La démarche ostéopathique utilisée pour aborder ces nerfs crâniens, visera à associer les différentes approches ostéopathiques ( crânienne, ostéoarticulaire, viscérale) qui, en parallèle de l'aspect médical, constituera la base de notre réflexion. Ceci aura pour objectif unique une meilleure connaissance du sujet, pour une efficacité accrue dans les éventuels protocoles thérapeutiques à envisager. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité emprunt 163 1.4 BOU Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Afférences neuro-végétatives et traitement de la cervicalgie chronique mécanique / Estelle NEDELEC-DEHEDIN
Titre : Afférences neuro-végétatives et traitement de la cervicalgie chronique mécanique Type de document : texte imprimé Auteurs : Estelle NEDELEC-DEHEDIN, Auteur ; Annick SEMBLAT, Directeur de la recherche Editeur : CEESO Année de publication : 2002 Importance : 135p. Présentation : ill. Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire Mots-clés : ostéopathie afférence neuro-végétative cervicalgie cervicalgie chronique mécanique système neuro-végétatif cortical tronc cérébral Résumé : Il y a quelques années, le système neuro-végétatif était principalement considéré comme un système efférent, bien que la notion d'afférence était admise, elle restait énigmatique.
Aujourd'hui à la lumière d'un livre récent sur la sensibilité viscérale, on peut affirmer que le système neuro-végétatif est un système mixte, composé d'une forte proportion de fibres afférentes qui cheminent dans les nerfs ortho et parasympathiques.
La cervicalgie chronique mécanique résulte d'une fragilité constante du rachis cervical (arthrose, séquelle d'entorse post-traumatique, trouble de la statique), mais elle présente des périodes de rémissions. La recrudescence et la persistance de la douleur sont donc déclenchées par d'autres facteurs. Certains caractères communs sont cependant retrouvés sur chaque patient : l'angoisse, le stress, l'anxiété, l'excitation ou l'énervement. Les tests mettent en évidence une tension importante au niveau des plexus cardiaque et solaire, essentiellement composés de fibres ortho et parasympathiques. Appliquer un traitement ostéopathique sur le système neuro-végétatif m'a parut s'imposer.
L'analyse qui suit va permettre de comprendre par quels mécanismes, et sans traiter les dysfonctions de la colonne cervicale; un traitement ostéopathique sur le système neuro-végétatif soulage nettement cette pathologie. L'étude suivante a été menée sur trois ans afin de réunir un nombre satisfaisant de patients. Au total, 57 patients ont été retenus, tous souffrant de cervicalgie chronique mécanique. Chaque patient a bénéficié de trois séances sur une période de 15 mois afin de mieux cerner l'évolution oscillante de la douleur, et d'apprécier l'efficacité d'un traitement ostéopathique à long terme.
(...).Afférences neuro-végétatives et traitement de la cervicalgie chronique mécanique [texte imprimé] / Estelle NEDELEC-DEHEDIN, Auteur ; Annick SEMBLAT, Directeur de la recherche . - CEESO, 2002 . - 135p. : ill.
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire Mots-clés : ostéopathie afférence neuro-végétative cervicalgie cervicalgie chronique mécanique système neuro-végétatif cortical tronc cérébral Résumé : Il y a quelques années, le système neuro-végétatif était principalement considéré comme un système efférent, bien que la notion d'afférence était admise, elle restait énigmatique.
Aujourd'hui à la lumière d'un livre récent sur la sensibilité viscérale, on peut affirmer que le système neuro-végétatif est un système mixte, composé d'une forte proportion de fibres afférentes qui cheminent dans les nerfs ortho et parasympathiques.
La cervicalgie chronique mécanique résulte d'une fragilité constante du rachis cervical (arthrose, séquelle d'entorse post-traumatique, trouble de la statique), mais elle présente des périodes de rémissions. La recrudescence et la persistance de la douleur sont donc déclenchées par d'autres facteurs. Certains caractères communs sont cependant retrouvés sur chaque patient : l'angoisse, le stress, l'anxiété, l'excitation ou l'énervement. Les tests mettent en évidence une tension importante au niveau des plexus cardiaque et solaire, essentiellement composés de fibres ortho et parasympathiques. Appliquer un traitement ostéopathique sur le système neuro-végétatif m'a parut s'imposer.
L'analyse qui suit va permettre de comprendre par quels mécanismes, et sans traiter les dysfonctions de la colonne cervicale; un traitement ostéopathique sur le système neuro-végétatif soulage nettement cette pathologie. L'étude suivante a été menée sur trois ans afin de réunir un nombre satisfaisant de patients. Au total, 57 patients ont été retenus, tous souffrant de cervicalgie chronique mécanique. Chaque patient a bénéficié de trois séances sur une période de 15 mois afin de mieux cerner l'évolution oscillante de la douleur, et d'apprécier l'efficacité d'un traitement ostéopathique à long terme.
(...).Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité emprunt 9351 2.1 NED Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Ostéopathie et sports de combats / J.L. Lachère
Titre : Ostéopathie et sports de combats Type de document : texte imprimé Auteurs : J.L. Lachère, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : TRAITEMENT SPORT BOXE ANATOMIE PHYSIOLOGIE BIOMECANIQUE THORAX TRONC CEREBRAL MUSCLE MEMBRE INFERIEUR OSTEOPATHIE STRUCTURELLE Résumé : [...]Le thème de ce mémoire sera basé sur une étude comparative entre une population témoin ne pratiquant pas ces disciplines et une population composee de sujets s'entrafnant régulièrement m,-'7is ne P'-'7rticipant pas à des compétj tions sous forme de comt'at total c'est à dire évitant tout contact violent. Cette étude perl11ettra de mi eu. Y col11prendre 1(.~ l11écanique physiologique des tet.;hniques de combat, d'en connai'tre les impératifs de fonctionnement, la nécessité d'employer 1 es amplitudes de mobilité l11a.'.'"imales et d'observer, grâce au mode la 1 d'investigations ostéopathiques si dans un sport de combat pratiqué sans violence donc sans danger .11lais oû une énergie considéra bl e est quand même dépensêe, il e.Yiste ou non un schéma de fonctionnement associ~ de façon signific,~ti ve ou des lésions osthéopathiques spécifiques qui seraient en relation avec ce sport . Le nombre de pratiquants augmentant r~gulièrement cette ~tude permet d'ouvrir une voie dans un domaine jusqu'ici reserve au. y initiés en montrant que les ostéopathes peuvent être à l'écoute de ces sportifs en ayant connaissance du sujet, et en sachant ce qu'ils peuvent leur apporter; en effet il est beaucoup plus rassur,-~nt pour eu.,," de rencontrer un thérapeute qui conn'-7isse leur langage, qui sache que leurs F'~7thologie.s è,;'e.'îtuel1es ne découlent pas forcément de la pratique de leur art. L'osthéopathe en levant les barrières articulaires, en équilibrant les tensions, permettra au sujet d'âtre beaucoup plus performant, de fonctionner au maximum de ses Câ.Dacités, car une restriction de mobilit~ si minime soit elle, F'ourra retentir sur la qualité, l'harmonie, la precision d'un geste global. Le traitement osthéopathique lui con1'êrera ainsi une plus grande aisance dans l'espace et une mai 'tri se technique accrue. L'objectif de cette recherche est d'observer si les lesions ostht:opathiques découvertes chez les pratiquants d'arts martiau.y et de sports de combat sont indépendantes de cet exercice, c'est à dire si elles sont spécifiques.. ou différentes d'un sujet à un autre dt": même que l'on peut retrouver chez n'importe qui des restrictions de mobilité, du rachis, des articulations pêriphêriques, de la sphère cranienne ou viscérale. Nous allons pour ce faire, e.Yaminer deux groupes de sujets. Le premier sera constitué de di.'.'" sportifs essentiellement des pratiquants de Bo.Ye Française. Il faut sa".oir que la Bo.ye Française est une compilation de la Bo_",e Anglaise et du Chausson Marseillais, ce qui veut dire que les techniques de poings sont identiques pour ces deu.Y types de Bo.'re. En ce qui concerne les autres sports de combat et les '-7rts martiau:-r, tous ceux qui emploient des mouvements de percussion appelés "coups", que ce soit dvec les pieds ou les poings.. utilisent les mêmes principes mécaniques. Le nom des techniques et le costume varient en fonction du pays d'origine, 11Jais à quel ques détails près les gestes sont identiques. Ce qui signifie que cette étude concerne un nombre très elet'ê de sujets. Nous citerons quelques dis:;ciplines: -La Boxe J.ran -La Boxe J-rançaise, -la Boxe Anglaise, -le Karaté, --le Kung-J-'u - 1 e Taekwon-do 1 -le Viet VD dBD, - 1 n Boxe AJ1léri caine. - la Boxe Thaï-landaise, -le Quan ki do Nous choisirons donc di. y boxeurs dont l'âge est compris entre seize et quarante ans, dont le grade est au moins "gant jaune" (ce qui correspond à la ceinture marron du karaté) et qui ont ,~u minimum quatre années d'entrai ne ment mais qui ne pratiquent pas ]t.? compétition sous forme de combat total, c'est à dire au K. O. Le deuxi ème grou pe sera composé de dix ho1111l1es, don t l' lige est compris entre seize et quarante ans et pour qui le domaine des arts m,-~rtiau.Y est total ement inconnu. Un bilan ostéopathique sera effectué sur ces vingt personnes, ,Duis nous comparerons les résultats afin d'observer d'éventuelles similitudes ou au contraire des r~sultats tout à fait disparates. Pour Jnieu.'( comprendre 1 'inocuité ou d'éventuels méc'anismes lésionnels de ces disciplines, nous allons décrire et analyser: -l'ana tonde et la physiologie des articulations concernées -les techniques e11Iployées -le Ilécanis~ art-iculaire -les principaux muscles MOTEURS-les bilans ostéopathiques des vingt sujets Ostéopathie et sports de combats [texte imprimé] / J.L. Lachère, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : TRAITEMENT SPORT BOXE ANATOMIE PHYSIOLOGIE BIOMECANIQUE THORAX TRONC CEREBRAL MUSCLE MEMBRE INFERIEUR OSTEOPATHIE STRUCTURELLE Résumé : [...]Le thème de ce mémoire sera basé sur une étude comparative entre une population témoin ne pratiquant pas ces disciplines et une population composee de sujets s'entrafnant régulièrement m,-'7is ne P'-'7rticipant pas à des compétj tions sous forme de comt'at total c'est à dire évitant tout contact violent. Cette étude perl11ettra de mi eu. Y col11prendre 1(.~ l11écanique physiologique des tet.;hniques de combat, d'en connai'tre les impératifs de fonctionnement, la nécessité d'employer 1 es amplitudes de mobilité l11a.'.'"imales et d'observer, grâce au mode la 1 d'investigations ostéopathiques si dans un sport de combat pratiqué sans violence donc sans danger .11lais oû une énergie considéra bl e est quand même dépensêe, il e.Yiste ou non un schéma de fonctionnement associ~ de façon signific,~ti ve ou des lésions osthéopathiques spécifiques qui seraient en relation avec ce sport . Le nombre de pratiquants augmentant r~gulièrement cette ~tude permet d'ouvrir une voie dans un domaine jusqu'ici reserve au. y initiés en montrant que les ostéopathes peuvent être à l'écoute de ces sportifs en ayant connaissance du sujet, et en sachant ce qu'ils peuvent leur apporter; en effet il est beaucoup plus rassur,-~nt pour eu.,," de rencontrer un thérapeute qui conn'-7isse leur langage, qui sache que leurs F'~7thologie.s è,;'e.'îtuel1es ne découlent pas forcément de la pratique de leur art. L'osthéopathe en levant les barrières articulaires, en équilibrant les tensions, permettra au sujet d'âtre beaucoup plus performant, de fonctionner au maximum de ses Câ.Dacités, car une restriction de mobilit~ si minime soit elle, F'ourra retentir sur la qualité, l'harmonie, la precision d'un geste global. Le traitement osthéopathique lui con1'êrera ainsi une plus grande aisance dans l'espace et une mai 'tri se technique accrue. L'objectif de cette recherche est d'observer si les lesions ostht:opathiques découvertes chez les pratiquants d'arts martiau.y et de sports de combat sont indépendantes de cet exercice, c'est à dire si elles sont spécifiques.. ou différentes d'un sujet à un autre dt": même que l'on peut retrouver chez n'importe qui des restrictions de mobilité, du rachis, des articulations pêriphêriques, de la sphère cranienne ou viscérale. Nous allons pour ce faire, e.Yaminer deux groupes de sujets. Le premier sera constitué de di.'.'" sportifs essentiellement des pratiquants de Bo.Ye Française. Il faut sa".oir que la Bo.ye Française est une compilation de la Bo_",e Anglaise et du Chausson Marseillais, ce qui veut dire que les techniques de poings sont identiques pour ces deu.Y types de Bo.'re. En ce qui concerne les autres sports de combat et les '-7rts martiau:-r, tous ceux qui emploient des mouvements de percussion appelés "coups", que ce soit dvec les pieds ou les poings.. utilisent les mêmes principes mécaniques. Le nom des techniques et le costume varient en fonction du pays d'origine, 11Jais à quel ques détails près les gestes sont identiques. Ce qui signifie que cette étude concerne un nombre très elet'ê de sujets. Nous citerons quelques dis:;ciplines: -La Boxe J.ran -La Boxe J-rançaise, -la Boxe Anglaise, -le Karaté, --le Kung-J-'u - 1 e Taekwon-do 1 -le Viet VD dBD, - 1 n Boxe AJ1léri caine. - la Boxe Thaï-landaise, -le Quan ki do Nous choisirons donc di. y boxeurs dont l'âge est compris entre seize et quarante ans, dont le grade est au moins "gant jaune" (ce qui correspond à la ceinture marron du karaté) et qui ont ,~u minimum quatre années d'entrai ne ment mais qui ne pratiquent pas ]t.? compétition sous forme de combat total, c'est à dire au K. O. Le deuxi ème grou pe sera composé de dix ho1111l1es, don t l' lige est compris entre seize et quarante ans et pour qui le domaine des arts m,-~rtiau.Y est total ement inconnu. Un bilan ostéopathique sera effectué sur ces vingt personnes, ,Duis nous comparerons les résultats afin d'observer d'éventuelles similitudes ou au contraire des r~sultats tout à fait disparates. Pour Jnieu.'( comprendre 1 'inocuité ou d'éventuels méc'anismes lésionnels de ces disciplines, nous allons décrire et analyser: -l'ana tonde et la physiologie des articulations concernées -les techniques e11Iployées -le Ilécanis~ art-iculaire -les principaux muscles MOTEURS-les bilans ostéopathiques des vingt sujets Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité emprunt 518 LAC Mémoire (ostéopathie) école d'ostéopathie Documentaires Exclu du prêt