Centre de Documentation et d'Information de l'Académie d'Ostéopathie
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3 recherche sur le mot-clé 'SYMBOLISME'
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Langue et ostéopathie / Frédéric Chaligne
Titre : Langue et ostéopathie Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Chaligne, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : PHILOSOPHIE CONCEPT SYMBOLISME SANTE ANATOMIE PHYSIOLOGIE EMBRYOLOGIE LANGUE CRANE FACE MASTICATION TEST CORRECTION TRAITEMENT OSTEOPATHIE CRANIENNE Résumé : La langue est un organe de structure musculeuse et muqueuse dont l'anatomie et la physiologie sont à la fois très riches et très complexes. Chargée de fonctions et de significations capitales dans les domaines psychologique, symbolique et énergétique, elle joue un rôle conformateur de première importance au niveau de la face, du crâne et donc du corps dans son ensemble tout au long du développement ontogénétique et phylogénétique de l'Homme. Dans le domaine de l'ostéopathie, l'étude de la langue nous fait découvrir une structure très intéressante. La langue, en effet, est en rapport avec de très nombreuses structures, osseuses et non osseuses, par ses insertions et ses appuis. De plus, elle joue un rôle majeur dans le système des lignes de gravité et dans celui des chaînes musculo-aponévrotiques. Elle intervient également dans le système fascial et dans celui des 3 diaphragmes, étant même considérée par Madame Viola FRYMANN comme un 4ème diaphragme. Enfin, et peut-être surtout, la langue est en relation très étroite avec les membranes duremériennes, notamment crâniennes, et de ce fait joue un rôle déterminant dans le Mécanisme Respiratoire Primaire et donc dans la circulation du liquide Céphalo-Rachidien dans le corps. Une position correcte et surtout une mobilité harmonieuse de la langue sont donc indispensables au bon fonctionnement de l'individu. Son étude et son observation par l'ostéopathe s'avèrent incontournables. En relation avec de nombreux autres professionnels de la santé, celui-ci par les tests et corrections ostéopathiques, peut apporter une aide précieuse aux patients pour que ceux -ci retrouvent le chemin de la santé. Langue et ostéopathie [texte imprimé] / Frédéric Chaligne, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : PHILOSOPHIE CONCEPT SYMBOLISME SANTE ANATOMIE PHYSIOLOGIE EMBRYOLOGIE LANGUE CRANE FACE MASTICATION TEST CORRECTION TRAITEMENT OSTEOPATHIE CRANIENNE Résumé : La langue est un organe de structure musculeuse et muqueuse dont l'anatomie et la physiologie sont à la fois très riches et très complexes. Chargée de fonctions et de significations capitales dans les domaines psychologique, symbolique et énergétique, elle joue un rôle conformateur de première importance au niveau de la face, du crâne et donc du corps dans son ensemble tout au long du développement ontogénétique et phylogénétique de l'Homme. Dans le domaine de l'ostéopathie, l'étude de la langue nous fait découvrir une structure très intéressante. La langue, en effet, est en rapport avec de très nombreuses structures, osseuses et non osseuses, par ses insertions et ses appuis. De plus, elle joue un rôle majeur dans le système des lignes de gravité et dans celui des chaînes musculo-aponévrotiques. Elle intervient également dans le système fascial et dans celui des 3 diaphragmes, étant même considérée par Madame Viola FRYMANN comme un 4ème diaphragme. Enfin, et peut-être surtout, la langue est en relation très étroite avec les membranes duremériennes, notamment crâniennes, et de ce fait joue un rôle déterminant dans le Mécanisme Respiratoire Primaire et donc dans la circulation du liquide Céphalo-Rachidien dans le corps. Une position correcte et surtout une mobilité harmonieuse de la langue sont donc indispensables au bon fonctionnement de l'individu. Son étude et son observation par l'ostéopathe s'avèrent incontournables. En relation avec de nombreux autres professionnels de la santé, celui-ci par les tests et corrections ostéopathiques, peut apporter une aide précieuse aux patients pour que ceux -ci retrouvent le chemin de la santé. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 220 1.2 CHA Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt La main et l'antiquité / Dominique Vergnaud
Titre : La main et l'antiquité Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Vergnaud, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : PHILOSOPHIE MAIN ANTIQUITE SYMBOLISME Résumé : Déjà , dans le monde greco-romains, les philosophes debattaient de l'importance de la main et de sa particularité chez l'homme. De même les plus illustres médecins, tels Hippocrate ou Galien, observaient cet appendice en en faisant une étude anatomique, bio-mécanique et pathologique, n'oubliant pas d'en codifier son utilisation médicale. En parallèle nous retrouvons aussi dans la mythologie de la Grèce et de Rome, des dieux qui avaient en charge la santé, la-guérison; tels Asclépios, Apollon, Hygié et Chiron, certains pourront se servir de leurs mains pour dispenser leurs soins, et ce par Imposition. Et le citoyen, comment percevait -il ou subissait -il la fonction et le pouvoir liés à la main? Cette main qui régit sa vie quotidienne: lors du mariage, dans l'expression de la justice, durant la guerre... Cette implication permanente du pouvoir exprimé à travers la main devait avoir une incidence inconsciente sur la manière dont il recevait les soins manuels effectués par un médecin ou par un dieu. Nous en avons retrouvé de nombreux exemples dans les lieux sacrés, surtout à Epidaure, site principal des Guérisons "Miraculeuses" mis sous la protection d'Asclépios. La main et l'antiquité [texte imprimé] / Dominique Vergnaud, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : PHILOSOPHIE MAIN ANTIQUITE SYMBOLISME Résumé : Déjà , dans le monde greco-romains, les philosophes debattaient de l'importance de la main et de sa particularité chez l'homme. De même les plus illustres médecins, tels Hippocrate ou Galien, observaient cet appendice en en faisant une étude anatomique, bio-mécanique et pathologique, n'oubliant pas d'en codifier son utilisation médicale. En parallèle nous retrouvons aussi dans la mythologie de la Grèce et de Rome, des dieux qui avaient en charge la santé, la-guérison; tels Asclépios, Apollon, Hygié et Chiron, certains pourront se servir de leurs mains pour dispenser leurs soins, et ce par Imposition. Et le citoyen, comment percevait -il ou subissait -il la fonction et le pouvoir liés à la main? Cette main qui régit sa vie quotidienne: lors du mariage, dans l'expression de la justice, durant la guerre... Cette implication permanente du pouvoir exprimé à travers la main devait avoir une incidence inconsciente sur la manière dont il recevait les soins manuels effectués par un médecin ou par un dieu. Nous en avons retrouvé de nombreux exemples dans les lieux sacrés, surtout à Epidaure, site principal des Guérisons "Miraculeuses" mis sous la protection d'Asclépios. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 923 VER Mémoire (ostéopathie) école d'ostéopathie Documentaires Exclu du prêt De la tradition à l'ostéopathie : lecture symbolique du corps et discernement intuitif pour une autre relation ostéopathique / Stéphan Bonneau
Titre : De la tradition à l'ostéopathie : lecture symbolique du corps et discernement intuitif pour une autre relation ostéopathique Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphan Bonneau, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : TRAITEMENT PSYCHOLOGIE COMMUNICATION NON VERBALE PATIENT THERAPEUTE SYMBOLISME ASSOCIATION CORPS INTUITION Résumé : Puisque la relation thérapeutique "soignant/soigné", aussi superficielle soit-elle, ne peut exister que grâce à des systèmes de communication plus ou moins fins entre les protagonistes (l'un exprime son malaise et le désir d'entre être guéri, l'autre propose ou impose une solution ; il me paraît intéressant de vous proposer, comme introduction à ce chapitre, cette réflexion: "la communication n'est pas une activité humaine en plus.. c'est l'activité humaine par excellence (7). Ainsi donc, dans notre pratique quotidienne, la phase d'écoute du patient sera primordiale et gagnera beaucoup en respectant certains paramètres comme : . venir au niveau de communication du patient pour aborder sa "bulle relationnelle" avec son agrément; sans violence, . savoir écouter, sans projeter un modèle causal de la pathogénie, tiré de notre "savoir", . enrichir l'anamnèse par l'écoute de "non-dits " que livre le langage du corps à travers ses symbolismes ( cf chapitre II), et qu'expriment certaines verbalisations discrètes ( choix des mots, associations de mots, réminiscences pendant l'acte de toucher thérapeutique ou informatif), . s'impliquer dans une "présence vraie" comme le suggère, par exemple, P.TRICOT en mettant en place des paramètres palpatoires précis lors de la communication entre l'ostéopathe et le système des fascias. Cette sincérité dans le désir de connaître pour guérir fait toute la différence entre une technicité, même excellente, et la thérapie attendue par le patient. Un des axes de travail habituels de l'ostéopathe, qui est de savoir que la cause primordiale d'un symptôme douloureux, peut ne pas être là où la situe trop souvent une vision simpliste de la pathogénie ( c'est-à -dire en coïncidence exacte avec le niveau de la manifestation) se retrouve exprimé, bien qu'un peu différemment, dans la définition que le mathématicien N. WIENER donne en 1942 de la cybernétique, à savoir : "Les relations que les phénomènes et les objets entretiennent entre eux sont plus importantes que le contenu de ces phénomènes et de ces objets". Pour nous, la communication, en tant que réception d'une intimité, souvent douloureuse, va se faire grâce à nos MAINS. Mais celles-ci n'agissent pas de façon autonome, elles restent en permanence reliées à : - nos oreilles qui recueillent "l'histoire" du patient et constituent le niveau d'écoute auditive, - notre esprit/intellect qui permet de créer un lien entre les perceptions manuelles et ce qu'elles signifient au plan anatomo-physiologique. Ce niveau de rationalisation de l'écoute palpatoire nécessite une bonne connaissance biomédicale du corps pour une visualisation précise des dysfonctions somatiques,- notre coeur spirituel, prolongement direct des mains qui voient, si le thérapeute est capable de compassion. A ce niveau de perception l'intuition devient lumineuse et permet d'accéder à la relation que la maladie entretient avec les archétypes ( ce que JUNG appelle l'insconscient collectif) ou avec le vécu émotionnel du patient. C'est l'intégration de ces différents niveaux de connaissance qui va aider le thérapeute à rester juste et sincère dans l'appréciation des informations palpatoires et sensorielles sans glisser vers une forme d'ésotérisme souvent difficile à gérer. Il aura alors conscience d'avoir fait son maximum pour aider son patient et, du degré de participation et d'implication de celui-ci au processus de rééquilibrage, dépendra alors la perennité de la guérison. L'outil privilégié de "communication" qu'est pour nous la MAIN peut donc être considéré, ainsi que le propose B. Ducoux, comme un organe sensoriel décentralisé puisqu'il permet de créer instantanément une relation entre notre "ESPRIT/COEUR" et n'importe quelle partie du corps du patient. En Hébreu, la main se dit YAD et le verbe connaître est construit sur cette racine pour donner YADA, qui se décompose en y AD (la main) et A (la lettre ayin qui signifie oeil). Pour les Anciens la main est donc douée de vision, de même que l'oeil possède une dimension de toucher. Elle est aussi douée du pouvoir de soulager, voire de guérir, que l'on retrouve dans la main protectrice de FA IIMA chez les musulmans, ainsi que dans les médecines chamaniques disséminées un peu partout dans notre monde. Et ce sont ces pouvoirs que, plus ou moins inconsciemment, nos patients nous reconnaissent. Bien que vivant, comme nous, dans une civilisation où la pensée se doit d'être exclusivement objective et rationnelle et où le toucher est sévèrement négativé par des moeurs dont les tabous ont creusé de véritables fossés entre les épidermes, ils donnent leur confiance à une thérapie manuelle. Ils acceptent le contact tactile dans le cadre confidentiel d'une relation thérapeutique sans avoir, bien souvent, conscience qu'ils autorisent l'accès tout autant à leur psyché qu'à leur "corps-enveloppe". Ce sera donc à nous, thérapeutes privilégiés, d'avoir suffisamment de tact et de lucidité pour que chacun, praticien et patient, se sache à sa place exacte et s'y sente bien. De la tradition à l'ostéopathie : lecture symbolique du corps et discernement intuitif pour une autre relation ostéopathique [texte imprimé] / Stéphan Bonneau, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : TRAITEMENT PSYCHOLOGIE COMMUNICATION NON VERBALE PATIENT THERAPEUTE SYMBOLISME ASSOCIATION CORPS INTUITION Résumé : Puisque la relation thérapeutique "soignant/soigné", aussi superficielle soit-elle, ne peut exister que grâce à des systèmes de communication plus ou moins fins entre les protagonistes (l'un exprime son malaise et le désir d'entre être guéri, l'autre propose ou impose une solution ; il me paraît intéressant de vous proposer, comme introduction à ce chapitre, cette réflexion: "la communication n'est pas une activité humaine en plus.. c'est l'activité humaine par excellence (7). Ainsi donc, dans notre pratique quotidienne, la phase d'écoute du patient sera primordiale et gagnera beaucoup en respectant certains paramètres comme : . venir au niveau de communication du patient pour aborder sa "bulle relationnelle" avec son agrément; sans violence, . savoir écouter, sans projeter un modèle causal de la pathogénie, tiré de notre "savoir", . enrichir l'anamnèse par l'écoute de "non-dits " que livre le langage du corps à travers ses symbolismes ( cf chapitre II), et qu'expriment certaines verbalisations discrètes ( choix des mots, associations de mots, réminiscences pendant l'acte de toucher thérapeutique ou informatif), . s'impliquer dans une "présence vraie" comme le suggère, par exemple, P.TRICOT en mettant en place des paramètres palpatoires précis lors de la communication entre l'ostéopathe et le système des fascias. Cette sincérité dans le désir de connaître pour guérir fait toute la différence entre une technicité, même excellente, et la thérapie attendue par le patient. Un des axes de travail habituels de l'ostéopathe, qui est de savoir que la cause primordiale d'un symptôme douloureux, peut ne pas être là où la situe trop souvent une vision simpliste de la pathogénie ( c'est-à -dire en coïncidence exacte avec le niveau de la manifestation) se retrouve exprimé, bien qu'un peu différemment, dans la définition que le mathématicien N. WIENER donne en 1942 de la cybernétique, à savoir : "Les relations que les phénomènes et les objets entretiennent entre eux sont plus importantes que le contenu de ces phénomènes et de ces objets". Pour nous, la communication, en tant que réception d'une intimité, souvent douloureuse, va se faire grâce à nos MAINS. Mais celles-ci n'agissent pas de façon autonome, elles restent en permanence reliées à : - nos oreilles qui recueillent "l'histoire" du patient et constituent le niveau d'écoute auditive, - notre esprit/intellect qui permet de créer un lien entre les perceptions manuelles et ce qu'elles signifient au plan anatomo-physiologique. Ce niveau de rationalisation de l'écoute palpatoire nécessite une bonne connaissance biomédicale du corps pour une visualisation précise des dysfonctions somatiques,- notre coeur spirituel, prolongement direct des mains qui voient, si le thérapeute est capable de compassion. A ce niveau de perception l'intuition devient lumineuse et permet d'accéder à la relation que la maladie entretient avec les archétypes ( ce que JUNG appelle l'insconscient collectif) ou avec le vécu émotionnel du patient. C'est l'intégration de ces différents niveaux de connaissance qui va aider le thérapeute à rester juste et sincère dans l'appréciation des informations palpatoires et sensorielles sans glisser vers une forme d'ésotérisme souvent difficile à gérer. Il aura alors conscience d'avoir fait son maximum pour aider son patient et, du degré de participation et d'implication de celui-ci au processus de rééquilibrage, dépendra alors la perennité de la guérison. L'outil privilégié de "communication" qu'est pour nous la MAIN peut donc être considéré, ainsi que le propose B. Ducoux, comme un organe sensoriel décentralisé puisqu'il permet de créer instantanément une relation entre notre "ESPRIT/COEUR" et n'importe quelle partie du corps du patient. En Hébreu, la main se dit YAD et le verbe connaître est construit sur cette racine pour donner YADA, qui se décompose en y AD (la main) et A (la lettre ayin qui signifie oeil). Pour les Anciens la main est donc douée de vision, de même que l'oeil possède une dimension de toucher. Elle est aussi douée du pouvoir de soulager, voire de guérir, que l'on retrouve dans la main protectrice de FA IIMA chez les musulmans, ainsi que dans les médecines chamaniques disséminées un peu partout dans notre monde. Et ce sont ces pouvoirs que, plus ou moins inconsciemment, nos patients nous reconnaissent. Bien que vivant, comme nous, dans une civilisation où la pensée se doit d'être exclusivement objective et rationnelle et où le toucher est sévèrement négativé par des moeurs dont les tabous ont creusé de véritables fossés entre les épidermes, ils donnent leur confiance à une thérapie manuelle. Ils acceptent le contact tactile dans le cadre confidentiel d'une relation thérapeutique sans avoir, bien souvent, conscience qu'ils autorisent l'accès tout autant à leur psyché qu'à leur "corps-enveloppe". Ce sera donc à nous, thérapeutes privilégiés, d'avoir suffisamment de tact et de lucidité pour que chacun, praticien et patient, se sache à sa place exacte et s'y sente bien. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 146 BON Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt
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