Titre : |
Pour un sourire ... : ou la cohésion ostéopathie-orthodontie |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
GIRARD Eric, Auteur |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Mémoire :autres
|
Mots-clés : |
SOCIOLOGIE ENFANT OSTEOPATHIE CRANIENNE EMBRYOLOGIE ANATOMIE PHYSIOLOGIE SPHERE O.R.L. FACE CAVITE BUCCALE SPHERE OCULAIRE SPHERE AUDITIVE SPHERE OLFACTIVE TRAITEMENT ORTHODONTIE POSTUROLOGIE |
Résumé : |
Quelle plus belle chose que le sourire d'un enfant? Il est pourtant un élément qui peut tout remettre en question. Les comportements divergent alors, au point de ne pas en tenir compte durant toute la croissance de l'enfant. A l'inverse, le déséquilibre devient le sujet de toutes les discussions à la sortie de l'école ou lors du repas de famille. Au départ simple décalage, la maI position dentaire devient alors la cible de toutes les railleries dans la cour de récréation, finissant par handicaper l'enfant dans la vie de tous les jours. Solution incontournable de ce fléau de la fin du vingtième siècle pour bon nombre de jeunes adolescents: l'orthodontie. Sans parler de mode, cette spécialité médicale semble être devenue chose commune: qui n'a pas vu au moins une fois dans sa vie un enfant affublé de l'un de ces appareils buccaux ? Contrairement à ce que l'on pourrait penser, la pause de ces derniers n'est pas uniquement utilisée à des fIns esthétiques. Elle peut permettre en l'occurrence d'améliorer et d'assurer un meilleur fonctionnement de la cavité buccale ou du corps dans son ensemble. Science simple aux yeux de certains qui permet uniquement d'aligner ou de rapprocher les dents, elle peut pourtant paraître plus compliquée pour d'autres. Selon le professeur Jean R. Fraudet, l'orthopédie dento-faciale intéresse en effet non seulement les dents, mais aussi les os maxillaires qui les supportent, la face, la tête, et, par l'intermédiaire de la colonne vertébrale, le corps tout entier. La musculature, le système nerveux, jouent aussi un rôle très important, plus subtil bien qu'apparemment moins évident, ce qui les fait négliger par certains praticiens. Cette vision holistique développée par ce spécialiste semble très proche des fondements philosophiques de l'ostéopathie. Une question primordiale se pose alors: " Quelles peuvent être les conséquences de l'installation d'un appareillage orthodontique fixe ou amovible, à plus ou moins long terme ? " Le traitement, s'étalant en général sur deux ans au maximum, a-t-il des effets néfastes sur le fonctionnement du crâne, mais aussi sur l'équilibre du corps. Quelles sont alors les structures mises en souffrance selon un type donné d'appareillage? Plutôt que de se renvoyer la balle sur les méfaits ou sur le bien-fondé de l'appareillage, cette étude se propose de mettre en accord les connaissances des deux parties afin qu'en ressorte un traitement conjoint dans l'intérêt unique du patient. Le suivi, ainsi assuré, doit permettre à l'enfant, voir l'adulte dans certains cas, de mieux ;upporter l'appareil. Après analyse des informations recueillies lors de l'anamnèse, les tests et le traitement suivront un plan défini par le protocole. Il consiste ainsi, en une observation et une correction des dysfonctions rencontrées aussi bien sur l'axe crânio-sacré dans un premier temps, que sur l'ensemble du complexe musculo-squelettique dans un deuxième. Cet apport ostéopathique se proposera donc de réduire les plaintes des patients, mais aussi d'accompagner le traitement orthoaonuque traaluonnel aans le but de l'activer. |
Pour un sourire ... : ou la cohésion ostéopathie-orthodontie [texte imprimé] / GIRARD Eric, Auteur . - [s.d.]. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Mémoire :autres
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Mots-clés : |
SOCIOLOGIE ENFANT OSTEOPATHIE CRANIENNE EMBRYOLOGIE ANATOMIE PHYSIOLOGIE SPHERE O.R.L. FACE CAVITE BUCCALE SPHERE OCULAIRE SPHERE AUDITIVE SPHERE OLFACTIVE TRAITEMENT ORTHODONTIE POSTUROLOGIE |
Résumé : |
Quelle plus belle chose que le sourire d'un enfant? Il est pourtant un élément qui peut tout remettre en question. Les comportements divergent alors, au point de ne pas en tenir compte durant toute la croissance de l'enfant. A l'inverse, le déséquilibre devient le sujet de toutes les discussions à la sortie de l'école ou lors du repas de famille. Au départ simple décalage, la maI position dentaire devient alors la cible de toutes les railleries dans la cour de récréation, finissant par handicaper l'enfant dans la vie de tous les jours. Solution incontournable de ce fléau de la fin du vingtième siècle pour bon nombre de jeunes adolescents: l'orthodontie. Sans parler de mode, cette spécialité médicale semble être devenue chose commune: qui n'a pas vu au moins une fois dans sa vie un enfant affublé de l'un de ces appareils buccaux ? Contrairement à ce que l'on pourrait penser, la pause de ces derniers n'est pas uniquement utilisée à des fIns esthétiques. Elle peut permettre en l'occurrence d'améliorer et d'assurer un meilleur fonctionnement de la cavité buccale ou du corps dans son ensemble. Science simple aux yeux de certains qui permet uniquement d'aligner ou de rapprocher les dents, elle peut pourtant paraître plus compliquée pour d'autres. Selon le professeur Jean R. Fraudet, l'orthopédie dento-faciale intéresse en effet non seulement les dents, mais aussi les os maxillaires qui les supportent, la face, la tête, et, par l'intermédiaire de la colonne vertébrale, le corps tout entier. La musculature, le système nerveux, jouent aussi un rôle très important, plus subtil bien qu'apparemment moins évident, ce qui les fait négliger par certains praticiens. Cette vision holistique développée par ce spécialiste semble très proche des fondements philosophiques de l'ostéopathie. Une question primordiale se pose alors: " Quelles peuvent être les conséquences de l'installation d'un appareillage orthodontique fixe ou amovible, à plus ou moins long terme ? " Le traitement, s'étalant en général sur deux ans au maximum, a-t-il des effets néfastes sur le fonctionnement du crâne, mais aussi sur l'équilibre du corps. Quelles sont alors les structures mises en souffrance selon un type donné d'appareillage? Plutôt que de se renvoyer la balle sur les méfaits ou sur le bien-fondé de l'appareillage, cette étude se propose de mettre en accord les connaissances des deux parties afin qu'en ressorte un traitement conjoint dans l'intérêt unique du patient. Le suivi, ainsi assuré, doit permettre à l'enfant, voir l'adulte dans certains cas, de mieux ;upporter l'appareil. Après analyse des informations recueillies lors de l'anamnèse, les tests et le traitement suivront un plan défini par le protocole. Il consiste ainsi, en une observation et une correction des dysfonctions rencontrées aussi bien sur l'axe crânio-sacré dans un premier temps, que sur l'ensemble du complexe musculo-squelettique dans un deuxième. Cet apport ostéopathique se proposera donc de réduire les plaintes des patients, mais aussi d'accompagner le traitement orthoaonuque traaluonnel aans le but de l'activer. |
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