6 recherche sur le mot-clé 'SCIENCE'

Ostéopathie science et conscience ou intégration épistémologique de la main et de la sémantique en ostéopathie appliquée / Emmanuel Voisard

Public ISBD Titre : Ostéopathie science et conscience ou intégration épistémologique de la main et de la sémantique en ostéopathie appliquée Type de document : texte imprimé Auteurs : Emmanuel Voisard, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : PHILOSOPHIE  CONCEPT  SCIENCE  CONSCIENCE  AUTOGUERISON  STRUCTURE  EPISTEMOLOGIE  SEMANTIQUE  MAIN Résumé : Tout au long de son avancée à travers les époques "ostéopathie est restée en marge du domaine médical. Son concept est né alors que les hommes de science travaillaient sans relâche afin d'expliquer par des lois les phénomènes de la nature et en particulier ceux concernant la vie: on recherchait les bases de la physiologie support indispensable d'une médecine allopathique en devenir. Avant même que les chercheurs de la première moitié du XVI"e siècle connaissent les structures élémentaires de l'être humain, les esprits chagrins de ce temps là furent déjà choqués par le concept d'A.T. STILL. Les arguments qu'ils purent avancer alors pour s'opposer au concept ostéopathique auraient fait sourire à la fin de ce même siècle. En 1990, étant donné le développement des sciences fondamentales dans le sens de la théorie des systèmes issue de la thermodynamique, de la cybernétique, etc... notre concept thérapeutique apparaît d'autant plus vrai que l'unité biochimique, l'unité biomécanique, l'unité neuro-psychique... ont acquis par la science le critère d'évidence, même si toutes les relations permettant cette unité sont loin d'être c/airemen [...]Ce document propose de retrouver les principes qui dirigent nos interventions manuelles quelle que soit la variété des approches ostéopathiques. De plus nous chercherons à définir à quelles structures s'appliquent nos différentes techniques que ce soient le thrust, les techniques musculaires ou les techniques fasciales. A partir de là nous pourrons plus clairement orienter notre réflexion sur les thèmes fondamentaux permettant de nous rapprocher de l'idéal ostéopatique décrit par STILL et développé par W.G. SUTHERLAND, DEJARNElTE, H. FRYElTE, F. MITCHELL, R. BECKER,... etc... Pour cela réfléchir sur le principe d'autoguérison présent dans la structure vivante et plus précisément véhiculé par le système nerveux, fondement de l'unité organique semble un préalable indispensable. De même discuter de l'exercice perceptuel intégrant la main et le cerveau ou état de conscience comme traducteur d'une réalité représente la deuxième étape pour comprendre l'orientation que doit prendre le thérapeute afin d'améliorer la profondeur de son intervention ou sa dimension ostéopathique. L'intérêt d'une telle méditation dans le cadre d'un mémoire pour l'obtention du diplôme d'ostéopathie se justifie par le souci de rechercher la vérité du concept Stillien. Celle-ci comme nous l'avons expliqué plus haut peut concerner la vérification expérimentale de ce que nous affirmons en isolant volontairement une partie de notre expression thérapeutique. Mais cette recherche de la vérité peut et doit aussi s'appliquer au discours qui relate notre démarche ostéopathique, aussi bien dans l'explication des différentes approches que dans les axiomes qui dirigent notre concept. C'est sur ce dernier aspect que nous nous sommes attardé ici souhaitant qu'il soulève les vrais questions que devrait se poser chacun d'entre nous, soit celles portant sur l'essence de: donc... :. Ostéopathie science et conscience ou intégration épistémologique de la main et de la sémantique en ostéopathie appliquée [texte imprimé] / Emmanuel Voisard, Auteur . - [s.d.]. Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : PHILOSOPHIE  CONCEPT  SCIENCE  CONSCIENCE  AUTOGUERISON  STRUCTURE  EPISTEMOLOGIE  SEMANTIQUE  MAIN Résumé : Tout au long de son avancée à travers les époques "ostéopathie est restée en marge du domaine médical. Son concept est né alors que les hommes de science travaillaient sans relâche afin d'expliquer par des lois les phénomènes de la nature et en particulier ceux concernant la vie: on recherchait les bases de la physiologie support indispensable d'une médecine allopathique en devenir. Avant même que les chercheurs de la première moitié du XVI"e siècle connaissent les structures élémentaires de l'être humain, les esprits chagrins de ce temps là furent déjà choqués par le concept d'A.T. STILL. Les arguments qu'ils purent avancer alors pour s'opposer au concept ostéopathique auraient fait sourire à la fin de ce même siècle. En 1990, étant donné le développement des sciences fondamentales dans le sens de la théorie des systèmes issue de la thermodynamique, de la cybernétique, etc... notre concept thérapeutique apparaît d'autant plus vrai que l'unité biochimique, l'unité biomécanique, l'unité neuro-psychique... ont acquis par la science le critère d'évidence, même si toutes les relations permettant cette unité sont loin d'être c/airemen [...]Ce document propose de retrouver les principes qui dirigent nos interventions manuelles quelle que soit la variété des approches ostéopathiques. De plus nous chercherons à définir à quelles structures s'appliquent nos différentes techniques que ce soient le thrust, les techniques musculaires ou les techniques fasciales. A partir de là nous pourrons plus clairement orienter notre réflexion sur les thèmes fondamentaux permettant de nous rapprocher de l'idéal ostéopatique décrit par STILL et développé par W.G. SUTHERLAND, DEJARNElTE, H. FRYElTE, F. MITCHELL, R. BECKER,... etc... Pour cela réfléchir sur le principe d'autoguérison présent dans la structure vivante et plus précisément véhiculé par le système nerveux, fondement de l'unité organique semble un préalable indispensable. De même discuter de l'exercice perceptuel intégrant la main et le cerveau ou état de conscience comme traducteur d'une réalité représente la deuxième étape pour comprendre l'orientation que doit prendre le thérapeute afin d'améliorer la profondeur de son intervention ou sa dimension ostéopathique. L'intérêt d'une telle méditation dans le cadre d'un mémoire pour l'obtention du diplôme d'ostéopathie se justifie par le souci de rechercher la vérité du concept Stillien. Celle-ci comme nous l'avons expliqué plus haut peut concerner la vérification expérimentale de ce que nous affirmons en isolant volontairement une partie de notre expression thérapeutique. Mais cette recherche de la vérité peut et doit aussi s'appliquer au discours qui relate notre démarche ostéopathique, aussi bien dans l'explication des différentes approches que dans les axiomes qui dirigent notre concept. C'est sur ce dernier aspect que nous nous sommes attardé ici souhaitant qu'il soulève les vrais questions que devrait se poser chacun d'entre nous, soit celles portant sur l'essence de: donc... :.

Exemplaires(1)

Code-barres	emprunt	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
941	VOI	Mémoire (ostéopathie)	école d'ostéopathie	Documentaires	Exclu du prêt

L'ostéopathie, science sacrée, science de vie / GARRIVET Jean-Pierre

Public ISBD Titre : L'ostéopathie, science sacrée, science de vie Type de document : texte imprimé Auteurs : GARRIVET Jean-Pierre, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : PHILOSOPHIE  CONCEPT  SCIENCE  HISTOIRE  STILL  ABEHSERA  MEDECINE AYURVEDIQUE  POSTURE  POSTUROLOGIE  PHYSIOLOGIE  RESPIRATION  YOGA Résumé : Il nous a semblé utile, pour un ostéopathe de la fin du 20ème siècle, alors que l'ostéopathie présente un visage éclaté en diverses expressions, structurelle. fonctionnelle, fluidique, cranio-sacrée, Ecole Anglaise, fasciathérapie, éthiopathie...de faire un retour à celui qui, le 22 juin 1874 à lOh a annoncé officiellement au monde la naissance de cette médecine, le docteur Andrew Taylor STILL. C'est grâce au merveilleux et incontournable livre du Docteur Alain ABEHSERA, Traité de Médecine Ostéopathique, Tome l,que nous avons redécouvert et aimé ce personnage légendaire si mal connu et mal compris auparavant. Ce retour aux sources est un peu comme lorsque l'on commence à gratter un meuble dont la peinture est écaillée, on est entraIné à aller toujours plus en profondeur. Alain ABEHSERA nous fournit d'intéressantes informations ur la médecine contemporaine et antérieure à STILL. envie de remonter encore plus loin dans le temps, environ 27 siécles avant la création de l 'ostéopathie, c'est à dire à l'époque de CARAKA (8¯ siécle avant J-C),auteur de la CARAKA SAMHITA, l'un des deux textes fondamentaux de la médecine Ayurvédique. Nous y avons trouvé l'universalité de la pensée stllienne,et aussi autre chose qui nous a été offerte,quelques mois avant sa mort par le professeur KRISHNAMACHARYA dont l'enseignement nous est transmis par l'intermédiaire de son fils et élève T.K.V. DESIKACHAR de Madras (Inde). Docteur STILL,la recherche du Docteur ABEHSERA pour redonner véritable place à l'ostéopathie en tenant compte des données historiques de la Médecine,et l'enseignement du Professeur KRISHNAMACHARYA qui a su concevoir une thérapie globaliste et humaniste, que je vous propose de découvrir dans ce MémoireSur le plan de la pratique, l 'ostéopathe s'entend souvent poser cette question à la fin de son traitement : "Qu'est-ce que je peux faire comme activité physique, comme sport, pour maintenir le travail que vous avez fait et ne pas tout déséquilibrer? ", ou plus pécisément : "Quels sont les exercices que je peux faire...",pour les mêmes raisons. Il semble logique que l'ostéopathe ait une réponse adaptée et précise, qu'il s'interroge sur "l'aprés" de son traitement, sur le devenir de son patient et plus globalement sur la relation qui va s' établir entre deux consultations, parfois annuelles, si tout va bien. Nous traitons sur un plan physique. respiratoire et aussi, puisque nous pratiquons une thérapie globaliste,sur un plan mental. Remis en équilibre sur ces trois plans, le patient cherche légitimement à s'y maintenir grâce à nos conseils. Nous pensons que l'éclairage de l'Ostéopathie que nous proposons dans ce mémoire, permettra d'aider à résoudre ce problème et d'être, dans l'esprit de STILL, en dehors de la séance proprement dite, un conseiller utile. Pour ce faire, nous sommes partis des principes de l' Ostéopathie, "science sacrée'", émis par le docteur STILL en dégageant ce qu'ils avaient d'universels (chapitre l),nous avons situé l'Ostéopathie dans son contexte historique récent, grâce au travail du docteur ABEHSERA (chapitre 2),puis nous sommes allés plus loin dans le temps pour retrouver l'universaIité des principes de STILL dans la médecine Ayurvédique (chapitre 3 et 4),nous avons éssayé de démontrer la relation entre cette médecine, "science de vie" , et le Yoga, "hygiéne de vie" (chapitre 5),pour finalemnt amener l'Ostéopathie à travers la de Godeliève STRUYF et sa méthode des chaînes musculaires ( b), L'ostéopathie, science sacrée, science de vie [texte imprimé] / GARRIVET Jean-Pierre, Auteur . - [s.d.]. Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : PHILOSOPHIE  CONCEPT  SCIENCE  HISTOIRE  STILL  ABEHSERA  MEDECINE AYURVEDIQUE  POSTURE  POSTUROLOGIE  PHYSIOLOGIE  RESPIRATION  YOGA Résumé : Il nous a semblé utile, pour un ostéopathe de la fin du 20ème siècle, alors que l'ostéopathie présente un visage éclaté en diverses expressions, structurelle. fonctionnelle, fluidique, cranio-sacrée, Ecole Anglaise, fasciathérapie, éthiopathie...de faire un retour à celui qui, le 22 juin 1874 à lOh a annoncé officiellement au monde la naissance de cette médecine, le docteur Andrew Taylor STILL. C'est grâce au merveilleux et incontournable livre du Docteur Alain ABEHSERA, Traité de Médecine Ostéopathique, Tome l,que nous avons redécouvert et aimé ce personnage légendaire si mal connu et mal compris auparavant. Ce retour aux sources est un peu comme lorsque l'on commence à gratter un meuble dont la peinture est écaillée, on est entraIné à aller toujours plus en profondeur. Alain ABEHSERA nous fournit d'intéressantes informations ur la médecine contemporaine et antérieure à STILL. envie de remonter encore plus loin dans le temps, environ 27 siécles avant la création de l 'ostéopathie, c'est à dire à l'époque de CARAKA (8¯ siécle avant J-C),auteur de la CARAKA SAMHITA, l'un des deux textes fondamentaux de la médecine Ayurvédique. Nous y avons trouvé l'universalité de la pensée stllienne,et aussi autre chose qui nous a été offerte,quelques mois avant sa mort par le professeur KRISHNAMACHARYA dont l'enseignement nous est transmis par l'intermédiaire de son fils et élève T.K.V. DESIKACHAR de Madras (Inde). Docteur STILL,la recherche du Docteur ABEHSERA pour redonner véritable place à l'ostéopathie en tenant compte des données historiques de la Médecine,et l'enseignement du Professeur KRISHNAMACHARYA qui a su concevoir une thérapie globaliste et humaniste, que je vous propose de découvrir dans ce MémoireSur le plan de la pratique, l 'ostéopathe s'entend souvent poser cette question à la fin de son traitement : "Qu'est-ce que je peux faire comme activité physique, comme sport, pour maintenir le travail que vous avez fait et ne pas tout déséquilibrer? ", ou plus pécisément : "Quels sont les exercices que je peux faire...",pour les mêmes raisons. Il semble logique que l'ostéopathe ait une réponse adaptée et précise, qu'il s'interroge sur "l'aprés" de son traitement, sur le devenir de son patient et plus globalement sur la relation qui va s' établir entre deux consultations, parfois annuelles, si tout va bien. Nous traitons sur un plan physique. respiratoire et aussi, puisque nous pratiquons une thérapie globaliste,sur un plan mental. Remis en équilibre sur ces trois plans, le patient cherche légitimement à s'y maintenir grâce à nos conseils. Nous pensons que l'éclairage de l'Ostéopathie que nous proposons dans ce mémoire, permettra d'aider à résoudre ce problème et d'être, dans l'esprit de STILL, en dehors de la séance proprement dite, un conseiller utile. Pour ce faire, nous sommes partis des principes de l' Ostéopathie, "science sacrée'", émis par le docteur STILL en dégageant ce qu'ils avaient d'universels (chapitre l),nous avons situé l'Ostéopathie dans son contexte historique récent, grâce au travail du docteur ABEHSERA (chapitre 2),puis nous sommes allés plus loin dans le temps pour retrouver l'universaIité des principes de STILL dans la médecine Ayurvédique (chapitre 3 et 4),nous avons éssayé de démontrer la relation entre cette médecine, "science de vie" , et le Yoga, "hygiéne de vie" (chapitre 5),pour finalemnt amener l'Ostéopathie à travers la de Godeliève STRUYF et sa méthode des chaînes musculaires ( b),

Exemplaires(1)

Code-barres	emprunt	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
426	GAR	Mémoire (ostéopathie)	école d'ostéopathie	Documentaires	Exclu du prêt

Le crâne bouge ! perspective ou réalité ? / Jacques Bonnier

Public ISBD Titre : Le crâne bouge ! perspective ou réalité ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Bonnier, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : OSTEOPATHIE CRANIENNE  RECONNAISSANCE  PHILOSOPHIE  EVOLUTION  SCIENCE Résumé : Le crâne boite rigide ?, sphère vivante et génératrice de vie et de pathologie ? sphère d'adaptation ou bien sphère de Mysticisme? La question aussi brutale et agressive soit-elle, m'a toujours semblée, bien que jeune ostéopathe, nécessaire à poser. En effet, à notre époque scientifique de rigueur expérimentale, il m'est apparu nécessaire ainsi qu'à toute l'équipe avec qui j'ai eu la chance de travailler, d'essayer d'apporter le premier maillon nécessaire aux ostéopathes qui travaillent le crâne : la preuve scientifique de la mobilité de ce dernier. Loin de moi l'idée de remettre en cause la perception de la main qui connait et sait beaucoup de choses encore ignorées de la science", mais simplement dans un contexte de dénigrement du corps médical officiel, mais aussi dans un but de valorisation de l'ostéopathie, d'apporter un support scientifique indispensable à toute forme de crédibilité. Comment pouvons-nous en effet affirmer, sans être critiquables que nous corrigeons les "articulations" du crâne, même si les résultats le prouvent, sans apporter la preuve même du mouvement fondamental de base qu'est la flexion extension. Il m'est arrivé bien souvent, étant étudiant, et encore plus maintenant en qualité de professionnel de me poser la question suivante au même titre que nous avons parfois reproché à certains de perdre une vision simple et naturelle des faits, ne serions-nous pas en train de filer vers des affirmations parfois limites et qui risquent à l'avenir d'être difficilement défendables, et ainsi de nous faire perdre toute crédibilité face à notre clientèle. Notre consoeur lionnelle Lessartel n'a-t-elle pas dit "Ie mouvement de base est la flexion extension, apprenons à bien palper ce dernier, à bien le travailler, et s'il devient harmonieux, le reste le devient". N'est-ce pas la voie de la sagesse: simplicité et modération? Je sais que par cette introduction, certains vont être tentés d'arrêter la lecture, mais que ceux ci sachent que ce travail a été fait dans un esprit ostéopathique, et pour servir l'ostéopathie. Mais je pense aussi, que pour que cette dernière progresse et soit crédible, il est parfois nécessaire que les théories soient un peu bousculées, tout en respectant le travail de nos maîtres. Rien n'est immuable, le corps humain en est la preuve, alors il faut qu'il en soit de même des théories. Le crâne bouge ! perspective ou réalité ? [texte imprimé] / Jacques Bonnier, Auteur . - [s.d.]. Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : OSTEOPATHIE CRANIENNE  RECONNAISSANCE  PHILOSOPHIE  EVOLUTION  SCIENCE Résumé : Le crâne boite rigide ?, sphère vivante et génératrice de vie et de pathologie ? sphère d'adaptation ou bien sphère de Mysticisme? La question aussi brutale et agressive soit-elle, m'a toujours semblée, bien que jeune ostéopathe, nécessaire à poser. En effet, à notre époque scientifique de rigueur expérimentale, il m'est apparu nécessaire ainsi qu'à toute l'équipe avec qui j'ai eu la chance de travailler, d'essayer d'apporter le premier maillon nécessaire aux ostéopathes qui travaillent le crâne : la preuve scientifique de la mobilité de ce dernier. Loin de moi l'idée de remettre en cause la perception de la main qui connait et sait beaucoup de choses encore ignorées de la science", mais simplement dans un contexte de dénigrement du corps médical officiel, mais aussi dans un but de valorisation de l'ostéopathie, d'apporter un support scientifique indispensable à toute forme de crédibilité. Comment pouvons-nous en effet affirmer, sans être critiquables que nous corrigeons les "articulations" du crâne, même si les résultats le prouvent, sans apporter la preuve même du mouvement fondamental de base qu'est la flexion extension. Il m'est arrivé bien souvent, étant étudiant, et encore plus maintenant en qualité de professionnel de me poser la question suivante au même titre que nous avons parfois reproché à certains de perdre une vision simple et naturelle des faits, ne serions-nous pas en train de filer vers des affirmations parfois limites et qui risquent à l'avenir d'être difficilement défendables, et ainsi de nous faire perdre toute crédibilité face à notre clientèle. Notre consoeur lionnelle Lessartel n'a-t-elle pas dit "Ie mouvement de base est la flexion extension, apprenons à bien palper ce dernier, à bien le travailler, et s'il devient harmonieux, le reste le devient". N'est-ce pas la voie de la sagesse: simplicité et modération? Je sais que par cette introduction, certains vont être tentés d'arrêter la lecture, mais que ceux ci sachent que ce travail a été fait dans un esprit ostéopathique, et pour servir l'ostéopathie. Mais je pense aussi, que pour que cette dernière progresse et soit crédible, il est parfois nécessaire que les théories soient un peu bousculées, tout en respectant le travail de nos maîtres. Rien n'est immuable, le corps humain en est la preuve, alors il faut qu'il en soit de même des théories.

Exemplaires(1)

Code-barres	emprunt	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
150	1.3 BON	Mémoire (ostéopathie)	Bibliothèque principale	Documentaires	Exclu du prêt

Un patient...trois réponses / Eddie Bella

Public ISBD Titre : Un patient...trois réponses Type de document : texte imprimé Auteurs : Eddie Bella, Auteur ; Peggy Aucagne, Directeur de la recherche Editeur : Lyon : Institut Supérieur d'Ostéopathie Année de publication : 2005 Importance : 75 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : rituels magiques  science  homéopathie  médecine moderne  ostéopathie  médecine alternative  trio thérapeutique  art médical Résumé : La médecine a toujours eu pour but de maintenir les hommes en bonne santé. Pour ce faire les rituels magiques ont été remplacés, au fil du temps, par l'observation méthodique, la médecine passant alors progressivement du stade de croyance à celui de science. Ainsi sont apparues de nouvelles pratiques telles que l'homéopathie de S. Hahnemann (1745-1843), la médecine moderne de C. Bernard (1813-1878), et l'ostéopathie de A. T. Still (1828-1917). Le rôle du médecin, la détermination du patient, et le rapport qu'ils entretiennent l'un et l'autre avec la maladie sont inhérents à toutes pratiques thérapeutiques. L'ostéopathie s'est constituée en tant que médecine alternative entre autre par ses caractères humain, simple et préventif, permettant alors une meilleure interrelation entre les trois composantes de ce trio thérapeutique. Aujourd'hui l'art médical se fond dans un contexte social conditionné par des considérations économiques. A l'heure de la reconnaissance de l'ostéopathie en France, n'y a-t-il pas un risque de voir ses principes dilués dans un système de santé privilégiant la démarche allopathique et encore trop régi par l'industrie pharmaceutique ? Un patient...trois réponses [texte imprimé] / Eddie Bella, Auteur ; Peggy Aucagne, Directeur de la recherche . - Lyon : Institut Supérieur d'Ostéopathie, 2005 . - 75 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : rituels magiques  science  homéopathie  médecine moderne  ostéopathie  médecine alternative  trio thérapeutique  art médical Résumé : La médecine a toujours eu pour but de maintenir les hommes en bonne santé. Pour ce faire les rituels magiques ont été remplacés, au fil du temps, par l'observation méthodique, la médecine passant alors progressivement du stade de croyance à celui de science. Ainsi sont apparues de nouvelles pratiques telles que l'homéopathie de S. Hahnemann (1745-1843), la médecine moderne de C. Bernard (1813-1878), et l'ostéopathie de A. T. Still (1828-1917). Le rôle du médecin, la détermination du patient, et le rapport qu'ils entretiennent l'un et l'autre avec la maladie sont inhérents à toutes pratiques thérapeutiques. L'ostéopathie s'est constituée en tant que médecine alternative entre autre par ses caractères humain, simple et préventif, permettant alors une meilleure interrelation entre les trois composantes de ce trio thérapeutique. Aujourd'hui l'art médical se fond dans un contexte social conditionné par des considérations économiques. A l'heure de la reconnaissance de l'ostéopathie en France, n'y a-t-il pas un risque de voir ses principes dilués dans un système de santé privilégiant la démarche allopathique et encore trop régi par l'industrie pharmaceutique ?

Exemplaires(1)

Code-barres	emprunt	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
3068	BEL	Livre	Bibliothèque principale	Documentaires	Disponible

L'activation du cerveau droit, son utilité dans l'approche ostéopathique / GRIN Arnaud

Public ISBD Titre : L'activation du cerveau droit, son utilité dans l'approche ostéopathique Type de document : texte imprimé Auteurs : GRIN Arnaud, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : PHILOSOPHIE  SCIENCE  ART  INTUITION  ANATOMIE  PHYSIOLOGIE  CERVEAU Résumé : Le sujet s'est imposé à moi comme une énigme que je devais résoudre pour grandir. Tout est parti d'un constat: depuis huit années que je pratiquais consciencieusement l'ostéopathie, le principe de globalité n'était pour moi qu'un concept dont nous parlions tous, élèves et jeunes diplômés, mais que bien peu appliquaient réellement. Par un souci d'efficacité, j'ai complété ma formation par deux années de stages sur les techniques structurelles et j'ai acquis bien évidemment une certaine maîtrise. Paradoxalement, l'augmentation de mes connaissances et l'ouverture à de nouvelles techniques ne m'ont pas permis d'accéder à la quintessence ostéopathique, bien au contraire, je me suis perdu dans une multitude d'informations dont je ne savais que faire. La règle selon laquelle il ne faudrait agir que lorsque l'on maîtrise tous les paramètres d'une lésion, d'un schéma lésionnel, où d'un équilibre fragile d'adaptation bloque toute tentative d'exploration intuitive, l'esprit d'initiative, omnibulés que nous sommes par le raisonnement scientifique, la logique et le besoin exacerbé de reconnaissan_ de la profession. L'apprentissage de l'ostéopathie au sein des écoles, se fait en privilégiant l'hémisphère gauche, et ce pour des besoins pédagogiques; les formidables possibilités de l'hémisphère droit ouvrent des voies passionnantes qu'il serait bon d'évoquer durant les études. L'intuition, la globalité et l'esprit de synthèse associés à la logique du raisonnement et de l'analyse permettent d'accroître notre efficacité. A cette période, bon nombre d'ostéopathes confirmés que je connaissais avaient abandonné les techniques structurelles au profit des techniques fonctionnelles où tissulaires. Le doute s'est alors mis dans ma tête en confrontant l'ostéopathie analytique, logique et standardisée que je pratiquais avec celle que j'imaginais, aérienne, artistique, inspirée et dont les représentants étaient pour moi des référen_s. Je me suis alors tourné vers ceux qui pouvaient combler une partie de mon manque et ce fût la rencontre de A. Abeshera (l'ostéopathie projective) et de P. Tricot (l'écoute tissulaire) qui me guidèrent sur un nouveau chemin en me fournissant la matière à réflexion de cette thèse. Les livres, les rencontres et le hasard firent le reste. L'étude de notre hémisphère droit n'a cessé dès lors de m'émerveiller tant elle apporte de réponses à de nombreuses questions concemant les domaines de " l'irrationnel", éclairant d'explications inédites des sujets comme: le langage, l'art. la conscience. l'inconscient, les valeurs, les émotions, la décision, le sport, l'art de vivre, l'authenticié, le charme etc. Cela m'a permis de mieux comprendre d'autres cultures comme celles du Japon, de l'Inde, de la Chine ou des pays Arabo-islamiques. . Le sujet étant vaste, nous explorerons dans un premier temps l'étendue de nos connaissances sur le cerveau afin de nous donner une culture générale et nous évoquerons les dernières découvertes ainsi que leur incidence sur l'étude des comportements. Enfin, nous réduirons le sujet à ce qui nous intéresse, c'est-à-dire l'application ostéopathique de ces nouvelles données. l'idée défendue est de reconnaître l'importance de la simultanéité du fonctionnement des deux hémisphères pour une pratique de l'ostéopathie plus riche, plus créative, où comme le disait Becker, ce que l'on sent est plus important que ce que l'on pense. Le rôle du cerveau droit et son utilisation dans notre pratique devrait sans doute être intégré au cursus des études afin que le concept ostéopathique ne se perde pas dans les méandres du raisonnement scientifique et qu'il conserve la trace, le souffle originel. Il existe plusieurs vérités, plusieurs réalités en ce monde, apprenons à changer de point de vue pour découvrir les différentes facettes de l'ostéopathie et rappelons que sa pratique est un art qui exige du talent. L'activation du cerveau droit, son utilité dans l'approche ostéopathique [texte imprimé] / GRIN Arnaud, Auteur . - [s.d.]. Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : PHILOSOPHIE  SCIENCE  ART  INTUITION  ANATOMIE  PHYSIOLOGIE  CERVEAU Résumé : Le sujet s'est imposé à moi comme une énigme que je devais résoudre pour grandir. Tout est parti d'un constat: depuis huit années que je pratiquais consciencieusement l'ostéopathie, le principe de globalité n'était pour moi qu'un concept dont nous parlions tous, élèves et jeunes diplômés, mais que bien peu appliquaient réellement. Par un souci d'efficacité, j'ai complété ma formation par deux années de stages sur les techniques structurelles et j'ai acquis bien évidemment une certaine maîtrise. Paradoxalement, l'augmentation de mes connaissances et l'ouverture à de nouvelles techniques ne m'ont pas permis d'accéder à la quintessence ostéopathique, bien au contraire, je me suis perdu dans une multitude d'informations dont je ne savais que faire. La règle selon laquelle il ne faudrait agir que lorsque l'on maîtrise tous les paramètres d'une lésion, d'un schéma lésionnel, où d'un équilibre fragile d'adaptation bloque toute tentative d'exploration intuitive, l'esprit d'initiative, omnibulés que nous sommes par le raisonnement scientifique, la logique et le besoin exacerbé de reconnaissan_ de la profession. L'apprentissage de l'ostéopathie au sein des écoles, se fait en privilégiant l'hémisphère gauche, et ce pour des besoins pédagogiques; les formidables possibilités de l'hémisphère droit ouvrent des voies passionnantes qu'il serait bon d'évoquer durant les études. L'intuition, la globalité et l'esprit de synthèse associés à la logique du raisonnement et de l'analyse permettent d'accroître notre efficacité. A cette période, bon nombre d'ostéopathes confirmés que je connaissais avaient abandonné les techniques structurelles au profit des techniques fonctionnelles où tissulaires. Le doute s'est alors mis dans ma tête en confrontant l'ostéopathie analytique, logique et standardisée que je pratiquais avec celle que j'imaginais, aérienne, artistique, inspirée et dont les représentants étaient pour moi des référen_s. Je me suis alors tourné vers ceux qui pouvaient combler une partie de mon manque et ce fût la rencontre de A. Abeshera (l'ostéopathie projective) et de P. Tricot (l'écoute tissulaire) qui me guidèrent sur un nouveau chemin en me fournissant la matière à réflexion de cette thèse. Les livres, les rencontres et le hasard firent le reste. L'étude de notre hémisphère droit n'a cessé dès lors de m'émerveiller tant elle apporte de réponses à de nombreuses questions concemant les domaines de " l'irrationnel", éclairant d'explications inédites des sujets comme: le langage, l'art. la conscience. l'inconscient, les valeurs, les émotions, la décision, le sport, l'art de vivre, l'authenticié, le charme etc. Cela m'a permis de mieux comprendre d'autres cultures comme celles du Japon, de l'Inde, de la Chine ou des pays Arabo-islamiques. . Le sujet étant vaste, nous explorerons dans un premier temps l'étendue de nos connaissances sur le cerveau afin de nous donner une culture générale et nous évoquerons les dernières découvertes ainsi que leur incidence sur l'étude des comportements. Enfin, nous réduirons le sujet à ce qui nous intéresse, c'est-à-dire l'application ostéopathique de ces nouvelles données. l'idée défendue est de reconnaître l'importance de la simultanéité du fonctionnement des deux hémisphères pour une pratique de l'ostéopathie plus riche, plus créative, où comme le disait Becker, ce que l'on sent est plus important que ce que l'on pense. Le rôle du cerveau droit et son utilisation dans notre pratique devrait sans doute être intégré au cursus des études afin que le concept ostéopathique ne se perde pas dans les méandres du raisonnement scientifique et qu'il conserve la trace, le souffle originel. Il existe plusieurs vérités, plusieurs réalités en ce monde, apprenons à changer de point de vue pour découvrir les différentes facettes de l'ostéopathie et rappelons que sa pratique est un art qui exige du talent.

Exemplaires(1)

Code-barres	emprunt	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
457	1.4 GRI	Mémoire (ostéopathie)	Bibliothèque principale	Documentaires	Exclu du prêt

Quels mémoires pour l'ostéopathie ? / OFFREDI Frédérique

Permalink