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Phylogenèse-ontogénèse du crâne humain et mécanisme respiratoire primaire / Alain Cruchet
Titre : Phylogenèse-ontogénèse du crâne humain et mécanisme respiratoire primaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Cruchet, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : OSTEOPATHIE CRANIENNE MOUVEMENT RESPIRATOIRE PRIMAIRE PHYLOGENESE ONTOGENESE ANATOMIE CRANE Résumé : La gravitation a déterminé la morphologie cranienne. DELATTRE et FENART ne considèrent dans l'évolution cranienne, que la forme due à l'avènement de la station bipède, celle-ci est l'aboutissement de processus dirigés par la gravitation. Le volume du crâne étant lui-même en relation avec l'ampliation du cerveau " Le crâne est une -machoire portée-, suspendue aux labyrinthes, donc par rapport à la verticale " "L'arrière crâne tourne autour des labyrinthes", entraîné par la bipédie. Ce là va de pair avec la libération de la main. La rotation occipitale du crâne entraine des mouvements de tous les os du crâne: le foramen magnum tourne de 90 degrés, entrainant la plicature de la base du crâne et la création des loges de la base en même temps que la rotation des rochers. Les os de la voute entrainés dans cette rotation occipitale changent de forme dans des directions précises. La face descend et la mandibule recule. Ces mouvements craniens au cours de l'hominisation sont comparables aux mouvements du Mécanisme Respiratoire Primaire. Phylogenèse-ontogénèse du crâne humain et mécanisme respiratoire primaire [texte imprimé] / Alain Cruchet, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : OSTEOPATHIE CRANIENNE MOUVEMENT RESPIRATOIRE PRIMAIRE PHYLOGENESE ONTOGENESE ANATOMIE CRANE Résumé : La gravitation a déterminé la morphologie cranienne. DELATTRE et FENART ne considèrent dans l'évolution cranienne, que la forme due à l'avènement de la station bipède, celle-ci est l'aboutissement de processus dirigés par la gravitation. Le volume du crâne étant lui-même en relation avec l'ampliation du cerveau " Le crâne est une -machoire portée-, suspendue aux labyrinthes, donc par rapport à la verticale " "L'arrière crâne tourne autour des labyrinthes", entraîné par la bipédie. Ce là va de pair avec la libération de la main. La rotation occipitale du crâne entraine des mouvements de tous les os du crâne: le foramen magnum tourne de 90 degrés, entrainant la plicature de la base du crâne et la création des loges de la base en même temps que la rotation des rochers. Les os de la voute entrainés dans cette rotation occipitale changent de forme dans des directions précises. La face descend et la mandibule recule. Ces mouvements craniens au cours de l'hominisation sont comparables aux mouvements du Mécanisme Respiratoire Primaire. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 271 1.3 CRU Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Faut-il encore traiter le diaphragme ? / Alain Turi
Titre : Faut-il encore traiter le diaphragme ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Turi, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE FASCIALE LESION PRIMAIRE ANATOMIE PHYSIOLOGIE EMBRYOLOGIE HISTOLOGIE MUSCLE ONTOGENESE DIAPHRAGME Résumé : La vie, c'est le mouvement, Qui oserait contester ce concept? Cette citation, qui a résonné tout au long de nos études, a été notre guide, notre repère et nous savons bien que nombreux sont les professionnels qui se rassurent par cette vérité exprimant un des mécanismes fondamentaux de la vie. La locomotion, la ventilation, la vasomotricité et la viscéro~motricité ainsi que la motilité et le mouvement respiratoire primaire sont autant d'exemples de matérialisation de la vie. Le corps humain, véritable mécanisme articulé, est animé ou maintenu par des ensembles musculaires. Cette notion de mobilisation et de stabilisation est un paradoxe avec lequel le corps compose sans cesse. S'il est vrai que la stabilité est nécessaire au maintien de la position debout, celle-ci ne pourra être obtenue que dans le mouvement par la mise en route de petites oscillations autour de la position de référence. De même, la mobilité est nécessaire aux relations avec le monde extérieur. Elle permet la préhention et la déambulation. Là , les données s'inversent car, pour s'exprimer essentiellement au niveau des extrémités, elle a besoin d'une certaine stabilité proximale synergique. En effet, afin de saisir un objet par exemple, le membre supérieur devra, pour se mobiliser, "prendre appui" sur une ceinture scapulaire et une colonne cervicodorsale rigidifiée lui offrant une plate-forme stable. Nous voyons donc que quelque soit le geste ou la posture envisagé( e ), seules les proportions des deux paramètres de mobilité et de stabilité seront changés. A la manière de YIN et du Y ANG, du sympathique et du parasympathique, ces deux nécessités ne s'excluent pas l'une de l'autre, mais se complètent en faisant varier leurs proportions respectives. Ces deux fonctions de mobilité et de stabilité vont donc nécessiter la participation de groupes musculaires à finalité différente. On distingue les muscles toniques à fibres rouges. Ce sont, en général, les courts restricteurs, donc de petits muscles souvent mono-articulaires, comme les spinaux, ayant un rôle de stabilité nécessitant un état de contraction quasi-permanent, aboutissant parfois à un état de surcharge et:/ou de contracture dont les effets et la symptomatologie remplissent les cabinets médicaux. A l'opposé, on distingue les muscles phasiques à fibres plutôt blanches qui sont, en général, de grands muscles de mouvement, comme le deltoïde, at un rôle dans la dynamique du corps. Parmi ces muscles phasiques il en est un aux fonctions multiples et à l'importance vitale car il est le moteur de la respiration. Il s'agit du diaphragme. Que n'a-t~on pas dit ou écrit sur le diaphragme? Source de tous les maux, ou bien, peu digne d'intérêt en ostéopathie, il a, en effet, été l'objet de nombreuses recherches et publications dans le domaine de la médecine dite traditionnelle mais aussi ostéopathique. S'il n'est pas l'objet de controverses, les avis des professionnels avertis divergent à son sujet. Certains praticiens ne le traitent jamais ou rarement, d'autres le travaillent systématiquement souvent en début de séances, d'autres, enfin, l'envisagent accessoirement en cours de traitement. Et pourtant, tous ces praticiens chevronnés, bien qu'ils aient sûrement quelques échecs, ont une majorité de réussite dans leurs interventions thérapeutiques. Alors lesquels ont raison, ceux qui traitent le diaphragme, ou les autres? Nous n'aurons pas la prétention de révolutionner les différentes théories sur ce muscle. Notre objectif sera d'essayer de répondre à plusieurs questions: - Est-il possible d'envisager une primarité de lésion diaphragmatique? - Les lésions diaphragmatiques nécessitent-elles une normalisation musculaire ostéopathique directe? - Lorsque nous nous déciderons à agir, quel sera le meilleur moment au cours du traitement pour réaliser nos techniques sur le diaphragme? - Existe-t~il une hiérarchie lésionnelle lorsque le diaphragme est impliqué? Après les rappels d'usage, nous essayerons d'expliquer, en la justifiant, notre manière d'envisager une intervention sur le diaphragme au cours du traitement. Pour cela, nous nous appuierons sur l'incontournable et indispensable anatomie, ainsi que sur les données d'ontogenèse, d'embryologie et d'histologie. Afin de montrer l'importance de l'Evolution et de la Bipédie sur le diaphragme, nous ferons ressortir quelques données de Phylogenèse, de Zoologie et d'Anatomie comparée. Il nous a paru intéressant de tenter d'actualiser les données classiques et ostéopathiques par des publications récentes. Les bibliothèques universitaires médicales regorgent de trésors. Par chance, une recherche bibliographique nous a permis de sélectionner quelques articles qui ont fait avancer notre cheminement en matières de physiologie diaphragmatique. Nous évoquerons donc, les rapports du diaphragme avec les grandes fonctions, ses conceptions actuelles et les considérations ostéopathiques qu'on peut lui porter. Notre pratique quotidienne a guidé notre synthèse personnelle. Nous livrerons notre protocole de traitement et ses indications en tentant d'expliquer les différentes façons d'envisager le travail du diaphragme dans un traitement ostéopathique global. Nous illustrerons notre pensée par l'exposé de quelques cas cliniques, témoins de nos réussites et de nos échecs en essayant, tant que faire se peut. de les analyser. ALORS, F AUT -IL ENCORE TRAITER LE DIAPHRAGME? Faut-il encore traiter le diaphragme ? [texte imprimé] / Alain Turi, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE FASCIALE LESION PRIMAIRE ANATOMIE PHYSIOLOGIE EMBRYOLOGIE HISTOLOGIE MUSCLE ONTOGENESE DIAPHRAGME Résumé : La vie, c'est le mouvement, Qui oserait contester ce concept? Cette citation, qui a résonné tout au long de nos études, a été notre guide, notre repère et nous savons bien que nombreux sont les professionnels qui se rassurent par cette vérité exprimant un des mécanismes fondamentaux de la vie. La locomotion, la ventilation, la vasomotricité et la viscéro~motricité ainsi que la motilité et le mouvement respiratoire primaire sont autant d'exemples de matérialisation de la vie. Le corps humain, véritable mécanisme articulé, est animé ou maintenu par des ensembles musculaires. Cette notion de mobilisation et de stabilisation est un paradoxe avec lequel le corps compose sans cesse. S'il est vrai que la stabilité est nécessaire au maintien de la position debout, celle-ci ne pourra être obtenue que dans le mouvement par la mise en route de petites oscillations autour de la position de référence. De même, la mobilité est nécessaire aux relations avec le monde extérieur. Elle permet la préhention et la déambulation. Là , les données s'inversent car, pour s'exprimer essentiellement au niveau des extrémités, elle a besoin d'une certaine stabilité proximale synergique. En effet, afin de saisir un objet par exemple, le membre supérieur devra, pour se mobiliser, "prendre appui" sur une ceinture scapulaire et une colonne cervicodorsale rigidifiée lui offrant une plate-forme stable. Nous voyons donc que quelque soit le geste ou la posture envisagé( e ), seules les proportions des deux paramètres de mobilité et de stabilité seront changés. A la manière de YIN et du Y ANG, du sympathique et du parasympathique, ces deux nécessités ne s'excluent pas l'une de l'autre, mais se complètent en faisant varier leurs proportions respectives. Ces deux fonctions de mobilité et de stabilité vont donc nécessiter la participation de groupes musculaires à finalité différente. On distingue les muscles toniques à fibres rouges. Ce sont, en général, les courts restricteurs, donc de petits muscles souvent mono-articulaires, comme les spinaux, ayant un rôle de stabilité nécessitant un état de contraction quasi-permanent, aboutissant parfois à un état de surcharge et:/ou de contracture dont les effets et la symptomatologie remplissent les cabinets médicaux. A l'opposé, on distingue les muscles phasiques à fibres plutôt blanches qui sont, en général, de grands muscles de mouvement, comme le deltoïde, at un rôle dans la dynamique du corps. Parmi ces muscles phasiques il en est un aux fonctions multiples et à l'importance vitale car il est le moteur de la respiration. Il s'agit du diaphragme. Que n'a-t~on pas dit ou écrit sur le diaphragme? Source de tous les maux, ou bien, peu digne d'intérêt en ostéopathie, il a, en effet, été l'objet de nombreuses recherches et publications dans le domaine de la médecine dite traditionnelle mais aussi ostéopathique. S'il n'est pas l'objet de controverses, les avis des professionnels avertis divergent à son sujet. Certains praticiens ne le traitent jamais ou rarement, d'autres le travaillent systématiquement souvent en début de séances, d'autres, enfin, l'envisagent accessoirement en cours de traitement. Et pourtant, tous ces praticiens chevronnés, bien qu'ils aient sûrement quelques échecs, ont une majorité de réussite dans leurs interventions thérapeutiques. Alors lesquels ont raison, ceux qui traitent le diaphragme, ou les autres? Nous n'aurons pas la prétention de révolutionner les différentes théories sur ce muscle. Notre objectif sera d'essayer de répondre à plusieurs questions: - Est-il possible d'envisager une primarité de lésion diaphragmatique? - Les lésions diaphragmatiques nécessitent-elles une normalisation musculaire ostéopathique directe? - Lorsque nous nous déciderons à agir, quel sera le meilleur moment au cours du traitement pour réaliser nos techniques sur le diaphragme? - Existe-t~il une hiérarchie lésionnelle lorsque le diaphragme est impliqué? Après les rappels d'usage, nous essayerons d'expliquer, en la justifiant, notre manière d'envisager une intervention sur le diaphragme au cours du traitement. Pour cela, nous nous appuierons sur l'incontournable et indispensable anatomie, ainsi que sur les données d'ontogenèse, d'embryologie et d'histologie. Afin de montrer l'importance de l'Evolution et de la Bipédie sur le diaphragme, nous ferons ressortir quelques données de Phylogenèse, de Zoologie et d'Anatomie comparée. Il nous a paru intéressant de tenter d'actualiser les données classiques et ostéopathiques par des publications récentes. Les bibliothèques universitaires médicales regorgent de trésors. Par chance, une recherche bibliographique nous a permis de sélectionner quelques articles qui ont fait avancer notre cheminement en matières de physiologie diaphragmatique. Nous évoquerons donc, les rapports du diaphragme avec les grandes fonctions, ses conceptions actuelles et les considérations ostéopathiques qu'on peut lui porter. Notre pratique quotidienne a guidé notre synthèse personnelle. Nous livrerons notre protocole de traitement et ses indications en tentant d'expliquer les différentes façons d'envisager le travail du diaphragme dans un traitement ostéopathique global. Nous illustrerons notre pensée par l'exposé de quelques cas cliniques, témoins de nos réussites et de nos échecs en essayant, tant que faire se peut. de les analyser. ALORS, F AUT -IL ENCORE TRAITER LE DIAPHRAGME? Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 904 1.3 TUR Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt La mobilisation ostéopathique précoce du trapèze métacarpien peut éviter l'arthroplastie dans la rhyzarthrose / HILPERT Armand
Titre : La mobilisation ostéopathique précoce du trapèze métacarpien peut éviter l'arthroplastie dans la rhyzarthrose Type de document : texte imprimé Auteurs : HILPERT Armand, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : PATHOLOGIE OSTEOARTHRITE RHIZARTHROSE EMBRYOLOGIE ONTOGENESE ANATOMIE PHYSIOLOGIE MAIN OSTEOPATHIE STRUCTURELLE TRAITEMENT PREHENSION CHIRURGIE ARTHROPLASTIE Résumé : C'est en 1937 que FORESTIER et rOBERt définissent pour la première fois l'ostéoarthrite sèche trapézo-métacarpienne et que le terme de RHYZARTHROSE est apparu. C'est à la même période que démarre aussi le traitement chirurgical, réparateur, qui tente de redonner la fonction première de la main qui est la préhension. Et il faut attendre les travaux modernes de DE LA CAFFINIERE, DUPAOO, RABISHONG et TUBIANA portant sur l'anatomie, la physiologie, et la cotation clinique de l'articulatïon trapézo-métacarpienne ainsi que l'apparition de possibilités prothétiques au niveau de la main (Silicones) pour proposer une solution chirurgicale plus efficace à la rhyzarthrose du pouce. N'y a-t-il que la solution chirurgicale? Malgré la précocité (avant déformations osseuses importantes) de l'intervention, il Y a tout de même: - degré d'agression de l'acte; - risques post-opératoires secondaires (de 5 à 3a;6 selon les auteurs); - problèmes cicatriciels; - rupture de l'intégrité de la colonne du pouce. J'ai été sensibilisé à ce problème par le cas d'une patiente, venue au cabinet pour un tout autre problème de rééducation en 1984 et qui souffrait de rhyzarthrose (diagnostic médical) reconnue; traitée par injections de corticoïdes répétées et promise à une intervention chirurgicale prochaine car impotence fonctionnelle majeure de la main. Le soulagement de la douleur fut quasi- immédiat dès les tests de mobilité au niveau de cette articulation trapézo-métacarpienne Et en deux séances, la patiente a retrouvé un usage correct de son pouce et la fonction de sa main... et cette main "va toujours bien" , car nous nous rencontrons souvent dans notre immeuble puisque nous sommes voisins. HASARD? Etonnement ? Questions ?.. et recherches... dont ci-dessous vous trouverez le compte-rendu. La mobilisation ostéopathique précoce du trapèze métacarpien peut éviter l'arthroplastie dans la rhyzarthrose [texte imprimé] / HILPERT Armand, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : PATHOLOGIE OSTEOARTHRITE RHIZARTHROSE EMBRYOLOGIE ONTOGENESE ANATOMIE PHYSIOLOGIE MAIN OSTEOPATHIE STRUCTURELLE TRAITEMENT PREHENSION CHIRURGIE ARTHROPLASTIE Résumé : C'est en 1937 que FORESTIER et rOBERt définissent pour la première fois l'ostéoarthrite sèche trapézo-métacarpienne et que le terme de RHYZARTHROSE est apparu. C'est à la même période que démarre aussi le traitement chirurgical, réparateur, qui tente de redonner la fonction première de la main qui est la préhension. Et il faut attendre les travaux modernes de DE LA CAFFINIERE, DUPAOO, RABISHONG et TUBIANA portant sur l'anatomie, la physiologie, et la cotation clinique de l'articulatïon trapézo-métacarpienne ainsi que l'apparition de possibilités prothétiques au niveau de la main (Silicones) pour proposer une solution chirurgicale plus efficace à la rhyzarthrose du pouce. N'y a-t-il que la solution chirurgicale? Malgré la précocité (avant déformations osseuses importantes) de l'intervention, il Y a tout de même: - degré d'agression de l'acte; - risques post-opératoires secondaires (de 5 à 3a;6 selon les auteurs); - problèmes cicatriciels; - rupture de l'intégrité de la colonne du pouce. J'ai été sensibilisé à ce problème par le cas d'une patiente, venue au cabinet pour un tout autre problème de rééducation en 1984 et qui souffrait de rhyzarthrose (diagnostic médical) reconnue; traitée par injections de corticoïdes répétées et promise à une intervention chirurgicale prochaine car impotence fonctionnelle majeure de la main. Le soulagement de la douleur fut quasi- immédiat dès les tests de mobilité au niveau de cette articulation trapézo-métacarpienne Et en deux séances, la patiente a retrouvé un usage correct de son pouce et la fonction de sa main... et cette main "va toujours bien" , car nous nous rencontrons souvent dans notre immeuble puisque nous sommes voisins. HASARD? Etonnement ? Questions ?.. et recherches... dont ci-dessous vous trouverez le compte-rendu. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 491 HIL Mémoire (ostéopathie) école d'ostéopathie Documentaires Exclu du prêt Voies aériennes supérieures : tube digestif, raisonnement ostéopathique / GASSIER Alain
Titre : Voies aériennes supérieures : tube digestif, raisonnement ostéopathique Type de document : texte imprimé Auteurs : GASSIER Alain, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : EMBRYOLOGIE VOIE AERIENNE VOIE DIGESTIVE PEDIATRIE OBSTETRIQUE ACCOUCHEMENT SOCIOLOGIE NOUVEAU-NE NOURRISSON ANATOMIE CRANE OSTEOPATHIE CRANIENNE ONTOGENESE Résumé : Le nouveau-né, dès qu'il sort de son milieu aquatique sécurisant, arrive au contact de l'air; soumis à la pression athmosphérique, il va inspirer puis pousser un cri ou un pleur. Ce premier cri est notre première manifestation terrestre. Sans rentrer dans des considérations psychologiques, que nous acceptons mais qui n'ont pas place ici, nous pouvons voir dans cette première manifestation respiratoire (inspiration et expiration réactionnelle), un éveil des fonctions aériennes à partir de ce cri; c'est donc notre premier acte important. D'un point de vue neurologique, d'une activité essentiellement dirigée par système sympathique (ln utero), le nouveau-né voit, dès sa naissance, son système para-sympathique se surajouter à lui (humidification des muqueuses, activation respiratoire, etc...). Le crâne du bébé in utéro est très développé (la voûte croit en fonction de croissance de l'encéphale) alors que la face, petite chez le bébé va se développer dès la naissance en rapport avec le système aéro-digestif, aérien : par l'apparition de la fonction respiratoire qui va développer les fosses nasales et les sinus maxillaires qui étaient des cavité presque virtuelles in utero. Ces maxillaires vont se pneumatiser et se développer pendant toute l'enfance digestif: car la face se développe aussi grâce à la nécessité de l'alimentation, travail des mandibules des apophyses mastoïdes étirées par les muscles nécessaires à l'orientation de la tête du bébé à la recherche de sa nourriture; le temporal et les os de la voûte (sphémlde, ethmoïde) vont contribuer à la croissance de la face au fil de la petite enfance .le système ontogénique de la tête montre donc l'indépendance relative existante entre le système crânien de la voûte et de la base, et le système de la face. Le crâne (boite) est fonctionnel du développement de l'encéphale, la face dépend du bon fonctionnement aéro-digestif. On imagine aisément les perturbations que peuvent engendrer un accouchemer traumatisant pour le crâne du bébé. En effet, les suttures craniennes sont des fissures du tissu conjonctif, permettant aux os du crâne de se chevaucher lors du passage. Physiologiquement ces os reprement leur place après la naissance.le "traumatisme" de la naissance peut être induit par : - fixité des os du bassin de la mère entrainant une contrainte trop importante au crâne du bébé, (Frontal par exemple) entrainant un appui anormal du frontal contre le promontoire, - naissance longue contrariant l'agencement des os du crâne du bébé, induisant déjà des restrictions de mobilité, - utilisation d'appareils pour aider la sortie difficile du foetus r (ventouse, forceps), - nalssance par le siège provoquant un modelage à contre-courant (base puis voûte) le chevauchement des biseaux même embryonnaires étant alors contraire à la physiologie, - "naissance" par césarienne ayant pour conséquence l'absence de cornpression initiale nécessaire et suffisante pour amorcer l'indispensable expansion cranienne. Ce retour aux sources est là pour nous montrer l'importance de prendre un bon départ. Si l'embryon a eu un maximum de confort lors de sa croissance in utero, si la mère a su ou pu respecter une bonne hygiène de vie favorisant une grossesse idéale, et si bien sûr il n'y a pas de problèmes génétiques, la naissance se passant bien, le potentiel vital du bébé sera à son maximum. L'ostéopathe ne servira qu'à controler le bon fonctiomement cranien du bébé et de faire éventuellement un traitement préventif. Mais le bébé peut tout de même présenter des ennuis des voies aériennes supérieurs pendant son enfance dont l'origine sera autre que cranienne. C'est l'embryologie qui va nous faire mieux comprendre le lien de parenté existant entre les voies aériennes supérieures et les bronches, les poumons et les muqueuses de tout l'axe aéro-digestif. Ce schéma de Monsieur DE RIBET est un témoigmge interessant de la parenté somatique existante entre annexes des voies aériennes supérieures et annexes du tube digestif. Le sujet de cette thèse est posé. Voies aériennes supérieures : tube digestif, raisonnement ostéopathique [texte imprimé] / GASSIER Alain, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : EMBRYOLOGIE VOIE AERIENNE VOIE DIGESTIVE PEDIATRIE OBSTETRIQUE ACCOUCHEMENT SOCIOLOGIE NOUVEAU-NE NOURRISSON ANATOMIE CRANE OSTEOPATHIE CRANIENNE ONTOGENESE Résumé : Le nouveau-né, dès qu'il sort de son milieu aquatique sécurisant, arrive au contact de l'air; soumis à la pression athmosphérique, il va inspirer puis pousser un cri ou un pleur. Ce premier cri est notre première manifestation terrestre. Sans rentrer dans des considérations psychologiques, que nous acceptons mais qui n'ont pas place ici, nous pouvons voir dans cette première manifestation respiratoire (inspiration et expiration réactionnelle), un éveil des fonctions aériennes à partir de ce cri; c'est donc notre premier acte important. D'un point de vue neurologique, d'une activité essentiellement dirigée par système sympathique (ln utero), le nouveau-né voit, dès sa naissance, son système para-sympathique se surajouter à lui (humidification des muqueuses, activation respiratoire, etc...). Le crâne du bébé in utéro est très développé (la voûte croit en fonction de croissance de l'encéphale) alors que la face, petite chez le bébé va se développer dès la naissance en rapport avec le système aéro-digestif, aérien : par l'apparition de la fonction respiratoire qui va développer les fosses nasales et les sinus maxillaires qui étaient des cavité presque virtuelles in utero. Ces maxillaires vont se pneumatiser et se développer pendant toute l'enfance digestif: car la face se développe aussi grâce à la nécessité de l'alimentation, travail des mandibules des apophyses mastoïdes étirées par les muscles nécessaires à l'orientation de la tête du bébé à la recherche de sa nourriture; le temporal et les os de la voûte (sphémlde, ethmoïde) vont contribuer à la croissance de la face au fil de la petite enfance .le système ontogénique de la tête montre donc l'indépendance relative existante entre le système crânien de la voûte et de la base, et le système de la face. Le crâne (boite) est fonctionnel du développement de l'encéphale, la face dépend du bon fonctionnement aéro-digestif. On imagine aisément les perturbations que peuvent engendrer un accouchemer traumatisant pour le crâne du bébé. En effet, les suttures craniennes sont des fissures du tissu conjonctif, permettant aux os du crâne de se chevaucher lors du passage. Physiologiquement ces os reprement leur place après la naissance.le "traumatisme" de la naissance peut être induit par : - fixité des os du bassin de la mère entrainant une contrainte trop importante au crâne du bébé, (Frontal par exemple) entrainant un appui anormal du frontal contre le promontoire, - naissance longue contrariant l'agencement des os du crâne du bébé, induisant déjà des restrictions de mobilité, - utilisation d'appareils pour aider la sortie difficile du foetus r (ventouse, forceps), - nalssance par le siège provoquant un modelage à contre-courant (base puis voûte) le chevauchement des biseaux même embryonnaires étant alors contraire à la physiologie, - "naissance" par césarienne ayant pour conséquence l'absence de cornpression initiale nécessaire et suffisante pour amorcer l'indispensable expansion cranienne. Ce retour aux sources est là pour nous montrer l'importance de prendre un bon départ. Si l'embryon a eu un maximum de confort lors de sa croissance in utero, si la mère a su ou pu respecter une bonne hygiène de vie favorisant une grossesse idéale, et si bien sûr il n'y a pas de problèmes génétiques, la naissance se passant bien, le potentiel vital du bébé sera à son maximum. L'ostéopathe ne servira qu'à controler le bon fonctiomement cranien du bébé et de faire éventuellement un traitement préventif. Mais le bébé peut tout de même présenter des ennuis des voies aériennes supérieurs pendant son enfance dont l'origine sera autre que cranienne. C'est l'embryologie qui va nous faire mieux comprendre le lien de parenté existant entre les voies aériennes supérieures et les bronches, les poumons et les muqueuses de tout l'axe aéro-digestif. Ce schéma de Monsieur DE RIBET est un témoigmge interessant de la parenté somatique existante entre annexes des voies aériennes supérieures et annexes du tube digestif. Le sujet de cette thèse est posé. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 428 1.4 GAS Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt
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