Centre de Documentation et d'Information de l'Académie d'Ostéopathie
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La douleur projetée en ostéopathie / PICAZA ARANGUENA Begona
Titre : La douleur projetée en ostéopathie Type de document : texte imprimé Auteurs : PICAZA ARANGUENA Begona, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : TRAITEMENT PATHOLOGIE LESION PRIMAIRE ANATOMIE PHYSIOLOGIE DOULEUR SYSTEME NERVEUX SYSTEME NEURO-VEGETATIF SYSTEME PARASYMPATHIQUE SYSTEME SYMPATHIQUE OSTEOPATHIE CRANIENNE Résumé : Ce travail est un essai de méthodologie du point de vue Ostéoparhique des différents systèmes dont la réfèrence est la Douleur Projetée. Cet essai n'aura pas la prétention d'être complet, et il se fera toujours en établissant une relation entre les trois grandes pôles de la STRUCTURE HUMAINE, c'est à dire: . Le système Musculo-squelettique . Le système Neuro- Végétatif . Le système Psychique. Dans cette trilogie, le système Neuro- Végétatif joue un rôle prédominant, et dans celui-ci nous observerons que: - le système Ortho-sympathique est l'élément essentiel de la vie de relation. - le système Para-sympathique assure une protection du Milieu interne. "Il n'existe pas un seul tissu du corps qui ne reçoive un type d'inervation ortho-sympathique ., (1. KORR). Lorsque EVANS parle de la Douleur projetée, il décrit ainsi le mécanisme: "Un bombardement des influx douloureux de façon prolongée qui établit un cercle vicieux des réflexes, et qui à travers un réseau de connexions neuroniques multiples, ascendants et descendants traverse même la moâlle épinière jusqu'a atteindre le thalamus. Selon l'expression du réseau nous détecterons les phénoménes douloureux et les troubles du sympathjque à distance de la zone en léson (zone déclanchante) et quelque fois nous les trouvons même de façon contrelatérale dans le corps" La présence du signe physique de la Douleur nous permet au cours de notre travail quotidien de disposer d'un critére d'efficacité à court ou parfois à long terme du traitement effectué. En fait la Douleur est une émotion en soit, une emotion bien particuliére, l'émotion la plus primitive, l'émotion la plus essentielle. Elle fait intervenir les structures du système nerveux à différents niveaux. Ainsi la Douleur est une "sonnette d'alarma", subjective, pleine d'affectivité, mais qui pourra souvent être interprétée dans un contexte Neuro-Physiologique et servir de guide dans l'approche thérapeutique. Il faut comprendre les conséquences de notre acte normalisateur en tenant compte des explications Physiologiques et Anatomiques, et des incidences Neuro-Végétatives. Nous pourrons constater que les différentes convergences des influx nociceptifs peuvent ammener à déclencher différentes réponses douloureuses; parfois, et de façon curieuse, à distance de la zone à traiter. Le rôle de l'intègration spinale des messages nociceptifs, où les mécanismes intimes sont encore en lutte, explique bien le concept de FACILITATION induit par la LESION OSTêOPATHIQUE. Ainsi on comprend qu'un segment médullaire vers où convergent les irritations puisse être l'objet d'un bombardement qui proient des autres segments Nous considérons que l'Ostéopathie est une thérapie qui répond aux demandes humaines, elle est fonctionnelle et préventive. Il n'existe pas de lésion structurelle qui ne soit pas passée par un état de lésion fonctionnelle. Tout ce qui a été abordé jusqu'ici renforce le fait qu'il faut avoir une connaissance exahustive du système nerveux afin de comprendre la Théorie ostéopathique et sa pratique quotidienne. Nous inclurons dans notre travail un rappel anatomique et physiologique du système nerveux, qui nous orientera sur les voies, les moyens et les formes de transmission de la Douleur, ainsi que les différents systèmes impliqués. Etant donné les difficultés qu'implique la complexité du phénoméne douloureux, nous réviserons brièvement les mécanismes périphériques et centraux:, qui servent de support à la transmission de la Douleur, aussi que les systèmes de son contrôle. Après avoir fait un rappel des différents travaux qui ont été réalisés dans la recherche et la localisation des points, zones dénniques, conjonctives....etc. zones ruchées pour la Douleur projetée, nous tiendrons compte de tous ces paramètres et nous les utiliserons COMME UN MOYEN SUPPLêMENTAIRE à -notre bagage térapeutique en y ajoutant les différents tests habituels. Nous rechercherons une convergeance des signes qui nous mène à une découverte rapide et précise de la lesion primaire Ostéopathique au moment de traitement. Nous étudierons son utilité, comme moyen de vérification de l'efficacité de notre travail Ostéopathique à court et à long terme. La douleur projetée en ostéopathie [texte imprimé] / PICAZA ARANGUENA Begona, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : TRAITEMENT PATHOLOGIE LESION PRIMAIRE ANATOMIE PHYSIOLOGIE DOULEUR SYSTEME NERVEUX SYSTEME NEURO-VEGETATIF SYSTEME PARASYMPATHIQUE SYSTEME SYMPATHIQUE OSTEOPATHIE CRANIENNE Résumé : Ce travail est un essai de méthodologie du point de vue Ostéoparhique des différents systèmes dont la réfèrence est la Douleur Projetée. Cet essai n'aura pas la prétention d'être complet, et il se fera toujours en établissant une relation entre les trois grandes pôles de la STRUCTURE HUMAINE, c'est à dire: . Le système Musculo-squelettique . Le système Neuro- Végétatif . Le système Psychique. Dans cette trilogie, le système Neuro- Végétatif joue un rôle prédominant, et dans celui-ci nous observerons que: - le système Ortho-sympathique est l'élément essentiel de la vie de relation. - le système Para-sympathique assure une protection du Milieu interne. "Il n'existe pas un seul tissu du corps qui ne reçoive un type d'inervation ortho-sympathique ., (1. KORR). Lorsque EVANS parle de la Douleur projetée, il décrit ainsi le mécanisme: "Un bombardement des influx douloureux de façon prolongée qui établit un cercle vicieux des réflexes, et qui à travers un réseau de connexions neuroniques multiples, ascendants et descendants traverse même la moâlle épinière jusqu'a atteindre le thalamus. Selon l'expression du réseau nous détecterons les phénoménes douloureux et les troubles du sympathjque à distance de la zone en léson (zone déclanchante) et quelque fois nous les trouvons même de façon contrelatérale dans le corps" La présence du signe physique de la Douleur nous permet au cours de notre travail quotidien de disposer d'un critére d'efficacité à court ou parfois à long terme du traitement effectué. En fait la Douleur est une émotion en soit, une emotion bien particuliére, l'émotion la plus primitive, l'émotion la plus essentielle. Elle fait intervenir les structures du système nerveux à différents niveaux. Ainsi la Douleur est une "sonnette d'alarma", subjective, pleine d'affectivité, mais qui pourra souvent être interprétée dans un contexte Neuro-Physiologique et servir de guide dans l'approche thérapeutique. Il faut comprendre les conséquences de notre acte normalisateur en tenant compte des explications Physiologiques et Anatomiques, et des incidences Neuro-Végétatives. Nous pourrons constater que les différentes convergences des influx nociceptifs peuvent ammener à déclencher différentes réponses douloureuses; parfois, et de façon curieuse, à distance de la zone à traiter. Le rôle de l'intègration spinale des messages nociceptifs, où les mécanismes intimes sont encore en lutte, explique bien le concept de FACILITATION induit par la LESION OSTêOPATHIQUE. Ainsi on comprend qu'un segment médullaire vers où convergent les irritations puisse être l'objet d'un bombardement qui proient des autres segments Nous considérons que l'Ostéopathie est une thérapie qui répond aux demandes humaines, elle est fonctionnelle et préventive. Il n'existe pas de lésion structurelle qui ne soit pas passée par un état de lésion fonctionnelle. Tout ce qui a été abordé jusqu'ici renforce le fait qu'il faut avoir une connaissance exahustive du système nerveux afin de comprendre la Théorie ostéopathique et sa pratique quotidienne. Nous inclurons dans notre travail un rappel anatomique et physiologique du système nerveux, qui nous orientera sur les voies, les moyens et les formes de transmission de la Douleur, ainsi que les différents systèmes impliqués. Etant donné les difficultés qu'implique la complexité du phénoméne douloureux, nous réviserons brièvement les mécanismes périphériques et centraux:, qui servent de support à la transmission de la Douleur, aussi que les systèmes de son contrôle. Après avoir fait un rappel des différents travaux qui ont été réalisés dans la recherche et la localisation des points, zones dénniques, conjonctives....etc. zones ruchées pour la Douleur projetée, nous tiendrons compte de tous ces paramètres et nous les utiliserons COMME UN MOYEN SUPPLêMENTAIRE à -notre bagage térapeutique en y ajoutant les différents tests habituels. Nous rechercherons une convergeance des signes qui nous mène à une découverte rapide et précise de la lesion primaire Ostéopathique au moment de traitement. Nous étudierons son utilité, comme moyen de vérification de l'efficacité de notre travail Ostéopathique à court et à long terme. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 723 PIC Mémoire (ostéopathie) école d'ostéopathie Documentaires Exclu du prêt Faut-il encore traiter le diaphragme ? / Alain Turi
Titre : Faut-il encore traiter le diaphragme ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Turi, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE FASCIALE LESION PRIMAIRE ANATOMIE PHYSIOLOGIE EMBRYOLOGIE HISTOLOGIE MUSCLE ONTOGENESE DIAPHRAGME Résumé : La vie, c'est le mouvement, Qui oserait contester ce concept? Cette citation, qui a résonné tout au long de nos études, a été notre guide, notre repère et nous savons bien que nombreux sont les professionnels qui se rassurent par cette vérité exprimant un des mécanismes fondamentaux de la vie. La locomotion, la ventilation, la vasomotricité et la viscéro~motricité ainsi que la motilité et le mouvement respiratoire primaire sont autant d'exemples de matérialisation de la vie. Le corps humain, véritable mécanisme articulé, est animé ou maintenu par des ensembles musculaires. Cette notion de mobilisation et de stabilisation est un paradoxe avec lequel le corps compose sans cesse. S'il est vrai que la stabilité est nécessaire au maintien de la position debout, celle-ci ne pourra être obtenue que dans le mouvement par la mise en route de petites oscillations autour de la position de référence. De même, la mobilité est nécessaire aux relations avec le monde extérieur. Elle permet la préhention et la déambulation. Là , les données s'inversent car, pour s'exprimer essentiellement au niveau des extrémités, elle a besoin d'une certaine stabilité proximale synergique. En effet, afin de saisir un objet par exemple, le membre supérieur devra, pour se mobiliser, "prendre appui" sur une ceinture scapulaire et une colonne cervicodorsale rigidifiée lui offrant une plate-forme stable. Nous voyons donc que quelque soit le geste ou la posture envisagé( e ), seules les proportions des deux paramètres de mobilité et de stabilité seront changés. A la manière de YIN et du Y ANG, du sympathique et du parasympathique, ces deux nécessités ne s'excluent pas l'une de l'autre, mais se complètent en faisant varier leurs proportions respectives. Ces deux fonctions de mobilité et de stabilité vont donc nécessiter la participation de groupes musculaires à finalité différente. On distingue les muscles toniques à fibres rouges. Ce sont, en général, les courts restricteurs, donc de petits muscles souvent mono-articulaires, comme les spinaux, ayant un rôle de stabilité nécessitant un état de contraction quasi-permanent, aboutissant parfois à un état de surcharge et:/ou de contracture dont les effets et la symptomatologie remplissent les cabinets médicaux. A l'opposé, on distingue les muscles phasiques à fibres plutôt blanches qui sont, en général, de grands muscles de mouvement, comme le deltoïde, at un rôle dans la dynamique du corps. Parmi ces muscles phasiques il en est un aux fonctions multiples et à l'importance vitale car il est le moteur de la respiration. Il s'agit du diaphragme. Que n'a-t~on pas dit ou écrit sur le diaphragme? Source de tous les maux, ou bien, peu digne d'intérêt en ostéopathie, il a, en effet, été l'objet de nombreuses recherches et publications dans le domaine de la médecine dite traditionnelle mais aussi ostéopathique. S'il n'est pas l'objet de controverses, les avis des professionnels avertis divergent à son sujet. Certains praticiens ne le traitent jamais ou rarement, d'autres le travaillent systématiquement souvent en début de séances, d'autres, enfin, l'envisagent accessoirement en cours de traitement. Et pourtant, tous ces praticiens chevronnés, bien qu'ils aient sûrement quelques échecs, ont une majorité de réussite dans leurs interventions thérapeutiques. Alors lesquels ont raison, ceux qui traitent le diaphragme, ou les autres? Nous n'aurons pas la prétention de révolutionner les différentes théories sur ce muscle. Notre objectif sera d'essayer de répondre à plusieurs questions: - Est-il possible d'envisager une primarité de lésion diaphragmatique? - Les lésions diaphragmatiques nécessitent-elles une normalisation musculaire ostéopathique directe? - Lorsque nous nous déciderons à agir, quel sera le meilleur moment au cours du traitement pour réaliser nos techniques sur le diaphragme? - Existe-t~il une hiérarchie lésionnelle lorsque le diaphragme est impliqué? Après les rappels d'usage, nous essayerons d'expliquer, en la justifiant, notre manière d'envisager une intervention sur le diaphragme au cours du traitement. Pour cela, nous nous appuierons sur l'incontournable et indispensable anatomie, ainsi que sur les données d'ontogenèse, d'embryologie et d'histologie. Afin de montrer l'importance de l'Evolution et de la Bipédie sur le diaphragme, nous ferons ressortir quelques données de Phylogenèse, de Zoologie et d'Anatomie comparée. Il nous a paru intéressant de tenter d'actualiser les données classiques et ostéopathiques par des publications récentes. Les bibliothèques universitaires médicales regorgent de trésors. Par chance, une recherche bibliographique nous a permis de sélectionner quelques articles qui ont fait avancer notre cheminement en matières de physiologie diaphragmatique. Nous évoquerons donc, les rapports du diaphragme avec les grandes fonctions, ses conceptions actuelles et les considérations ostéopathiques qu'on peut lui porter. Notre pratique quotidienne a guidé notre synthèse personnelle. Nous livrerons notre protocole de traitement et ses indications en tentant d'expliquer les différentes façons d'envisager le travail du diaphragme dans un traitement ostéopathique global. Nous illustrerons notre pensée par l'exposé de quelques cas cliniques, témoins de nos réussites et de nos échecs en essayant, tant que faire se peut. de les analyser. ALORS, F AUT -IL ENCORE TRAITER LE DIAPHRAGME? Faut-il encore traiter le diaphragme ? [texte imprimé] / Alain Turi, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE FASCIALE LESION PRIMAIRE ANATOMIE PHYSIOLOGIE EMBRYOLOGIE HISTOLOGIE MUSCLE ONTOGENESE DIAPHRAGME Résumé : La vie, c'est le mouvement, Qui oserait contester ce concept? Cette citation, qui a résonné tout au long de nos études, a été notre guide, notre repère et nous savons bien que nombreux sont les professionnels qui se rassurent par cette vérité exprimant un des mécanismes fondamentaux de la vie. La locomotion, la ventilation, la vasomotricité et la viscéro~motricité ainsi que la motilité et le mouvement respiratoire primaire sont autant d'exemples de matérialisation de la vie. Le corps humain, véritable mécanisme articulé, est animé ou maintenu par des ensembles musculaires. Cette notion de mobilisation et de stabilisation est un paradoxe avec lequel le corps compose sans cesse. S'il est vrai que la stabilité est nécessaire au maintien de la position debout, celle-ci ne pourra être obtenue que dans le mouvement par la mise en route de petites oscillations autour de la position de référence. De même, la mobilité est nécessaire aux relations avec le monde extérieur. Elle permet la préhention et la déambulation. Là , les données s'inversent car, pour s'exprimer essentiellement au niveau des extrémités, elle a besoin d'une certaine stabilité proximale synergique. En effet, afin de saisir un objet par exemple, le membre supérieur devra, pour se mobiliser, "prendre appui" sur une ceinture scapulaire et une colonne cervicodorsale rigidifiée lui offrant une plate-forme stable. Nous voyons donc que quelque soit le geste ou la posture envisagé( e ), seules les proportions des deux paramètres de mobilité et de stabilité seront changés. A la manière de YIN et du Y ANG, du sympathique et du parasympathique, ces deux nécessités ne s'excluent pas l'une de l'autre, mais se complètent en faisant varier leurs proportions respectives. Ces deux fonctions de mobilité et de stabilité vont donc nécessiter la participation de groupes musculaires à finalité différente. On distingue les muscles toniques à fibres rouges. Ce sont, en général, les courts restricteurs, donc de petits muscles souvent mono-articulaires, comme les spinaux, ayant un rôle de stabilité nécessitant un état de contraction quasi-permanent, aboutissant parfois à un état de surcharge et:/ou de contracture dont les effets et la symptomatologie remplissent les cabinets médicaux. A l'opposé, on distingue les muscles phasiques à fibres plutôt blanches qui sont, en général, de grands muscles de mouvement, comme le deltoïde, at un rôle dans la dynamique du corps. Parmi ces muscles phasiques il en est un aux fonctions multiples et à l'importance vitale car il est le moteur de la respiration. Il s'agit du diaphragme. Que n'a-t~on pas dit ou écrit sur le diaphragme? Source de tous les maux, ou bien, peu digne d'intérêt en ostéopathie, il a, en effet, été l'objet de nombreuses recherches et publications dans le domaine de la médecine dite traditionnelle mais aussi ostéopathique. S'il n'est pas l'objet de controverses, les avis des professionnels avertis divergent à son sujet. Certains praticiens ne le traitent jamais ou rarement, d'autres le travaillent systématiquement souvent en début de séances, d'autres, enfin, l'envisagent accessoirement en cours de traitement. Et pourtant, tous ces praticiens chevronnés, bien qu'ils aient sûrement quelques échecs, ont une majorité de réussite dans leurs interventions thérapeutiques. Alors lesquels ont raison, ceux qui traitent le diaphragme, ou les autres? Nous n'aurons pas la prétention de révolutionner les différentes théories sur ce muscle. Notre objectif sera d'essayer de répondre à plusieurs questions: - Est-il possible d'envisager une primarité de lésion diaphragmatique? - Les lésions diaphragmatiques nécessitent-elles une normalisation musculaire ostéopathique directe? - Lorsque nous nous déciderons à agir, quel sera le meilleur moment au cours du traitement pour réaliser nos techniques sur le diaphragme? - Existe-t~il une hiérarchie lésionnelle lorsque le diaphragme est impliqué? Après les rappels d'usage, nous essayerons d'expliquer, en la justifiant, notre manière d'envisager une intervention sur le diaphragme au cours du traitement. Pour cela, nous nous appuierons sur l'incontournable et indispensable anatomie, ainsi que sur les données d'ontogenèse, d'embryologie et d'histologie. Afin de montrer l'importance de l'Evolution et de la Bipédie sur le diaphragme, nous ferons ressortir quelques données de Phylogenèse, de Zoologie et d'Anatomie comparée. Il nous a paru intéressant de tenter d'actualiser les données classiques et ostéopathiques par des publications récentes. Les bibliothèques universitaires médicales regorgent de trésors. Par chance, une recherche bibliographique nous a permis de sélectionner quelques articles qui ont fait avancer notre cheminement en matières de physiologie diaphragmatique. Nous évoquerons donc, les rapports du diaphragme avec les grandes fonctions, ses conceptions actuelles et les considérations ostéopathiques qu'on peut lui porter. Notre pratique quotidienne a guidé notre synthèse personnelle. Nous livrerons notre protocole de traitement et ses indications en tentant d'expliquer les différentes façons d'envisager le travail du diaphragme dans un traitement ostéopathique global. Nous illustrerons notre pensée par l'exposé de quelques cas cliniques, témoins de nos réussites et de nos échecs en essayant, tant que faire se peut. de les analyser. ALORS, F AUT -IL ENCORE TRAITER LE DIAPHRAGME? Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 904 1.3 TUR Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Influences du système myo-fascial dans la physiopathologie crânio-sacrée / Dominique Daurade
Titre : Influences du système myo-fascial dans la physiopathologie crânio-sacrée Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Daurade, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE CRANIENNE LESION PRIMAIRE FASCIAS PHYSIOPATHOLOGIE CONCEPT CRANIO-SACRE DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL EXAMEN TRAITEMENT Résumé : Lorsque l'on pratique l'ostéopathie crânienne on prend inévitablenent conscience que le crâne représente une sphère, focalisant à la fois ses propres pathologies mais également un ensemble de troubles extrinsèques à son fonctionnement venus aboutir à ce pôle supérieur. A plusieurs reprises, lorsqu'en débutant dans cette médecine, nous corrigions telle ou telle lésion, et satisfaits de nous, pensions avoir réglé un dysfonctionnement crânien, nous étions désagréablement surpris de revoir notre patient la séance suivante présentant exactement la même pathologie et déclarant avoir constaté une amélioration éphémère et transitoire. Devant ce constat, il devient évident et ceci n'est plus une révélation, qu'un bon nombre de lésions crâniennes ne sont en fait que des adaptations de ce dernier aux déséquilibres corporels sous-jacents. Par conséquent, il existe un système unissant la sphère crânienne au reste du corps. Ce lien mécanique a été découvert depuis longtemps, il est représenté par le système fascial périphérique et profond accompagné du système musculaire et de son tonus. Ces structures, par leur globalité anatomique et fonctionnelle, véhiculent les dysfonctionnements articulaires, viscéraux et liquidiens dans tous les plans de l'espace. Ils transmettent également dans cette relation, leurs pathologies internes ( cicatrices, lésions myo-fasciales) de sorte que lorsque l'on pose ses mains sur un crâne, nous avons le reflet de l'ensemble du corps. Deux questions s'imposent donc d'emblée, : - Lorsque l'on désire réduire une lésion crânienne, quelle lésion faut-il traiter? Assurément les lésions intrinsèques à ce système, que nous appellerons lésions primaires.) - Comment détecter, dans le dédale parfois impressionnant du crâne de certains de nos patients, ce qui est primaire de ce qui est adaptatif? Cette deuxième interrogation servira de fil conducteur à ce mémoire et nous essaierons modestement d'y répondre. Nous chercherons s'il est possible, en utilisant le système myofascial, de faire un inventaire causal des lésions et de déterminer, avec le plus de rigueur possible, ce qui appartient à quoi. Il nous fallait donc trouver un examen, une routine systématique, simple à mettre en place, rapide, et facile à interpréter, nous permettant d'effectuer un diagnostic différentiel. Après plusieurs hésitations et doutes, nous avons pensé qu'il fallait agir sur le système myo-fascial, le plus globalement possible, et se reporter au crâne pour en écouter sa réponse. L'inverse est beaucoup plus difficile car si nos deux mains couvrent pIus ou moins aisément l'ensemble de la boîte crânienne, il n'en n'est pas de même pour le système myo-fascial qui recouvre la presque totalité des constituants de notre organisme. Nous citerons cet extrait de John Upledger ( " Thérapie crânio-sacrée " ) qui corrobore notre point de vue : " On peut considérer l'organe fascial comme un labyrinthe qui permet de voyager de n'importe quel point du corps à un autre sans jamais quitter le fascia ; A la partie supérieure, beaucoup de lames fasciales s'insèrent sur le crâne. Les muscles tirant sur les fascias vont donc affecter la fonction crânio-sacrée. A partir de cette continuité un accident à n'importe quel point du corps affecte le système crânio-sacré. " Avant d'entrer véritablement dans le sujet de ce mémoire, nous précisons que nous avons volontairement et arbitrairement fait abstraction des rapports de la mandibule et de l'appareil oculaire avec la crâne. Ces deux systèmes sont susceptibles de générer certaines pathoIogies crâniennes mais d'autres thèses et ouvrages en ont fait la démonstration. Influences du système myo-fascial dans la physiopathologie crânio-sacrée [texte imprimé] / Dominique Daurade, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE CRANIENNE LESION PRIMAIRE FASCIAS PHYSIOPATHOLOGIE CONCEPT CRANIO-SACRE DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL EXAMEN TRAITEMENT Résumé : Lorsque l'on pratique l'ostéopathie crânienne on prend inévitablenent conscience que le crâne représente une sphère, focalisant à la fois ses propres pathologies mais également un ensemble de troubles extrinsèques à son fonctionnement venus aboutir à ce pôle supérieur. A plusieurs reprises, lorsqu'en débutant dans cette médecine, nous corrigions telle ou telle lésion, et satisfaits de nous, pensions avoir réglé un dysfonctionnement crânien, nous étions désagréablement surpris de revoir notre patient la séance suivante présentant exactement la même pathologie et déclarant avoir constaté une amélioration éphémère et transitoire. Devant ce constat, il devient évident et ceci n'est plus une révélation, qu'un bon nombre de lésions crâniennes ne sont en fait que des adaptations de ce dernier aux déséquilibres corporels sous-jacents. Par conséquent, il existe un système unissant la sphère crânienne au reste du corps. Ce lien mécanique a été découvert depuis longtemps, il est représenté par le système fascial périphérique et profond accompagné du système musculaire et de son tonus. Ces structures, par leur globalité anatomique et fonctionnelle, véhiculent les dysfonctionnements articulaires, viscéraux et liquidiens dans tous les plans de l'espace. Ils transmettent également dans cette relation, leurs pathologies internes ( cicatrices, lésions myo-fasciales) de sorte que lorsque l'on pose ses mains sur un crâne, nous avons le reflet de l'ensemble du corps. Deux questions s'imposent donc d'emblée, : - Lorsque l'on désire réduire une lésion crânienne, quelle lésion faut-il traiter? Assurément les lésions intrinsèques à ce système, que nous appellerons lésions primaires.) - Comment détecter, dans le dédale parfois impressionnant du crâne de certains de nos patients, ce qui est primaire de ce qui est adaptatif? Cette deuxième interrogation servira de fil conducteur à ce mémoire et nous essaierons modestement d'y répondre. Nous chercherons s'il est possible, en utilisant le système myofascial, de faire un inventaire causal des lésions et de déterminer, avec le plus de rigueur possible, ce qui appartient à quoi. Il nous fallait donc trouver un examen, une routine systématique, simple à mettre en place, rapide, et facile à interpréter, nous permettant d'effectuer un diagnostic différentiel. Après plusieurs hésitations et doutes, nous avons pensé qu'il fallait agir sur le système myo-fascial, le plus globalement possible, et se reporter au crâne pour en écouter sa réponse. L'inverse est beaucoup plus difficile car si nos deux mains couvrent pIus ou moins aisément l'ensemble de la boîte crânienne, il n'en n'est pas de même pour le système myo-fascial qui recouvre la presque totalité des constituants de notre organisme. Nous citerons cet extrait de John Upledger ( " Thérapie crânio-sacrée " ) qui corrobore notre point de vue : " On peut considérer l'organe fascial comme un labyrinthe qui permet de voyager de n'importe quel point du corps à un autre sans jamais quitter le fascia ; A la partie supérieure, beaucoup de lames fasciales s'insèrent sur le crâne. Les muscles tirant sur les fascias vont donc affecter la fonction crânio-sacrée. A partir de cette continuité un accident à n'importe quel point du corps affecte le système crânio-sacré. " Avant d'entrer véritablement dans le sujet de ce mémoire, nous précisons que nous avons volontairement et arbitrairement fait abstraction des rapports de la mandibule et de l'appareil oculaire avec la crâne. Ces deux systèmes sont susceptibles de générer certaines pathoIogies crâniennes mais d'autres thèses et ouvrages en ont fait la démonstration. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 294 1.4 DAU Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Les vertiges post-traumatiques / Georges Abou-Khalil
Titre : Les vertiges post-traumatiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Abou-Khalil, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : TRAITEMENT PATHOLOGIE VERTIGE PHYSIOLOGIE REFLEXE OCULO-CEPHALOGYRE BOUCLE VESTIBULAIRE TRAUMATISME LESION PRIMAIRE OSTEOPATHIE CRANIENNE Résumé : L'expression "ça me donne le vertige" est encore souvent utilisée à notre époque. En effet il existe de nombreux vertiges d'origines très diverses. Notre propos ici s'adresse aux vertiges occasionnés par des traumatismes dont les conséquences constituent un motif fréquent de consultation ostéopathique. Dans cette pathologie il faut prendre en considération plusieurs facteurs: - le réflexe visuo vestibulo-oculaire, - le réflexe vestibulo-spinal - ainsi que la sauvegarde des artères vertébrales cervicales ; tout ceci conduisant l'ostéopathe à résoudre les problèmes posés en remontant à la cause. Les vertiges post-traumatiques [texte imprimé] / Georges Abou-Khalil, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : TRAITEMENT PATHOLOGIE VERTIGE PHYSIOLOGIE REFLEXE OCULO-CEPHALOGYRE BOUCLE VESTIBULAIRE TRAUMATISME LESION PRIMAIRE OSTEOPATHIE CRANIENNE Résumé : L'expression "ça me donne le vertige" est encore souvent utilisée à notre époque. En effet il existe de nombreux vertiges d'origines très diverses. Notre propos ici s'adresse aux vertiges occasionnés par des traumatismes dont les conséquences constituent un motif fréquent de consultation ostéopathique. Dans cette pathologie il faut prendre en considération plusieurs facteurs: - le réflexe visuo vestibulo-oculaire, - le réflexe vestibulo-spinal - ainsi que la sauvegarde des artères vertébrales cervicales ; tout ceci conduisant l'ostéopathe à résoudre les problèmes posés en remontant à la cause. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 5 ABO Mémoire (ostéopathie) école d'ostéopathie Documentaires Exclu du prêt
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