Centre de Documentation et d'Information de l'Académie d'Ostéopathie
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9 recherche sur le mot-clé 'HISTOLOGIE'
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Asthme de l'enfant : une nouvelle voie étiologique, le reflux gastro-oesophagien (L') / Sylvain Dottor
Titre : Asthme de l'enfant : une nouvelle voie étiologique, le reflux gastro-oesophagien (L') Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvain Dottor, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : PATHOLOGIE ASTHME REFLUS GASTRO OESOPHAGIEN RGO SOCIOLOGIE ENFANT OSTEOPATHIE VISCERALE PHYSIOLOGIE HISTOLOGIE PHYSIOPATHOLOGIE TRAITEMENT MEDECINE ALLOPATHIQUE PEDIATRIE Résumé : La relation entre l'asthme et le reflux gastro-oesophagien a été étudiée depuis une quinzaine d'années mais jamais avec des critères ostéopathiques. Cette voie de recherche, somme toute encore nouvelle, n'a pas encore abouti sur de nombreux points et plusieurs théories s'affrontent. La médecine ostéopathique trouve ici tout son sens, en effet, de concept gIobaliste: elle est tout à fait adaptée à une étude reliant la sphère digestive et cardio-respiratoire. Le travail que nous avons effectué depuis quatre ans dans le service de pédiatrie de l 'Hopital JEAN VERDIER nous a permis de sélectionner une population homogène de 20 enfants dont 10 seront traités. Nous proposons donc, dans le cadre de ce travail, de procéder tout d'abord à des rappels les plus précis et les plus récents possibles par rapport aux données de la littérature, en anatomie, histologie, physiologie, physiopathologie et clinique. Les enfants asthmatiques sont souvent explorés et traités en allopathie. Nous évoquerons donc les examens complémentaires et traitements pharmacologiques. Nous proposerons ensuite une analyse mécanique de l'asthme en soulignant ses rapports avec le reflux gastro-oesophagien et la diététique et pour finir nous présenterons notre travail et son analyse. A vec l'aide précieuse, car précise et rigoureuse du laboratoire d'explorations fonctionnelles digestives et Pulmonaires de l'hopital Asthme de l'enfant : une nouvelle voie étiologique, le reflux gastro-oesophagien (L') [texte imprimé] / Sylvain Dottor, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : PATHOLOGIE ASTHME REFLUS GASTRO OESOPHAGIEN RGO SOCIOLOGIE ENFANT OSTEOPATHIE VISCERALE PHYSIOLOGIE HISTOLOGIE PHYSIOPATHOLOGIE TRAITEMENT MEDECINE ALLOPATHIQUE PEDIATRIE Résumé : La relation entre l'asthme et le reflux gastro-oesophagien a été étudiée depuis une quinzaine d'années mais jamais avec des critères ostéopathiques. Cette voie de recherche, somme toute encore nouvelle, n'a pas encore abouti sur de nombreux points et plusieurs théories s'affrontent. La médecine ostéopathique trouve ici tout son sens, en effet, de concept gIobaliste: elle est tout à fait adaptée à une étude reliant la sphère digestive et cardio-respiratoire. Le travail que nous avons effectué depuis quatre ans dans le service de pédiatrie de l 'Hopital JEAN VERDIER nous a permis de sélectionner une population homogène de 20 enfants dont 10 seront traités. Nous proposons donc, dans le cadre de ce travail, de procéder tout d'abord à des rappels les plus précis et les plus récents possibles par rapport aux données de la littérature, en anatomie, histologie, physiologie, physiopathologie et clinique. Les enfants asthmatiques sont souvent explorés et traités en allopathie. Nous évoquerons donc les examens complémentaires et traitements pharmacologiques. Nous proposerons ensuite une analyse mécanique de l'asthme en soulignant ses rapports avec le reflux gastro-oesophagien et la diététique et pour finir nous présenterons notre travail et son analyse. A vec l'aide précieuse, car précise et rigoureuse du laboratoire d'explorations fonctionnelles digestives et Pulmonaires de l'hopital Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 344 6 DOT Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Eléments et apports de rhéologie dans l'étude ostéopathique du système myofascial / Jean-Charles Daubon
Titre : Eléments et apports de rhéologie dans l'étude ostéopathique du système myofascial Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Charles Daubon, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : OSTEOPATHIE FASCIALE HISTOLOGIE PHYSIQUE RHEOLOGIE BIOLOGIE TISSU MUSCLE FASCIAS FLUIDE TISSU CONJONCTIF METHODE MEZIERES TRAITEMENT Résumé : Après avoir disséqué l'Homme par petits morceaux , en spécialités, nous avons perdu de vue la globalité des réactions d'un être vivant. Il faut donc reprendre le problème différemment, sur une autre base, sans pour autant négliger tout l'acquit. Connaître l'Individu biologiquement, c'est examiner les milieux d'observation que l'on peut effectuer sur ses humeurs, ses tissus, ses fonctions. L'analyse de sang par exemple fournit d'innombrables chiffres sur la quantité des éléments figurés, la vitesse de sédimentation des hématies, la composition en lipides, protides et glucides etc ... L'analyse des tissus, rôle de l'histologie, montre les cellules différenciées qui constituent les tissus aux fonctions particulières. L'analyse des Fonctions au travers des manifestations électriques par exemple donne: - sous la forme d'électrocardiogramme, la valeur de la fonction cardiaque - sous la forme d'électro encéphalogramme, la valeur de certaines fonctions cérébrales etc ... La mise en chiffres de toutes ces données biologiques a permis d'établir des normes de santé, selon les âges et le sexe correspondant à une fourchette placée entre deux seuils "MINI" et "MA XI " . Les chiffres placés en deçà ou au delà correspondent à divers états pathologiques appréciés et confirmés en fonction de l'examen clinique. Eléments et apports de rhéologie dans l'étude ostéopathique du système myofascial [texte imprimé] / Jean-Charles Daubon, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : OSTEOPATHIE FASCIALE HISTOLOGIE PHYSIQUE RHEOLOGIE BIOLOGIE TISSU MUSCLE FASCIAS FLUIDE TISSU CONJONCTIF METHODE MEZIERES TRAITEMENT Résumé : Après avoir disséqué l'Homme par petits morceaux , en spécialités, nous avons perdu de vue la globalité des réactions d'un être vivant. Il faut donc reprendre le problème différemment, sur une autre base, sans pour autant négliger tout l'acquit. Connaître l'Individu biologiquement, c'est examiner les milieux d'observation que l'on peut effectuer sur ses humeurs, ses tissus, ses fonctions. L'analyse de sang par exemple fournit d'innombrables chiffres sur la quantité des éléments figurés, la vitesse de sédimentation des hématies, la composition en lipides, protides et glucides etc ... L'analyse des tissus, rôle de l'histologie, montre les cellules différenciées qui constituent les tissus aux fonctions particulières. L'analyse des Fonctions au travers des manifestations électriques par exemple donne: - sous la forme d'électrocardiogramme, la valeur de la fonction cardiaque - sous la forme d'électro encéphalogramme, la valeur de certaines fonctions cérébrales etc ... La mise en chiffres de toutes ces données biologiques a permis d'établir des normes de santé, selon les âges et le sexe correspondant à une fourchette placée entre deux seuils "MINI" et "MA XI " . Les chiffres placés en deçà ou au delà correspondent à divers états pathologiques appréciés et confirmés en fonction de l'examen clinique. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 291 DAU Mémoire (ostéopathie) école d'ostéopathie Documentaires Exclu du prêt Faut-il encore traiter le diaphragme ? / Alain Turi
Titre : Faut-il encore traiter le diaphragme ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Turi, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE FASCIALE LESION PRIMAIRE ANATOMIE PHYSIOLOGIE EMBRYOLOGIE HISTOLOGIE MUSCLE ONTOGENESE DIAPHRAGME Résumé : La vie, c'est le mouvement, Qui oserait contester ce concept? Cette citation, qui a résonné tout au long de nos études, a été notre guide, notre repère et nous savons bien que nombreux sont les professionnels qui se rassurent par cette vérité exprimant un des mécanismes fondamentaux de la vie. La locomotion, la ventilation, la vasomotricité et la viscéro~motricité ainsi que la motilité et le mouvement respiratoire primaire sont autant d'exemples de matérialisation de la vie. Le corps humain, véritable mécanisme articulé, est animé ou maintenu par des ensembles musculaires. Cette notion de mobilisation et de stabilisation est un paradoxe avec lequel le corps compose sans cesse. S'il est vrai que la stabilité est nécessaire au maintien de la position debout, celle-ci ne pourra être obtenue que dans le mouvement par la mise en route de petites oscillations autour de la position de référence. De même, la mobilité est nécessaire aux relations avec le monde extérieur. Elle permet la préhention et la déambulation. Là , les données s'inversent car, pour s'exprimer essentiellement au niveau des extrémités, elle a besoin d'une certaine stabilité proximale synergique. En effet, afin de saisir un objet par exemple, le membre supérieur devra, pour se mobiliser, "prendre appui" sur une ceinture scapulaire et une colonne cervicodorsale rigidifiée lui offrant une plate-forme stable. Nous voyons donc que quelque soit le geste ou la posture envisagé( e ), seules les proportions des deux paramètres de mobilité et de stabilité seront changés. A la manière de YIN et du Y ANG, du sympathique et du parasympathique, ces deux nécessités ne s'excluent pas l'une de l'autre, mais se complètent en faisant varier leurs proportions respectives. Ces deux fonctions de mobilité et de stabilité vont donc nécessiter la participation de groupes musculaires à finalité différente. On distingue les muscles toniques à fibres rouges. Ce sont, en général, les courts restricteurs, donc de petits muscles souvent mono-articulaires, comme les spinaux, ayant un rôle de stabilité nécessitant un état de contraction quasi-permanent, aboutissant parfois à un état de surcharge et:/ou de contracture dont les effets et la symptomatologie remplissent les cabinets médicaux. A l'opposé, on distingue les muscles phasiques à fibres plutôt blanches qui sont, en général, de grands muscles de mouvement, comme le deltoïde, at un rôle dans la dynamique du corps. Parmi ces muscles phasiques il en est un aux fonctions multiples et à l'importance vitale car il est le moteur de la respiration. Il s'agit du diaphragme. Que n'a-t~on pas dit ou écrit sur le diaphragme? Source de tous les maux, ou bien, peu digne d'intérêt en ostéopathie, il a, en effet, été l'objet de nombreuses recherches et publications dans le domaine de la médecine dite traditionnelle mais aussi ostéopathique. S'il n'est pas l'objet de controverses, les avis des professionnels avertis divergent à son sujet. Certains praticiens ne le traitent jamais ou rarement, d'autres le travaillent systématiquement souvent en début de séances, d'autres, enfin, l'envisagent accessoirement en cours de traitement. Et pourtant, tous ces praticiens chevronnés, bien qu'ils aient sûrement quelques échecs, ont une majorité de réussite dans leurs interventions thérapeutiques. Alors lesquels ont raison, ceux qui traitent le diaphragme, ou les autres? Nous n'aurons pas la prétention de révolutionner les différentes théories sur ce muscle. Notre objectif sera d'essayer de répondre à plusieurs questions: - Est-il possible d'envisager une primarité de lésion diaphragmatique? - Les lésions diaphragmatiques nécessitent-elles une normalisation musculaire ostéopathique directe? - Lorsque nous nous déciderons à agir, quel sera le meilleur moment au cours du traitement pour réaliser nos techniques sur le diaphragme? - Existe-t~il une hiérarchie lésionnelle lorsque le diaphragme est impliqué? Après les rappels d'usage, nous essayerons d'expliquer, en la justifiant, notre manière d'envisager une intervention sur le diaphragme au cours du traitement. Pour cela, nous nous appuierons sur l'incontournable et indispensable anatomie, ainsi que sur les données d'ontogenèse, d'embryologie et d'histologie. Afin de montrer l'importance de l'Evolution et de la Bipédie sur le diaphragme, nous ferons ressortir quelques données de Phylogenèse, de Zoologie et d'Anatomie comparée. Il nous a paru intéressant de tenter d'actualiser les données classiques et ostéopathiques par des publications récentes. Les bibliothèques universitaires médicales regorgent de trésors. Par chance, une recherche bibliographique nous a permis de sélectionner quelques articles qui ont fait avancer notre cheminement en matières de physiologie diaphragmatique. Nous évoquerons donc, les rapports du diaphragme avec les grandes fonctions, ses conceptions actuelles et les considérations ostéopathiques qu'on peut lui porter. Notre pratique quotidienne a guidé notre synthèse personnelle. Nous livrerons notre protocole de traitement et ses indications en tentant d'expliquer les différentes façons d'envisager le travail du diaphragme dans un traitement ostéopathique global. Nous illustrerons notre pensée par l'exposé de quelques cas cliniques, témoins de nos réussites et de nos échecs en essayant, tant que faire se peut. de les analyser. ALORS, F AUT -IL ENCORE TRAITER LE DIAPHRAGME? Faut-il encore traiter le diaphragme ? [texte imprimé] / Alain Turi, Auteur . - [s.d.].
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Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : OSTEOPATHIE FASCIALE LESION PRIMAIRE ANATOMIE PHYSIOLOGIE EMBRYOLOGIE HISTOLOGIE MUSCLE ONTOGENESE DIAPHRAGME Résumé : La vie, c'est le mouvement, Qui oserait contester ce concept? Cette citation, qui a résonné tout au long de nos études, a été notre guide, notre repère et nous savons bien que nombreux sont les professionnels qui se rassurent par cette vérité exprimant un des mécanismes fondamentaux de la vie. La locomotion, la ventilation, la vasomotricité et la viscéro~motricité ainsi que la motilité et le mouvement respiratoire primaire sont autant d'exemples de matérialisation de la vie. Le corps humain, véritable mécanisme articulé, est animé ou maintenu par des ensembles musculaires. Cette notion de mobilisation et de stabilisation est un paradoxe avec lequel le corps compose sans cesse. S'il est vrai que la stabilité est nécessaire au maintien de la position debout, celle-ci ne pourra être obtenue que dans le mouvement par la mise en route de petites oscillations autour de la position de référence. De même, la mobilité est nécessaire aux relations avec le monde extérieur. Elle permet la préhention et la déambulation. Là , les données s'inversent car, pour s'exprimer essentiellement au niveau des extrémités, elle a besoin d'une certaine stabilité proximale synergique. En effet, afin de saisir un objet par exemple, le membre supérieur devra, pour se mobiliser, "prendre appui" sur une ceinture scapulaire et une colonne cervicodorsale rigidifiée lui offrant une plate-forme stable. Nous voyons donc que quelque soit le geste ou la posture envisagé( e ), seules les proportions des deux paramètres de mobilité et de stabilité seront changés. A la manière de YIN et du Y ANG, du sympathique et du parasympathique, ces deux nécessités ne s'excluent pas l'une de l'autre, mais se complètent en faisant varier leurs proportions respectives. Ces deux fonctions de mobilité et de stabilité vont donc nécessiter la participation de groupes musculaires à finalité différente. On distingue les muscles toniques à fibres rouges. Ce sont, en général, les courts restricteurs, donc de petits muscles souvent mono-articulaires, comme les spinaux, ayant un rôle de stabilité nécessitant un état de contraction quasi-permanent, aboutissant parfois à un état de surcharge et:/ou de contracture dont les effets et la symptomatologie remplissent les cabinets médicaux. A l'opposé, on distingue les muscles phasiques à fibres plutôt blanches qui sont, en général, de grands muscles de mouvement, comme le deltoïde, at un rôle dans la dynamique du corps. Parmi ces muscles phasiques il en est un aux fonctions multiples et à l'importance vitale car il est le moteur de la respiration. Il s'agit du diaphragme. Que n'a-t~on pas dit ou écrit sur le diaphragme? Source de tous les maux, ou bien, peu digne d'intérêt en ostéopathie, il a, en effet, été l'objet de nombreuses recherches et publications dans le domaine de la médecine dite traditionnelle mais aussi ostéopathique. S'il n'est pas l'objet de controverses, les avis des professionnels avertis divergent à son sujet. Certains praticiens ne le traitent jamais ou rarement, d'autres le travaillent systématiquement souvent en début de séances, d'autres, enfin, l'envisagent accessoirement en cours de traitement. Et pourtant, tous ces praticiens chevronnés, bien qu'ils aient sûrement quelques échecs, ont une majorité de réussite dans leurs interventions thérapeutiques. Alors lesquels ont raison, ceux qui traitent le diaphragme, ou les autres? Nous n'aurons pas la prétention de révolutionner les différentes théories sur ce muscle. Notre objectif sera d'essayer de répondre à plusieurs questions: - Est-il possible d'envisager une primarité de lésion diaphragmatique? - Les lésions diaphragmatiques nécessitent-elles une normalisation musculaire ostéopathique directe? - Lorsque nous nous déciderons à agir, quel sera le meilleur moment au cours du traitement pour réaliser nos techniques sur le diaphragme? - Existe-t~il une hiérarchie lésionnelle lorsque le diaphragme est impliqué? Après les rappels d'usage, nous essayerons d'expliquer, en la justifiant, notre manière d'envisager une intervention sur le diaphragme au cours du traitement. Pour cela, nous nous appuierons sur l'incontournable et indispensable anatomie, ainsi que sur les données d'ontogenèse, d'embryologie et d'histologie. Afin de montrer l'importance de l'Evolution et de la Bipédie sur le diaphragme, nous ferons ressortir quelques données de Phylogenèse, de Zoologie et d'Anatomie comparée. Il nous a paru intéressant de tenter d'actualiser les données classiques et ostéopathiques par des publications récentes. Les bibliothèques universitaires médicales regorgent de trésors. Par chance, une recherche bibliographique nous a permis de sélectionner quelques articles qui ont fait avancer notre cheminement en matières de physiologie diaphragmatique. Nous évoquerons donc, les rapports du diaphragme avec les grandes fonctions, ses conceptions actuelles et les considérations ostéopathiques qu'on peut lui porter. Notre pratique quotidienne a guidé notre synthèse personnelle. Nous livrerons notre protocole de traitement et ses indications en tentant d'expliquer les différentes façons d'envisager le travail du diaphragme dans un traitement ostéopathique global. Nous illustrerons notre pensée par l'exposé de quelques cas cliniques, témoins de nos réussites et de nos échecs en essayant, tant que faire se peut. de les analyser. ALORS, F AUT -IL ENCORE TRAITER LE DIAPHRAGME? Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 904 1.3 TUR Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Foie et ostéopathie : à partir de quelques observations peut-on penser qu'il existe un lien entre le foie et la charnière cervico-dorsale ? Que peuvent apporter la lecture de Still, l'embryologie, la neurophysiologie dans l'étude de ces liens ? / Jacques Thomas
Titre : Foie et ostéopathie : à partir de quelques observations peut-on penser qu'il existe un lien entre le foie et la charnière cervico-dorsale ? Que peuvent apporter la lecture de Still, l'embryologie, la neurophysiologie dans l'étude de ces liens ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Thomas, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : HISTOLOGIE ANATOMIE PHYSIOLOGIE NEUROLOGIE FOIE CHARNIERE C7/ D1 EMBRYOLOGIE OSTEOPATHIE VISCERALE TRAITEMENT Résumé : La vie et le travail d'un ostéopathe s'appuient sur les fondements posés par AT STILL . "La structure gouverne la fonction" , "la règle de l'artère est suprême" , ainsi que "les trois liens, mécanique, fluidique et neurologique" ont bercé nos études et président à la recherche de la cause de la lésion. Bien entendu, il s'agit de traiter des patients dont la structure anatomique est "a priori" aboutie, quoique l'on trouve parfois des anomalies dues à un développement embryonnaire "inachevé" tel que, par exemple, un spina bifida occulta. STILL insistait particulièrement Sur l'apprentissage de l'anatomie, laquelle comprenait selon lui non seulement l'anatomie descriptive, mais aussi l'histologie, la physiologie, la chimie élémentaire et, naturellement, la clinique. Toutefois, la progression du savoir scientifique a permis de mettre en évidence une physiologie plus précise et, pour certaines anomalies, une origine antérieure à la naissance due au développement embryonnaire. Certains organes voient également des modifications de leur fonction au cours de - et après - la vie embryonnaire. D'autre part, certaines constatations cliniques nous ont interrogé quant aux liens qui semblent exister entre deux régions, en l'occurrence la charnière cervico-dorsale et le foie, alors même que l'explication anatomique descriptive paraît insuffisante. Nous avons donc décidé de reprendre ce que STILL connaissait et supposait à l'époque de tous ces éléments de l'anatomie, en nous intéressant particulièrement à un organe: le foie. Mais, tout d'abord, pour illustrer ce qui nous a fait poser cette question, nousallons présenter quelques observations, bien sûr orientées vers cet organe qu'est le foie, au travers de manifestations "a priori" éloignées les unes des autres. Nous tâcherons d'en extraire les interrogations à l'origine de ce travail. Nous verrons ensuite ce que STILL écrivait à propos du traitement de certaines maladies et comment, à notre avis, nous pouvons les relier au foie. Cependant, certains liens n'apparaissent pas de façon évidente, ce qui amène la question d'une organisation antérieure dont l'origine pourrait se trouver dans le développement embryonnaire. Nous essaierons donc de voir, avec l'étude de l'embryologie, si un lien peut être mis en évidence par ce biais. Foie et ostéopathie : à partir de quelques observations peut-on penser qu'il existe un lien entre le foie et la charnière cervico-dorsale ? Que peuvent apporter la lecture de Still, l'embryologie, la neurophysiologie dans l'étude de ces liens ? [texte imprimé] / Jacques Thomas, Auteur . - [s.d.].
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Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : HISTOLOGIE ANATOMIE PHYSIOLOGIE NEUROLOGIE FOIE CHARNIERE C7/ D1 EMBRYOLOGIE OSTEOPATHIE VISCERALE TRAITEMENT Résumé : La vie et le travail d'un ostéopathe s'appuient sur les fondements posés par AT STILL . "La structure gouverne la fonction" , "la règle de l'artère est suprême" , ainsi que "les trois liens, mécanique, fluidique et neurologique" ont bercé nos études et président à la recherche de la cause de la lésion. Bien entendu, il s'agit de traiter des patients dont la structure anatomique est "a priori" aboutie, quoique l'on trouve parfois des anomalies dues à un développement embryonnaire "inachevé" tel que, par exemple, un spina bifida occulta. STILL insistait particulièrement Sur l'apprentissage de l'anatomie, laquelle comprenait selon lui non seulement l'anatomie descriptive, mais aussi l'histologie, la physiologie, la chimie élémentaire et, naturellement, la clinique. Toutefois, la progression du savoir scientifique a permis de mettre en évidence une physiologie plus précise et, pour certaines anomalies, une origine antérieure à la naissance due au développement embryonnaire. Certains organes voient également des modifications de leur fonction au cours de - et après - la vie embryonnaire. D'autre part, certaines constatations cliniques nous ont interrogé quant aux liens qui semblent exister entre deux régions, en l'occurrence la charnière cervico-dorsale et le foie, alors même que l'explication anatomique descriptive paraît insuffisante. Nous avons donc décidé de reprendre ce que STILL connaissait et supposait à l'époque de tous ces éléments de l'anatomie, en nous intéressant particulièrement à un organe: le foie. Mais, tout d'abord, pour illustrer ce qui nous a fait poser cette question, nousallons présenter quelques observations, bien sûr orientées vers cet organe qu'est le foie, au travers de manifestations "a priori" éloignées les unes des autres. Nous tâcherons d'en extraire les interrogations à l'origine de ce travail. Nous verrons ensuite ce que STILL écrivait à propos du traitement de certaines maladies et comment, à notre avis, nous pouvons les relier au foie. Cependant, certains liens n'apparaissent pas de façon évidente, ce qui amène la question d'une organisation antérieure dont l'origine pourrait se trouver dans le développement embryonnaire. Nous essaierons donc de voir, avec l'étude de l'embryologie, si un lien peut être mis en évidence par ce biais. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 883 THO Mémoire (ostéopathie) école d'ostéopathie Documentaires Exclu du prêt Angle du "J" gastrique en orthostatisme et la digestion : radiologie et traitement (L') / Aebischer, Liliane
Titre : Angle du "J" gastrique en orthostatisme et la digestion : radiologie et traitement (L') Type de document : texte imprimé Auteurs : Aebischer, Liliane, Auteur ; Arthur Cerdan, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : PALPATION ANATOMIE HISTOLOGIE PHYSIOLOGIE ESTOMAC APPAREIL DIGESTIF DIGESTION TRAITEMENT OSTEOPATHIE VISCERALE Résumé : Cette thèse a pour but de démontrer l'influence de l'angledu "J" Gastrique sur la digest ion; pourquoi cette appellation de "J"' gastrique. L'estomac a approximativement la forme d'une lettre "J" . Si l'on tire une droite partant du centre de la grosse tubérosité jusqu'au fond gastrique, et, une seconde droite partant du fond gastrique et passant par le pylore, de ce fait on détermine un angle, le fameux angle J. Il est aisé de comprendre que selon les types de morphologies, cet angle'" va être ouvert pour les brévilignes et fermé pour les longilignes. Ceci étant dû à la pression intra-abdominale (paquet abdominal) augmentée chez les brévilignes, et, au contraire chutée chez les longilignes. En conséquence, cet angle explique le pourquoi du ralentissement ou de l'accélération de la vidange gastrique lors de la digestion. Chez les brévilignes, elle sera rapide, ou chez les longilignes, plus longue. Angle du "J" gastrique en orthostatisme et la digestion : radiologie et traitement (L') [texte imprimé] / Aebischer, Liliane, Auteur ; Arthur Cerdan, Auteur . - [s.d.].
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Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : PALPATION ANATOMIE HISTOLOGIE PHYSIOLOGIE ESTOMAC APPAREIL DIGESTIF DIGESTION TRAITEMENT OSTEOPATHIE VISCERALE Résumé : Cette thèse a pour but de démontrer l'influence de l'angledu "J" Gastrique sur la digest ion; pourquoi cette appellation de "J"' gastrique. L'estomac a approximativement la forme d'une lettre "J" . Si l'on tire une droite partant du centre de la grosse tubérosité jusqu'au fond gastrique, et, une seconde droite partant du fond gastrique et passant par le pylore, de ce fait on détermine un angle, le fameux angle J. Il est aisé de comprendre que selon les types de morphologies, cet angle'" va être ouvert pour les brévilignes et fermé pour les longilignes. Ceci étant dû à la pression intra-abdominale (paquet abdominal) augmentée chez les brévilignes, et, au contraire chutée chez les longilignes. En conséquence, cet angle explique le pourquoi du ralentissement ou de l'accélération de la vidange gastrique lors de la digestion. Chez les brévilignes, elle sera rapide, ou chez les longilignes, plus longue. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 14 AEB Mémoire (ostéopathie) école d'ostéopathie Documentaires Exclu du prêt Approche modélisée des variations de flux laminaire liées aux différences d'orientations des ostias des sinus / GERY Eric
PermalinkInfluence du liquide céphalo-rachidien sur la myopie axile / Elisabeth Aurand-Moll
PermalinkInfluence d'une manipulation ostéopathique sur la formation d'adhérences post-opératoires : étude expérimentale prospective par tirage au sort / Dominique Blanc
PermalinkLa lésion intra-osseuse : de l'origine anatomo-physio-pathologique à l'empreinte émotionnelle / Jacques Daviles
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