Centre de Documentation et d'Information de l'Académie d'Ostéopathie
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Stress et petit épiploon / Jean-Louis Catelin
Titre : Stress et petit épiploon Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Louis Catelin, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : PSYCHOLOGIE STRESS ANATOMIE EMBRYOLOGIE INNERVATION PETIT EPIPLOON OSTEOPATHIE VISCERALE D12 PATHOLOGIE DYSPHAGIE TRAITEMENT Résumé : C'est à partir du cas d'une patiente venue me consulter pour des douleurs dorsales que m'est venue l'idée de ce MEMOIRE. Cette patiente, Madame P. J., 30 ans, comptable, me dit à l'interrogatoire avoir des dysphagies. Outre des lésions ne présentant pas d'intérêts particulier pour ce MEMOIRE, elle avait une raideur dorsale basse avec une translation .de D 12. A l'écoute: * Absence de motilité de l'estomac * Le point de JARRICOT (dermalgle thoraco-abdomlnale) était sensible. * La mobilité de l'estomac était limitée. Mon traitement fut basé sur la motilité et la mobilité de l'estomac et la translation de D12. La patiente revint quinze jours après, déclarant que les symptômes avaient diminué dans un premier temps, mais qu'ils revenaient maintenant avec une densité plus forte. A l'examen, je retrouvais les mêmes signes, à savoir: * Perte de motllité et de mobilité de l'estomac * D12 en translation De plus, je décelai un spasme du petit épiploon. Je repris donc le même traitement ostéopathique en lui incluant une manoeuvre déspasmante du petit épiploon. Le bienfait de mes manoeuvres dura un an et demi, époque où ma patiente revint en consultation. A l'examen mêmes signes:. * Absence de mobilité et de motilité de l'estomac. * Torsion du petit épiploon. A l'interrogatoire J'appris que son fils venait de se sectionner deux doigts de la main gauche et que sa mère était dans un service de réanimation pour un O.A.P. Cela constituait donc des événements très stressants. Le stress était-il important dans la symptomatologie de la patiente? Pour répondre à cette question, j'interrogeais la patiente sur la période précédente, celle qui avait nécessité ses premières consultations. On y retrouvait déjà une fracture de jambe de sa mère et la mise au chômage de son mari. Stress et petit épiploon seraient-ils liés ? C'est ce que je m'efforcerai dans un premier temps de rechercher. Dans un deuxième temps je me demanderai si la qualité du stress influencera la zone du petit éplploon qui sera mise en distorsion. Je rechercherai ensuite si la réponse ostéopathique que je propose est suffisamment efficace et quels chemins elle peut emprunter. Pour ce faire, Il me faut d'abord définir le petit épiploon dans: - son origine embryologique - son anatomie - ses innervations Puis il faudra essayer de définir le stress, dans ses qualités et terrains d'actions. Enfin, à l'aide de quelques cas sélectionnés j'essaierai de donner des réponses aux différentes questions qui sont le but de ce MEMOIRE. Stress et petit épiploon [texte imprimé] / Jean-Louis Catelin, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : PSYCHOLOGIE STRESS ANATOMIE EMBRYOLOGIE INNERVATION PETIT EPIPLOON OSTEOPATHIE VISCERALE D12 PATHOLOGIE DYSPHAGIE TRAITEMENT Résumé : C'est à partir du cas d'une patiente venue me consulter pour des douleurs dorsales que m'est venue l'idée de ce MEMOIRE. Cette patiente, Madame P. J., 30 ans, comptable, me dit à l'interrogatoire avoir des dysphagies. Outre des lésions ne présentant pas d'intérêts particulier pour ce MEMOIRE, elle avait une raideur dorsale basse avec une translation .de D 12. A l'écoute: * Absence de motilité de l'estomac * Le point de JARRICOT (dermalgle thoraco-abdomlnale) était sensible. * La mobilité de l'estomac était limitée. Mon traitement fut basé sur la motilité et la mobilité de l'estomac et la translation de D12. La patiente revint quinze jours après, déclarant que les symptômes avaient diminué dans un premier temps, mais qu'ils revenaient maintenant avec une densité plus forte. A l'examen, je retrouvais les mêmes signes, à savoir: * Perte de motllité et de mobilité de l'estomac * D12 en translation De plus, je décelai un spasme du petit épiploon. Je repris donc le même traitement ostéopathique en lui incluant une manoeuvre déspasmante du petit épiploon. Le bienfait de mes manoeuvres dura un an et demi, époque où ma patiente revint en consultation. A l'examen mêmes signes:. * Absence de mobilité et de motilité de l'estomac. * Torsion du petit épiploon. A l'interrogatoire J'appris que son fils venait de se sectionner deux doigts de la main gauche et que sa mère était dans un service de réanimation pour un O.A.P. Cela constituait donc des événements très stressants. Le stress était-il important dans la symptomatologie de la patiente? Pour répondre à cette question, j'interrogeais la patiente sur la période précédente, celle qui avait nécessité ses premières consultations. On y retrouvait déjà une fracture de jambe de sa mère et la mise au chômage de son mari. Stress et petit épiploon seraient-ils liés ? C'est ce que je m'efforcerai dans un premier temps de rechercher. Dans un deuxième temps je me demanderai si la qualité du stress influencera la zone du petit éplploon qui sera mise en distorsion. Je rechercherai ensuite si la réponse ostéopathique que je propose est suffisamment efficace et quels chemins elle peut emprunter. Pour ce faire, Il me faut d'abord définir le petit épiploon dans: - son origine embryologique - son anatomie - ses innervations Puis il faudra essayer de définir le stress, dans ses qualités et terrains d'actions. Enfin, à l'aide de quelques cas sélectionnés j'essaierai de donner des réponses aux différentes questions qui sont le but de ce MEMOIRE. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 205 7 CAT Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Douzième vertèbre dorsale et reflux gastro-oesophagien / GALICHON Frank
Titre : Douzième vertèbre dorsale et reflux gastro-oesophagien Type de document : texte imprimé Auteurs : GALICHON Frank, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : TRAITEMENT PATHOLOGIE LOMBALGIE PYROSIS REFLUS GASTRO OESOPHAGIEN RGO ANATOMIE PHYSIOLOGIE CHARNIERE DORSO-LOMBAIRE D12 OSTEOPATHIE VISCERALE Résumé : Le traitement ostéopathique consiste notamment à considérer les patients dans leur ensemble. De ce fait, lors d'un traitement ostéopathique, il n'est pas rare d'obtenir un amoindrissement, voire une disparition de symptôme ne correspondant pas au motif de consultation du patient. C'est ainsi que certains patients se sont aperçus d'une minoration de leurs brûlures rétrostemales et des signes associés constituant le reflux gastro-oesophagien lors de consultations pour lombalgies. En reprenant leurs dossiers, on a mis en évidence qu'ils avaient tous été traités au niveau de la zone dorso-lombaire . Le travail de ce mémoire va donc consister à quantifier le rapport entre la zone vertébrale dorso-lombaire et le reflux gastro-oesophagien et ainsi permettre d'identifier les différents liens mécaniques, fluidiques et neurologiques entre ces deux zones Pour quantifier ce rapport, on a sélectionné vingt patients présentant tous un reflux gastro-_sophagien. Après le traitement, on leur a remis un questionnaire qu'ils nous ont retourné huit semaines plus tard pour objectiver le résultat de ce traitement. La première partie de ce travail va permettre de préciser les rappels anatomiques, . physiologiques en rapport avec les lésions ostéopathiques trouvées. La deuxième partie consistera à présenter les différents cas, puis en troisième partie nous analyserons les résultats obtenus. Douzième vertèbre dorsale et reflux gastro-oesophagien [texte imprimé] / GALICHON Frank, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : TRAITEMENT PATHOLOGIE LOMBALGIE PYROSIS REFLUS GASTRO OESOPHAGIEN RGO ANATOMIE PHYSIOLOGIE CHARNIERE DORSO-LOMBAIRE D12 OSTEOPATHIE VISCERALE Résumé : Le traitement ostéopathique consiste notamment à considérer les patients dans leur ensemble. De ce fait, lors d'un traitement ostéopathique, il n'est pas rare d'obtenir un amoindrissement, voire une disparition de symptôme ne correspondant pas au motif de consultation du patient. C'est ainsi que certains patients se sont aperçus d'une minoration de leurs brûlures rétrostemales et des signes associés constituant le reflux gastro-oesophagien lors de consultations pour lombalgies. En reprenant leurs dossiers, on a mis en évidence qu'ils avaient tous été traités au niveau de la zone dorso-lombaire . Le travail de ce mémoire va donc consister à quantifier le rapport entre la zone vertébrale dorso-lombaire et le reflux gastro-oesophagien et ainsi permettre d'identifier les différents liens mécaniques, fluidiques et neurologiques entre ces deux zones Pour quantifier ce rapport, on a sélectionné vingt patients présentant tous un reflux gastro-_sophagien. Après le traitement, on leur a remis un questionnaire qu'ils nous ont retourné huit semaines plus tard pour objectiver le résultat de ce traitement. La première partie de ce travail va permettre de préciser les rappels anatomiques, . physiologiques en rapport avec les lésions ostéopathiques trouvées. La deuxième partie consistera à présenter les différents cas, puis en troisième partie nous analyserons les résultats obtenus. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 416 GAL Mémoire (ostéopathie) école d'ostéopathie Documentaires Exclu du prêt