Centre de Documentation et d'Information de l'Académie d'Ostéopathie
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Auteur Philippe Sterlingot
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L'épaule et les points d'inhibition d'organes / Philippe Sterlingot
Titre : L'épaule et les points d'inhibition d'organes Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Sterlingot, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : PATHOLOGIE NEVRALGIE CERVICO-BRACHIALE NCB PERIARTHRITE SCAPULO HUMERALE PSH PHYSIOLOGIE ANATOMIE CEINTURE SCAPULAIRE EPAULE FOIE VB VESICULE BILIAIRE ESTOMAC DUODENUM TEST POINT D'INHIBITION DOULEUR REFEREE OSTEOPATHIE VISCERALE TRAITEMENT Résumé : Les douleurs de la région de l'épaule sont un motif de consultation fréquent chez l'Ostéopathe, et il faut bien reconnaître qu'elles sont aussi souvent la cause d'interrogations quant à l'origine de cette plainte. Le praticien, en dehors d'un contexte traumatique évident, (encore que, comme nous le verrons plus loin, un traumatisme peut n'être que le révélateur d'une situation préexistante) se retrouve dans la nécessité d'établir le lien entre les différends éléments ressortant de son examen ostéopathique et le motif de la consultation qui a amené son patient vers lui. Nous pensons que le plus souvent, la manifestation d'une douleur à l'épaule est secondaire à des dysfonctions localisées ailleurs dans l'organisme, mais où? Est-ce le crâne, la cavité abdominale, le thorax, le rachis, une articulation périphérique, etc.... ? Devant cette perpétuelle quête du Graal ostéopathique, le praticien est volontiers égaré, et nous avons donc cherché les moyens de conforter notre diagnostic en essayant de mettre en relation les différends systèmes lésionnels trouvés chez le patient. Nous avons donc repris à notre compte la méthode des points d'inhibition décrite par M. BARRAL, et qui consiste à exercer une pression sur les différends organes ou structure mis en évidence lors de notre bilan ostéopathique, puis de vérifier si cette pression inhibitrice entraîne des modifications sur l'épaule douloureuse. Cette méthode nous semblant intéressante, nous nous sommes interrogés sur les liens qui pouvaient exister et qui pouvaient expliquer à la fois la corrélation entre les deux zones, et l'efficacité de cette procédure de tests. C'est pourquoi nous allons commencer par définir le concept de douleur de l'épaule et allons faire appel pour cela à la rhumatologie et à la notion de Périarthrite Scapulo Humérale (PSH). Puis nous allons tenter d'élargir cette idée à l'aspect fonctionnel de cette pathologie, et, dans _tte perspective, noUs allons essayer de définir les structures qui sont en jeu, localement dans la plainte de l'épaule. Ensuite, nous allons restreindre notre étude aux organes sous diaphragmatiques. en l'occurrence le foie, la vésicule biliaire, l'estomac et le duodénum, et allons chercher à l'aide de l'anatomie, quelles peuvent être les voies par où transitent les signaux ou les tensions qui, in fine, aboutissent à une plainte de l'épaule. Nous allons donc étudier les possibilités mécaniques, neurologiques et vasculaires de transmission de l'information nociceptive ayant comme point de départ ces organes sous diaphragmatiques et comme point d'arrivée la région de l'épaule. Nous allons aussi étudier dans la physiologie de ces organes les causes possibles de déclenchement de dysfonctions locales pouvant entraîner des conséquences à distance, ou des douleurs référées. Puis, munis de ces éléments anatomo-physiologiques et pathologiques, nous allons essayer de décrire le cheminement et les liens mécanique, neurologique et vasculaire mettant en relation les organes sous diaphragmatiques et l'épaule; ces liens tentant d'expliquer à la fois la relation de cause à effet entre les structures en jeu et l'efficacité des tests des points d'inhibition. Enfin, nous allons décrire les différentes modalités techniques utilisées, et présenter un ensemble de cas où cette méthode a été utilisée, ainsi que le résultat du traitement proposé à la suite du diagnostic établi. Nous avons abordé nos patients globalement, en essayant d'avoir un regard ostéopathique, holistique, c'est pourquoi nous ne nous sommes pas toujours contentés de l'approche viscérale, et lorsque cela nous a semblé nécessaire, nous avons proposé un traitement d'ensemble. L'épaule et les points d'inhibition d'organes [texte imprimé] / Philippe Sterlingot, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : PATHOLOGIE NEVRALGIE CERVICO-BRACHIALE NCB PERIARTHRITE SCAPULO HUMERALE PSH PHYSIOLOGIE ANATOMIE CEINTURE SCAPULAIRE EPAULE FOIE VB VESICULE BILIAIRE ESTOMAC DUODENUM TEST POINT D'INHIBITION DOULEUR REFEREE OSTEOPATHIE VISCERALE TRAITEMENT Résumé : Les douleurs de la région de l'épaule sont un motif de consultation fréquent chez l'Ostéopathe, et il faut bien reconnaître qu'elles sont aussi souvent la cause d'interrogations quant à l'origine de cette plainte. Le praticien, en dehors d'un contexte traumatique évident, (encore que, comme nous le verrons plus loin, un traumatisme peut n'être que le révélateur d'une situation préexistante) se retrouve dans la nécessité d'établir le lien entre les différends éléments ressortant de son examen ostéopathique et le motif de la consultation qui a amené son patient vers lui. Nous pensons que le plus souvent, la manifestation d'une douleur à l'épaule est secondaire à des dysfonctions localisées ailleurs dans l'organisme, mais où? Est-ce le crâne, la cavité abdominale, le thorax, le rachis, une articulation périphérique, etc.... ? Devant cette perpétuelle quête du Graal ostéopathique, le praticien est volontiers égaré, et nous avons donc cherché les moyens de conforter notre diagnostic en essayant de mettre en relation les différends systèmes lésionnels trouvés chez le patient. Nous avons donc repris à notre compte la méthode des points d'inhibition décrite par M. BARRAL, et qui consiste à exercer une pression sur les différends organes ou structure mis en évidence lors de notre bilan ostéopathique, puis de vérifier si cette pression inhibitrice entraîne des modifications sur l'épaule douloureuse. Cette méthode nous semblant intéressante, nous nous sommes interrogés sur les liens qui pouvaient exister et qui pouvaient expliquer à la fois la corrélation entre les deux zones, et l'efficacité de cette procédure de tests. C'est pourquoi nous allons commencer par définir le concept de douleur de l'épaule et allons faire appel pour cela à la rhumatologie et à la notion de Périarthrite Scapulo Humérale (PSH). Puis nous allons tenter d'élargir cette idée à l'aspect fonctionnel de cette pathologie, et, dans _tte perspective, noUs allons essayer de définir les structures qui sont en jeu, localement dans la plainte de l'épaule. Ensuite, nous allons restreindre notre étude aux organes sous diaphragmatiques. en l'occurrence le foie, la vésicule biliaire, l'estomac et le duodénum, et allons chercher à l'aide de l'anatomie, quelles peuvent être les voies par où transitent les signaux ou les tensions qui, in fine, aboutissent à une plainte de l'épaule. Nous allons donc étudier les possibilités mécaniques, neurologiques et vasculaires de transmission de l'information nociceptive ayant comme point de départ ces organes sous diaphragmatiques et comme point d'arrivée la région de l'épaule. Nous allons aussi étudier dans la physiologie de ces organes les causes possibles de déclenchement de dysfonctions locales pouvant entraîner des conséquences à distance, ou des douleurs référées. Puis, munis de ces éléments anatomo-physiologiques et pathologiques, nous allons essayer de décrire le cheminement et les liens mécanique, neurologique et vasculaire mettant en relation les organes sous diaphragmatiques et l'épaule; ces liens tentant d'expliquer à la fois la relation de cause à effet entre les structures en jeu et l'efficacité des tests des points d'inhibition. Enfin, nous allons décrire les différentes modalités techniques utilisées, et présenter un ensemble de cas où cette méthode a été utilisée, ainsi que le résultat du traitement proposé à la suite du diagnostic établi. Nous avons abordé nos patients globalement, en essayant d'avoir un regard ostéopathique, holistique, c'est pourquoi nous ne nous sommes pas toujours contentés de l'approche viscérale, et lorsque cela nous a semblé nécessaire, nous avons proposé un traitement d'ensemble. Exemplaires(1)
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